jeudi 31 janvier 2019
Bénin/Législatives 2019 dans la 8ème:L'UDBN installe ses coordinations locales depuis samedi À trois mois des élections législatives, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a déjà commencé, depuis samedi 26 janvier dernier, l'installation de ses coordinations locales dans la huitième circonscription électorale. La cérémonie du lancement et d'installations des bureaux de la 8ème, de Parakou 1, Parakou 2, Parakou 3, Tchaourou, N'dali et Pèrèrè a eu lieu dans la salle de réunions de l'hôtel "La Colombe". C'était en présence du Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole de l'UDBN, Gildas Saizonou. Pour le moment, on peut retenir qu'en tant que coordonnateur adjoint de l'UDBN dans la huitième, Bernardin Gnansounou assure l'intérim de la coordination de cette circonscription électorale. Les coordinations communales ont deux semaines pour finir l'installation des coordinations locales, selon les organisateurs et membres responsables de l'UDBN. Par 3ATB, le 28 janvier 2019 SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE L'UDBN s'annonce à grand pas dans la huitième circonscription électorale sous le leadership de Bernadin Gnansounou, coordonnateur adjoint de ce parti. Au cours d'une cérémonie du démarrage des activités politiques de l'UDBN, à l'instar du bureau local de la huitième, les six autres coordinations des 04 communes de la huitième ont aussi vu le jour. Parakou étant une ville à statut particulier, chaque arrondissement est considéré comme une commune, selon la charte de partis politiques. À l'ouverture de la réunion à " La Colombe" de Parakou, son éminence, Elhajj Aboudoulaye TEGNAMI, président d'honneur du Haut Conseil des Imams de Parakou (HCIP) et Imam central de Dépôt a prié pour le parti, la présidente Claudine Prudencio de l'UDBN, le coordonnateur adjoint, Bernadin Gnansounou, le Sga-UDBN et pour le président Talon. Le guide spirituel a aussi invoqué Allah de donner la victoire au soir du 28 avril prochain au parti UDBN au Bénin en général et en particulier dans la huitième. Après les prières d'ouverture, les différentes allocutions ont suivi pour s'achever par l'installation des coordinations. Le président de TDU, Inoussa Bio Orou, absent, est désigné coordinateur de la huitième. Son adjoint est Bernadin Gnansounou. Le choix a été approuvé par les délégués présents dans la salle et venus des communes de cette huitième. La coordination de la huitième compte 15 membres tout comme celles communales. Au niveau de Parakou 1 (1er Arrondissement), Baboni Adiham a pris la tête de la coordination. Mafou Louis dirige Parakou 2 et Bio Bergui Eloi pour le troisième arrondissement, soit Parakou 3. Pour la commune de Tchaourou, Chabi Akpo Manine prend le commandement de la troupe et Ali Idrissou Rihiwanou pour Pèrèrè. Mama Adam est coordinateur de N'dali. Dès ce dimanche, les bureaux communaux sont instruits à installer les bureaux d'arrondissements et de quartiers dans un délai de 15 jours. Les délégués présents à cette réunion sont invités à ne pas croiser les bras sur le terrain. Ils doivent continuer la sensibilisation et le "porte à porte" pour conquérir de nouveaux membres. Les potentiels candidats de la huitième circonscription ne sont pas encore connus. L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau s'est conformée à la nouvelle charte des partis politiques depuis octobre 2018. Elle va seule aux législatives du 28 avril 2019. L'un des partis de la mouvance présidentielle, l'UDBN soutient les actions du président Patrice Talon. Dans la huitième circonscription électorale, Bernadin Gnansounou et Inoussa Bio Orou dirigent l'UDBN afin de prendre deux des quatre sièges le 28 avril. SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
lundi 28 janvier 2019
Bénin/Législatives 2019 dans la 8ème:L'UDBN installe ses coordinations locales depuis samedi À trois mois des élections législatives, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a déjà commencé, depuis samedi 26 janvier dernier, l'installation de ses coordinations locales dans la huitième circonscription électorale. La cérémonie du lancement et d'installations des bureaux de la 8ème, de Parakou 1, Parakou 2, Parakou 3, Tchaourou, N'dali et Pèrèrè a eu lieu dans la salle de réunions de l'hôtel "La Colombe". C'était en présence du Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole de l'UDBN, Gildas Saizonou. Pour le moment, on peut retenir qu'en tant que coordonnateur adjoint de l'UDBN dans la huitième, Bernardin Gnansounou assure l'intérim de la coordination de cette circonscription électorale. Les coordinations communales ont deux semaines pour finir l'installation des coordinations locales, selon les organisateurs et membres responsables de l'UDBN. Par 3ATB, le 28 janvier 2019 SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE L'UDBN s'annonce à grand pas dans la huitième circonscription électorale sous le leadership de Bernadin Gnansounou, coordonnateur adjoint de ce parti. Au cours d'une cérémonie du démarrage des activités politiques de l'UDBN, à l'instar du bureau local de la huitième, les six autres coordinations des 04 communes de la huitième ont aussi vu le jour. Parakou étant une ville à statut particulier, chaque arrondissement est considéré comme une commune, selon la charte de partis politiques. À l'ouverture de la réunion à " La Colombe" de Parakou, son éminence, Elhajj Aboudoulaye TEGNAMI, président d'honneur du Haut Conseil des Imams de Parakou (HCIP) et Imam central de Dépôt a prié pour le parti, la présidente Claudine Prudencio de l'UDBN, le coordonnateur adjoint, Bernadin Gnansounou, le Sga-UDBN et pour le président Talon. Le guide spirituel a aussi invoqué Allah de donner la victoire au soir du 28 avril prochain au parti UDBN au Bénin en général et en particulier dans la huitième. Après les prières d'ouverture, les différentes allocutions ont suivi pour s'achever par l'installation des coordinations. Le président de TDU, Inoussa Bio Orou, absent, est désigné coordinateur de la huitième. Son adjoint est Bernadin Gnansounou. Le choix a été approuvé par les délégués présents dans la salle et venus des communes de cette huitième. La coordination de la huitième compte 15 membres tout comme celles communales. Au niveau de Parakou 1 (1er Arrondissement), Baboni Adiham a pris la tête de la coordination. Mafou Louis dirige Parakou 2 et Bio Bergui Eloi pour le troisième arrondissement, soit Parakou 3. Pour la commune de Tchaourou, Chabi Akpo Manine prend le commandement de la troupe et Ali Idrissou Rihiwanou pour Pèrèrè. Mama Adam est coordinateur de N'dali. Dès ce dimanche, les bureaux communaux sont instruits à installer les bureaux d'arrondissements et de quartiers dans un délai de 15 jours. Les délégués présents à cette réunion sont invités à ne pas croiser les bras sur le terrain. Ils doivent continuer la sensibilisation et le "porte à porte" pour conquérir de nouveaux membres. Les potentiels candidats de la huitième circonscription ne sont pas encore connus. L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau s'est conformée à la nouvelle charte des partis politiques depuis octobre 2018. Elle va seule aux législatives du 28 avril 2019. L'un des partis de la mouvance présidentielle, l'UDBN soutient les actions du président Patrice Talon. Dans la huitième circonscription électorale, Bernadin Gnansounou et Inoussa Bio Orou dirigent l'UDBN afin de prendre deux des quatre sièges le 28 avril. SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
Bon début de semaine à tous !
dimanche 27 janvier 2019
Bénin/Législatives 2019 dans la 8ème:L'UDBN installe ses coordinations locales depuis samedi À trois mois des élections législatives, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a déjà commencé, depuis samedi 26 janvier dernier, l'installation de ses coordinations locales dans la huitième circonscription électorale. La cérémonie du lancement et d'installations des bureaux de la 8ème, de Parakou 1, Parakou 2, Parakou 3, Tchaourou, N'dali et Pèrèrè a eu lieu dans la salle de réunions de l'hôtel "La Colombe". C'était en présence du Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole de l'UDBN, Gildas Saizonou. Pour le moment, on peut retenir qu'en tant que coordonnateur adjoint de l'UDBN dans la huitième, Bernardin Gnansounou assure l'intérim de la coordination de cette circonscription électorale. Les coordinations communales ont deux semaines pour finir l'installation des coordinations locales, selon les organisateurs et membres responsables de l'UDBN. Par 3ATB, le 28 janvier 2019 SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE L'UDBN s'annonce à grand pas dans la huitième circonscription électorale sous le leadership de Bernadin Gnansounou, coordonnateur adjoint de ce parti. Au cours d'une cérémonie du démarrage des activités politiques de l'UDBN, à l'instar du bureau local de la huitième, les six autres coordinations des 04 communes de la huitième ont aussi vu le jour. Parakou étant une ville à statut particulier, chaque arrondissement est considéré comme une commune, selon la charte de partis politiques. À l'ouverture de la réunion à " La Colombe" de Parakou, son éminence, Elhajj Aboudoulaye TEGNAMI, président d'honneur du Haut Conseil des Imams de Parakou (HCIP) et Imam central de Dépôt a prié pour le parti, la présidente Claudine Prudencio de l'UDBN, le coordonnateur adjoint, Bernadin Gnansounou, le Sga-UDBN et pour le président Talon. Le guide spirituel a aussi invoqué Allah de donner la victoire au soir du 28 avril prochain au parti UDBN au Bénin en général et en particulier dans la huitième. Après les prières d'ouverture, les différentes allocutions ont suivi pour s'achever par l'installation des coordinations. Le président de TDU, Inoussa Bio Orou, absent, est désigné coordinateur de la huitième. Son adjoint est Bernadin Gnansounou. Le choix a été approuvé par les délégués présents dans la salle et venus des communes de cette huitième. La coordination de la huitième compte 15 membres tout comme celles communales. Au niveau de Parakou 1 (1er Arrondissement), Baboni Adiham a pris la tête de la coordination. Mafou Louis dirige Parakou 2 et Bio Bergui Eloi pour le troisième arrondissement, soit Parakou 3. Pour la commune de Tchaourou, Chabi Akpo Manine prend le commandement de la troupe et Ali Idrissou Rihiwanou pour Pèrèrè. Mama Adam est coordinateur de N'dali. Dès ce dimanche, les bureaux communaux sont instruits à installer les bureaux d'arrondissements et de quartiers dans un délai de 15 jours. Les délégués présents à cette réunion sont invités à ne pas croiser les bras sur le terrain. Ils doivent continuer la sensibilisation et le "porte à porte" pour conquérir de nouveaux membres. Les potentiels candidats de la huitième circonscription ne sont pas encore connus. L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau s'est conformée à la nouvelle charte des partis politiques depuis octobre 2018. Elle va seule aux législatives du 28 avril 2019. L'un des partis de la mouvance présidentielle, l'UDBN soutient les actions du président Patrice Talon. Dans la huitième circonscription électorale, Bernadin Gnansounou et Inoussa Bio Orou dirigent l'UDBN afin de prendre deux des quatre sièges le 28 avril. SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
mardi 15 janvier 2019
BÉNIN-POLITIQUE À PARAKOU L'ex-maire Souradjou rejoint Talon
Parakou le mercredi 16 janvier 2019, 06h45 (SIM)-À travers une note écrite à son successeur, le maire Abdoulaye Charles Toko, l'ex-maire Karimou Souradjou a rejoint, ce mardi, officiellement la majorité Rupture du président Patrice Talon à quelques mois du présumé départ de Charles Toko à la HAAC. Karimou Souradjou, aussi populaire, vient de lâcher son ancien patron l'ex-président Boni Yayi. L'ancien maire de Parakou Souradjou vient de faire allégeance au bloc républicain.
Sa lettre d'allégeance a été lue lors d'une réunion à la ferme du maire Charles TOKO. C'est l'honorable Idrissou Bako qui l'a proposé aux Fcbe de Parakou en son temps. De sources sûres et concordantes son allégeance est due à sa mauvaise gestion à la Sonapra quand il était DRE et son probable retour à la tête de la mairie de Parakou au cas où Abdoulaye Charles Toko irait succéder Adam Boni Tessi à la présidence de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC). Avec cette arrivée de Karimou Souradjou, sa succession au maire Toko se dessine même si c'était en rumeur l'information est connue du public. Pourquoi une telle adhésion aux idiots de Patrice Talon à la veille du départ de Abdoulaye Charles Toko ? Karimou Souradjou aux portes de la mairie. Vers les années 2013-2014, Karimou Souradjou est nommé Directeur Régional de la Sonapra à Parakou. En juin 2015, il pose sa candidature dans le deuxième arrondissement de Parakou, comme Rachidi Gbadamassi, où il est élu un des conseillers municipaux des FCBE. En août 2015, il est élu, à plus de 20 voix sur les 25, maire de Parakou pour succéder à Soulé Allagbé. Pour sa mauvaise gestion et gestion opaque, en septembre 2016, 23 conseillers déposent une motion de sa destitution. Le 02 octobre 2016, il est remplacé par Abdoulaye Charles Toko qui pourrait lui retourner la maire pour la HAAC dans 05 mois.
3ATB/BA/SIM
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BÉNIN-POLITIQUE À PARAKOU L'ex-maire Souradjou rejoint Talon Parakou le mercredi 16 janvier 2019, 06h45 (SIM)-À travers une note écrite à son successeur, le maire Abdoulaye Charles Toko, l'ex-maire Karimou Souradjou a rejoint, ce mardi, officiellement la majorité Rupture du président Patrice Talon à quelques mois du présumé départ de Charles Toko à la HAAC. Karimou Souradjou, aussi populaire, vient de lâcher son ancien patron l'ex-président Boni Yayi. L'ancien maire de Parakou Souradjou vient de faire allégeance au bloc républicain. Sa lettre d'allégeance a été lue lors d'une réunion à la ferme du maire Charles TOKO. C'est l'honorable Idrissou Bako qui l'a proposé aux Fcbe de Parakou en son temps. De sources sûres et concordantes son allégeance est due à sa mauvaise gestion à la Sonapra quand il était DRE et son probable retour à la tête de la mairie de Parakou au cas où Abdoulaye Charles Toko irait succéder Adam Boni Tessi à la présidence de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC). Avec cette arrivée de Karimou Souradjou, sa succession au maire Toko se dessine même si c'était en rumeur l'information est connue du public. Pourquoi une telle adhésion aux idiots de Patrice Talon à la veille du départ de Abdoulaye Charles Toko ? Karimou Souradjou aux portes de la mairie. Vers les années 2013-2014, Karimou Souradjou est nommé Directeur Régional de la Sonapra à Parakou. En juin 2015, il pose sa candidature dans le deuxième arrondissement de Parakou, comme Rachidi Gbadamassi, où il est élu un des conseillers municipaux des FCBE. En août 2015, il est élu, à plus de 20 voix sur les 25, maire de Parakou pour succéder à Soulé Allagbé. Pour sa mauvaise gestion et gestion opaque, en septembre 2016, 23 conseillers déposent une motion de sa destitution. Le 02 octobre 2016, il est remplacé par Abdoulaye Charles Toko qui pourrait lui retourner la maire pour la HAAC dans 05 mois. 3ATB/BA/SIM SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
À la Une de l'actualité africaine, en Côte d'Ivoire, près de 10 millions de personnes s'apprêtent pour accueillir l'ex-président Laurent Gbagbo et son ministre Charles Blé Goudé avant dimanche de cette semaine. Même si des victimes et une minorité soutenant l'actuel président Alassane Ouattara s'opposent et sont mécontents de cette libération des deux hommes politiques. Acquittés et libérés mardi matin par la les juges de la Cour Pénale Internationale, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé devraient rentrer dans leur pays à partir de ce mercredi si la procureure de la CPI ne faisait pas appel sur leur dossier dans les 24h qui suivent leurs acquittement et libération. Aux dernières informations, madame Fatou Bansouda, procureure spéciale de la CPI n'a pas formulé un appel jusqu'à ce jour. Alassane Ouattara a pris acte de la décision de la CPI. Gbagbo et Blé Goudé sont poursuivis pour crimes de guerre et contre l'humanité commis en 2011 lors de la crise post-électorale de 2010. Selon les observateurs, environ 3000 personnes ont perdu la vie. Lors de la présidentielle de 2010, la commission électorale nationale indépendante (Ceni) proclame Alassane Ouattara vainqueur alors que le conseil constitutionnel donne vainqueur Laurent Gbagbo. De là est né une terrible crise politique faisant de morts. Laurent Gbagbo pourra-t-il être candidat à la présidentielle de 2020 face à Alassane Ouattara ? La CPI veut interdire aux deux hommes d'animer la vie politique ivoirienne. -Au Bénin, après la délibération et la proclamation des résultats de licence professionnelle en journalisme de 2018, l'Institut Supérieur des Sciences de l'information et de la Communication (ISSIC) obtient 100% dont le deuxième, le 6ème, le 9ème et le 10ème du Bénin. Selon le PV de délibération, parmi les 10 premiers, pour sa première expérience, l'ISSIC prend 04 places devant plusieurs universités privées. Conseil des ministres de ce mercredi, des têtes des enseignants qui ont refusé de composer samedi dernier vont tomber. Comme les oreilles ne dépassent jamais la tête, le gouvernement du président Patrice Talon pourrait demander aux enseignants qui ont boycotté l'examen de compétences de s'expliquer cette semaine. Législatives en 2019, l'opposition divisée, Patrice Talon pourrait facilement rafler les 83 sièges. Il faut au moins 10% sur le plan national avant de discuter des sièges de députés dans les circonscriptions électorales. -Au Gabon, le président Ali Bongo serait réellement mort mais le parti au pouvoir refuse de dire la vérité aux gabonais. Comment on annonce l'arrivée hier à Libreville du président Ali Bongo afin de valider l'investiture du tout nouveau gouvernement sans montrer les images ? -Au Sénégal, la Ceni écarte les opposants Khalifa Sall et Karim Wade de la présidentielle de février 2019. Le président Macky Sall candidat pour un deuxième mandat de 07 ans face à 04 autres candidats. -En RDC, la cour constitutionnelle proclame les résultats définitifs de la présidentielle au plus tard demain, jeudi. On apprend que la Cour validera les résultats de la Ceni qui donnent pour successeur de Joseph Kabila, Félix Tshisekedji. L'investiture devrait avoir lieu vendredi prochain. Le recours de Martin Fayulu pourrait échouer. -Au Royaume-Uni, le parlement rejette le Brexit dirigé par la première ministre Theresa May, à 432 voix, dans la nuit de ce mardi. Le chef de l'opposition et du parti des travaillistes, Jérémy Corbyn dépose une motion de destitution de Theresa May. Le Royaume-Uni ne peut plus sortir de l'Union européenne. -En Allemagne, un conseiller à la défense accusé d'espionner pour l'Iran a été arrêté. La réaction du président iranien, Hassan Rohani attendu ce mercredi. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Mer 16, jeudi 17 janvier 2019
-Administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288
AP: 97524288 (SIM1)
AP: 97878347 (SIM2)
À suivre, Unes des journaux au monde....
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Siège : Bénin, Cotonou. 257 sur 257 membres (forum1); 81 sur 257 membres (forum2), 05 administrateurs, 02 AP, 01 forum islamic
lundi 14 janvier 2019
Espagne/Justice: Affaire FNM, l'ex-ministre Komi Koutché extradé au Bénin dans deux semaines ?
Dans 14 jours, l'ex-ministre d'État Komi Koutché pourrait être amené à Cotonou par "vol spécial" pour être écouté à la justice béninoise dans l'affaire malversations financières au Fond National de Microfinance (FNM). Selon le délai légal, si une autorité, sous le coup dun mandat d'amener, est arrêtée dans un pays étranger, il peut être extradé ou non après 44 jours dans son pays, d'après les spécialistes du droit international. Komi Koutché vient de passer un mois dans une prison de Madrid, capitale espagnole. La procédure de son extradition serait en cours. Si cela aboutissait, Cotonou va accueillir l'un des poids lourds des FCBE.
3ATB, le 14 janvier 2019
SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE
"Les jours passent, mais la douleur persiste". En droit international, après une arrestation sur un sol étranger, l'extradition pourrait être possible six semaines au plus tard. Koutché en passe d'épuiser son délai de grâce. L'ancien argentier, Komi Koutché n'aurait plus la chance d'échapper à la justice de son pays comme ses collègues de l'opposition qui vivent actuellement à Paris. Arrêté depuis le 14 décembre dernier à Madrid, alors qu'il se rendait à Paris en France pour un meeting politique sur la situation sociopolitique du Bénin, Koutché séjourne toujours en prison. Si l'ex-ministre d'État chargé de l'économie et des finances avait eu la chance d'être libéré une semaine après son interpellation, il pouvait continuer son exil aux États-Unis. Et son extradition pouvait échouer. Le niveau où ce dossier a évolué, Komi Koutché n'est plus loin d'une extradition pour Cotonou, capitale du Bénin. Le lundi sur prochain, l'actualité africaine pourrait se dérouler à l'aéroport Gantin, à Cotonou. Avec les dernières informations dans les coulisses, Koutché n'a plus la chance d'échapper à la justice béninoise. Deux semaines lui restent pour séjourner en Espagne. Après ce délai, rendez-vous à la Cour de Répressions des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet). Komi Koutché est poursuivi dans l'affaire scandale au FNM pendant qu'il était Directeur général (Dg), vers l'année 2012. Un audit demandé par le gouvernement de Patrice Talon annonce que l'État aurait perdu plusieurs milliards de francs CFA lorsque Koutché était Dg FNM. Du côté de Bantè, la joie disparaît, de jour en jour, chez les partisans de l'homme fort de la localité. Âgé de 42 ans, Komi Koutché est nommé ministre des finances en 2013 par l'ex-président Boni Yayi. En mai 2015, il est élu député sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE). Pressenti pour succéder à Mathurin Koffi Nago au poste de président de l'Assemblée nationale de cette 07ème législature, Komi Koutché échoue à une voix près. Il revient au gouvernement et devient ministre d'État de l'économie et des finances. Boni Yayi avait voulu le faire son successeur à la présidentielle de mars 2016. Un an manquait sur son âge pour avoir les 40 ans au moins le frappait et brise le rêve de Yayi qui fait venir de la France, malgré lui, le candidat malheureux, Lionel Zinsou en 2015. Celui-ci est finalement battu par Patrice Talon le 20 mars 2016.
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Espagne/Justice: Affaire FNM, l'ex-ministre Komi Koutché extradé au Bénin dans deux semaines ? Dans 14 jours, l'ex-ministre d'État Komi Koutché pourrait être amené à Cotonou par "vol spécial" pour être écouté à la justice béninoise dans l'affaire malversations financières au Fond National de Microfinance (FNM). Selon le délai légal, si une autorité, sous le coup dun mandat d'amener, est arrêtée dans un pays étranger, il peut être extradé ou non après 44 jours dans son pays, d'après les spécialistes du droit international. Komi Koutché vient de passer un mois dans une prison de Madrid, capitale espagnole. La procédure de son extradition serait en cours. Si cela aboutissait, Cotonou va accueillir l'un des poids lourds des FCBE. 3ATB, le 14 janvier 2019 SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE "Les jours passent, mais la douleur persiste". En droit international, après une arrestation sur un sol étranger, l'extradition pourrait être possible six semaines au plus tard. Koutché en passe d'épuiser son délai de grâce. L'ancien argentier, Komi Koutché n'aurait plus la chance d'échapper à la justice de son pays comme ses collègues de l'opposition qui vivent actuellement à Paris. Arrêté depuis le 14 décembre dernier à Madrid, alors qu'il se rendait à Paris en France pour un meeting politique sur la situation sociopolitique du Bénin, Koutché séjourne toujours en prison. Si l'ex-ministre d'État chargé de l'économie et des finances avait eu la chance d'être libéré une semaine après son interpellation, il pouvait continuer son exil aux États-Unis. Et son extradition pouvait échouer. Le niveau où ce dossier a évolué, Komi Koutché n'est plus loin d'une extradition pour Cotonou, capitale du Bénin. Le lundi sur prochain, l'actualité africaine pourrait se dérouler à l'aéroport Gantin, à Cotonou. Avec les dernières informations dans les coulisses, Koutché n'a plus la chance d'échapper à la justice béninoise. Deux semaines lui restent pour séjourner en Espagne. Après ce délai, rendez-vous à la Cour de Répressions des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet). Komi Koutché est poursuivi dans l'affaire scandale au FNM pendant qu'il était Directeur général (Dg), vers l'année 2012. Un audit demandé par le gouvernement de Patrice Talon annonce que l'État aurait perdu plusieurs milliards de francs CFA lorsque Koutché était Dg FNM. Du côté de Bantè, la joie disparaît, de jour en jour, chez les partisans de l'homme fort de la localité. Âgé de 42 ans, Komi Koutché est nommé ministre des finances en 2013 par l'ex-président Boni Yayi. En mai 2015, il est élu député sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE). Pressenti pour succéder à Mathurin Koffi Nago au poste de président de l'Assemblée nationale de cette 07ème législature, Komi Koutché échoue à une voix près. Il revient au gouvernement et devient ministre d'État de l'économie et des finances. Boni Yayi avait voulu le faire son successeur à la présidentielle de mars 2016. Un an manquait sur son âge pour avoir les 40 ans au moins le frappait et brise le rêve de Yayi qui fait venir de la France, malgré lui, le candidat malheureux, Lionel Zinsou en 2015. Celui-ci est finalement battu par Patrice Talon le 20 mars 2016. SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
Bénin/Licence en 2018: Après la délibération vendredi dernier, qu'est ce qui bloque la proclamation ?
Les étudiants d'universités privées qui ont participé à l'examen national de licence professionnelle en juillet-octobre 2018 sont toujours dans l'attente. Et ce, malgré la délibération qui a été faite vendredi 11 janvier dernier à la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) au Cnhu, à Cotonou. Le taux de réussite en pourcentage a été publié de 73,91%. Pourtant, les différents candidats continuent d'être dans la période de l'incertitude trois mois après les compositions écrites et pratiques. À quand la proclamation ?
Par 3ATB, le 14 janvier 2019
SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
La clémence de la ministre de l'enseignement supérieur, Marie Odile Atanasso demandée afin que la proclamation se fasse pour situer les différents candidats. Et si la première autorité de cet examen sonnait la fin de la récréation. Tous les candidats, ainsi que les parents de candidats, étaient contents, vendredi, lors de l'annonce du taux de réussite toutes filières confondues. Pour eux, la période de l'incertitude prenait fin. À la surprise générale, c'est encore la grande incertitude qui règne après cette délibération il y a 72h. Pendant que les candidats à cette licence en 2019, soit la troisième et dernière édition, s'apprêtent à aller en stage académique pour leur soutenance, ceux en 2018 sont toujours bloqués par le ministère de l'enseignement supérieur. La ministre est-elle vraiment au courant de ce qui se passe, vus sa rigueur et son dynamisme ? Nous savons déjà que les résultats sont catastrophiques par rapport à ceux de l'année passée. 15% en chute. D'environ 90% en 2017, nous passons à 73,91% sur le plan national. Inutile de retarder les choses en principe. Le gouvernement du président Patrice Talon ne mérite pas cela. Avec ce régime de la Rupture qui prône la rigueur, la rapidité et le bien fait, pourquoi tendons nous vers une faille au niveau de l'organisation de cet examen national de licence professionnelle des universités privées ? Où bien la ministre même veut proclamer les résultats ? Si oui, à quoi sert le comité d'organisation et de délibération ? Afin de situer les étudiants candidats, le ministère du Supérieur devrait proclamer dans les plus brefs délais les résultats. Tous les regards tournés vers, Marie Odile Atanasso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et de Patrice Talon, chef de l'État.
SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE
Bénin/Licence en 2018: Après la délibération vendredi dernier, qu'est ce qui bloque la proclamation ? Les étudiants d'universités privées qui ont participé à l'examen national de licence professionnelle en juillet-octobre 2018 sont toujours dans l'attente. Et ce, malgré la délibération qui a été faite vendredi 11 janvier dernier à la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) au Cnhu, à Cotonou. Le taux de réussite en pourcentage a été publié de 73,91%. Pourtant, les différents candidats continuent d'être dans la période de l'incertitude trois mois après les compositions écrites et pratiques. À quand la proclamation ? Par 3ATB, le 14 janvier 2019 SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE La clémence de la ministre de l'enseignement supérieur, Marie Odile Atanasso demandée afin que la proclamation se fasse pour situer les différents candidats. Et si la première autorité de cet examen sonnait la fin de la récréation. Tous les candidats, ainsi que les parents de candidats, étaient contents, vendredi, lors de l'annonce du taux de réussite toutes filières confondues. Pour eux, la période de l'incertitude prenait fin. À la surprise générale, c'est encore la grande incertitude qui règne après cette délibération il y a 72h. Pendant que les candidats à cette licence en 2019, soit la troisième et dernière édition, s'apprêtent à aller en stage académique pour leur soutenance, ceux en 2018 sont toujours bloqués par le ministère de l'enseignement supérieur. La ministre est-elle vraiment au courant de ce qui se passe, vus sa rigueur et son dynamisme ? Nous savons déjà que les résultats sont catastrophiques par rapport à ceux de l'année passée. 15% en chute. D'environ 90% en 2017, nous passons à 73,91% sur le plan national. Inutile de retarder les choses en principe. Le gouvernement du président Patrice Talon ne mérite pas cela. Avec ce régime de la Rupture qui prône la rigueur, la rapidité et le bien fait, pourquoi tendons nous vers une faille au niveau de l'organisation de cet examen national de licence professionnelle des universités privées ? Où bien la ministre même veut proclamer les résultats ? Si oui, à quoi sert le comité d'organisation et de délibération ? Afin de situer les étudiants candidats, le ministère du Supérieur devrait proclamer dans les plus brefs délais les résultats. Tous les regards tournés vers, Marie Odile Atanasso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et de Patrice Talon, chef de l'État. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE
dimanche 13 janvier 2019
À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, en attendant les résultats du master professionnel dans un mois au plus tard, 73,91% de candidats sont admis à l'examen national de licence professionnelle de 2018 toutes filières confondues. Les résultats sont déjà prêts depuis la soirée du vendredi dernier mais seraient affichés ce lundi 14 janvier à la Faculté des Sciences de la Santé (FSS)-Cnhu Cotonou, au Ceg sainte Rita et dans les autres centres de compositions, apprend-on par anonymat de source sûre crédible et proche. Contrairement à ce qui se dit en rumeur et sur des médias locaux, les résultats sont catastrophiques par rapport à ceux de l'année 2017, date de la première édition. Aucun rachat n'a été possible. Sur un total de 5973 candidats inscrits avec 5779 composés, 4271 sont, désormais, enlevés au grade de licence professionnelle et livrés sur les marchés de l'emploi partout dans le monde. Ce pourcentage est en baisse par rapport à celui de 2017. Pour mémoire, sur les moins de 2300 candidats qui ont composé pour le compte de la première année, 87,91% sont déclarés admis. Ce qui fait qu'en 2018, les résultats ont chuté de 15%. Pendant ce temps, près de 98% d'enseignants du secondaire ont boycotté, ce samedi, sur tout le territoire, les compositions écrites exigées par le gouvernement de Patrice Talon. Ce test est initié dans le but d'évaluer le niveau de compétence de ces enseignants en général. Du côté de Ouidah, des enseignants, très fâchés par cet examen, exigent les démissions du président Talon et son ministre du secondaire, Mahugnon Kakpo. Les examens nationaux de licence et master professionnels et le test des enseignants sont, entre autres, des réformes initiées par le chef de l'État Patrice Talon élu et investi le 06 avril 2016. Elles sont contestées par certains béninois. De l'éducation à la politique, l'Union progressiste serait au dessus du Bloc républicain sur le terrain de combat. Parmi ces deux partis du président Patrice Talon, les progressistes sont plus organisés que les républicains qui se divisent déjà. L'opposition se réunit pour une liste unique aux législatives du 28 avril prochain. Révoqué par la Cour Suprême fin décembre dernier, le maire de Kalalé Orou Se Guéné veut-il réellement faire de la résistance ? -Au Soudan du Nord, près de 9000 manifestants de l'opposition ont été arrêtés ce samedi à Khartoum, annonce le ministre de l'intérieur, Ahmed Bilal Osmane, devant les députés au parlement. Le peuple à 90% réclame le départ du président Omar Al-Bechir, au pouvoir par coup d'État depuis 1989. Vers la fin du régime Al-Bechir. -En RDC, 48h après l'annonce des résultats provisoires de la présidentielle du 30 décembre dernier, le candidat d'opposition, Martin Fayulu a déposé ce samedi un recours de revendication de victoire à la Cour Constitutionnelle. Selon la Ceni, aux législatives 2018, Joseph Kabila obtient 261 députés sur les 500 contre 100 et quelque pour le président élu, Félix Tshisekedji. Martin Fayulu qui se dit successeur de Kabila fils a obtenu 00 siège. -Au Gabon, déclaré mort sur les réseaux sociaux, le président Ali Bongo nomme un nouveau premier ministre vendredi passé. L'opposition dirigée par Jean Ping annonce des marches chaudes de vérité après le putsch manqué du lundi 07 janvier. -Aux États-Unis, les démocrates bloquent le président Donald Trump sur son projet du mur de Mexique. Trump refuse de négocier avec le camp de l'ex-président Barack Obama. Démocrates-Republicains, à couteau tiré. -Au Royaume-Uni, le vote sur le Brexit débute demain, mardi au parlement. La sortie du Royaume-Uni de l'Europe serait dans l'impasse. -En France, les gilets jaunes veulent déloger le président Macron de l'Élysée. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Lundi 14, mardi 15 janvier 2019
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samedi 12 janvier 2019
RDC/Élection de Félix Tshisekedji: Les félicitations du président béninois, Patrice Talon, attendues.
Le président Patrice Talon ne s'est pas encore prononcé sur l'élection du président élu, Félix Tshisekedji de la République Démocratique du Congo (RDC) pour succéder au président sortant, Joseph Kabila. Des personnalités d'État se précipitent déjà pour saluer Félix Tshisekedji pour sa brillante élection lors de la présidentielle du 30 décembre dernier. Peut-être, Patrice Talon attend les résultats définitifs de la Cour Constitutionnelle le mardi 15 janvier 2019 avant de se prononcer.
Par 3ATB, le 12 janvier 2019
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Certains chefs d'État africains qui soutiennent la France s'abstiennent de féliciter Félix Tshisekedji pour son élection du 30 passé. Patrice Talon est-il dans cette logique ? Ou bien le président du Bénin se patiente jusqu'à la proclamation mardi des résultats de la Cour Constitutionnelle. Après l'annonce des résultats provisoires par la Commission Électorale Nationale Indépendante, des présidents africains félicitent déjà le candidat de l'UDPS, Tshisekedji fils. La France qui soutient le candidat de l'opposition, Martin Fayulu juge non conformes les résultats de la Ceni. Pour elle, Martin Fayulu, soutenu par les opposants, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, est le vainqueur de cette présidentielle historique de l'ère Kabila fils. Les contestations de Martin Fayulu ont entraîné 05 morts et plusieurs blessés lors des affrontements des partisans de Fayulu et Tshisekedji vainqueur. Ce qui fait que des personnalités d'État évitent de féliciter l'opposant Félix Tshisekedji bien que le président Joseph Kabila, son gouvernement et son dauphin, Emmanuel Ramazani Shadary ont reconnu leur défaite et la victoire de Tshisekedji fils. Comme les résultats de la Ceni sont encore provisoires, le président Patrice Talon attendrait la Cour Constitutionnelle, comme d'autres dirigeants africains. Il est logique de féliciter le nouveau vainqueur dans ces circonstances afin de tisser plus de relations entre le Bénin et la RDC. Ces deux États noirs sont tous du continent africain. L'Union africaine les unie. Arrivé au terme de son troisième et dernier mandat en novembre 2016, Joseph Kabila refusait d'organiser la présidentielle jusqu'à la mort en février 2017 de l'opposant historique, Étienne Tshisekedji, père de Félix Tshisekedji. Ainsi, après plusieurs pressions internes et externes, la présidentielle est organisée le dimanche 30 décembre dernier donnant vainqueur Félix Tshisekedji avec environ 39% des voix face aux candidats Martin Fayulu 34,8% et Emmanuel Shadary 23,8%. Né en 1963, Félix Tshisekedji est élu pour la première fois député en 2011. Son père Étienne, qui estime qu'il a remporté la présidentielle de 2011 face au président Joseph Kabila au pouvoir depuis 2001, lui refuse de siéger. Si la Cour Constitutionnelle valide son élection, Félix Tshisekedji sera investi le 18 janvier prochain. Patrice Talon serait-il à son investiture ? Avec cette alternance, Si Félix Tshisekedji prenait le pouvoir, il pourrait inhumer son père Étienne dont le corps se trouve encore à Bruxelles.
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RDC/Élection de Félix Tshisekedji: Les félicitations du président béninois, Patrice Talon, attendues. Le président Patrice Talon ne s'est pas encore prononcé sur l'élection du président élu, Félix Tshisekedji de la République Démocratique du Congo (RDC) pour succéder au président sortant, Joseph Kabila. Des personnalités d'État se précipitent déjà pour saluer Félix Tshisekedji pour sa brillante élection lors de la présidentielle du 30 décembre dernier. Peut-être, Patrice Talon attend les résultats définitifs de la Cour Constitutionnelle le mardi 15 janvier 2019 avant de se prononcer. Par 3ATB, le 12 janvier 2019 SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Certains chefs d'État africains qui soutiennent la France s'abstiennent de féliciter Félix Tshisekedji pour son élection du 30 passé. Patrice Talon est-il dans cette logique ? Ou bien le président du Bénin se patiente jusqu'à la proclamation mardi des résultats de la Cour Constitutionnelle. Après l'annonce des résultats provisoires par la Commission Électorale Nationale Indépendante, des présidents africains félicitent déjà le candidat de l'UDPS, Tshisekedji fils. La France qui soutient le candidat de l'opposition, Martin Fayulu juge non conformes les résultats de la Ceni. Pour elle, Martin Fayulu, soutenu par les opposants, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, est le vainqueur de cette présidentielle historique de l'ère Kabila fils. Les contestations de Martin Fayulu ont entraîné 05 morts et plusieurs blessés lors des affrontements des partisans de Fayulu et Tshisekedji vainqueur. Ce qui fait que des personnalités d'État évitent de féliciter l'opposant Félix Tshisekedji bien que le président Joseph Kabila, son gouvernement et son dauphin, Emmanuel Ramazani Shadary ont reconnu leur défaite et la victoire de Tshisekedji fils. Comme les résultats de la Ceni sont encore provisoires, le président Patrice Talon attendrait la Cour Constitutionnelle, comme d'autres dirigeants africains. Il est logique de féliciter le nouveau vainqueur dans ces circonstances afin de tisser plus de relations entre le Bénin et la RDC. Ces deux États noirs sont tous du continent africain. L'Union africaine les unie. Arrivé au terme de son troisième et dernier mandat en novembre 2016, Joseph Kabila refusait d'organiser la présidentielle jusqu'à la mort en février 2017 de l'opposant historique, Étienne Tshisekedji, père de Félix Tshisekedji. Ainsi, après plusieurs pressions internes et externes, la présidentielle est organisée le dimanche 30 décembre dernier donnant vainqueur Félix Tshisekedji avec environ 39% des voix face aux candidats Martin Fayulu 34,8% et Emmanuel Shadary 23,8%. Né en 1963, Félix Tshisekedji est élu pour la première fois député en 2011. Son père Étienne, qui estime qu'il a remporté la présidentielle de 2011 face au président Joseph Kabila au pouvoir depuis 2001, lui refuse de siéger. Si la Cour Constitutionnelle valide son élection, Félix Tshisekedji sera investi le 18 janvier prochain. Patrice Talon serait-il à son investiture ? Avec cette alternance, Si Félix Tshisekedji prenait le pouvoir, il pourrait inhumer son père Étienne dont le corps se trouve encore à Bruxelles. SC🌏🌍P-INF🅾S M🅾NDE
jeudi 10 janvier 2019
À la Une de l'actualité africaine, en RDC, 17 ans après, enfin l'alternance au pouvoir avec la victoire de l'opposition face à la majorité conduite par le président Joseph Kabila. L'opposant Félix Tshisekedji (photo à la Une) remporte la présidentielle du 30 décembre dernier avec 38,57% des voix suivi de l'opposant Martin Fayulu qui a obtenu 34,80% et du candidat de Kabila, Emmanuel Ramazani Shadary qui s'est en sorti avec 23,80%. Et ce, selon les résultats provisoires proclamés, ce mercredi nuit, par la Commission Électorale Nationale Indépendante (Ceni). Dans les rues de Kinshasa, la victoire de Félix est en célébration. Félix Tshisekedji a obtenu environ 08 millions d'électeurs. Selon les médias français, ce résultats est contestés par quelques partisans de Fayulu et de Shadary. La France, par le biais de son ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, annonce que ces résultats ne sont pas conformes. Bien que l'Union européenne n'était pas observateur de cette présidentielle de 2018, elle exige la publication des résultats circonscription électorale par circonscription électorale. Martin Fayulu parle d'un putsch électoral à son encontre. La cour constitutionnelle proclame les résultats définitifs le 15 janvier 2019 et la prestation de serment est pour le 18, 72h après. Le vainqueur, Félix Tshisekedji rend hommage au président Joseph Kabila partenaire de l'alternance démocratique. Une crise post-électorale plane sur Kinshasa. L'ONU appelle à s'abstenir de toute violence. L'église catholique donne son avis sur les résultats de la Ceni ce jeudi. Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi n'ont pas encore réagi sur ces résultats. Arrivé au terme de son troisième et dernier mandat en novembre 2016, Joseph Kabila avait refusé l'organisation de la présidentielle jusqu'au décès de l'opposant historique père de Félix, Étienne Tshisekedji qui n'est toujours pas inhumé. Avec son élection, Félix Tshisekedji pourrait rapatrier de Bruxelles la dépouille de son père en République Démocratique du Congo (RDC). Né en 1953, Félix Tshisekedji est élu pour la première fois député en 2011 sur la liste du parti d'Étienne Tshisekedji, UDPS. Son père lui refuse de siéger car, pour le défunt Tshisekedji, Joseph Kabila n'était pas réélu en 2011. -Au Bénin, les élections législatives sont prévues le 28 avril prochain. Dans la huitième circonscription électorale, voici comment le positionnement chez les républicains pourraient se faire. En tête de liste on aurait, Abdoulaye Charles Toko, maire de Parakou avec pour suppléante, Mariyama Baba Moussa. Le maire partant pour la HAAC permettra à la coordinatrice de ABT à Parakou de siéger. Le deuxième serait le député Adam Bagoudou suivi Rachidi Gbadamassi troisième. Le maire de N'dali pourrait être le quatrième et dernier candidat du Bloc Républicain. La réélection du député Rachidi Gbadamassi ne serait pas facile. Nous sommes dans une circonscription de tous les dangers. Les progressistes qui sont aussi un parti de taille auront de député sans oublier le baobab Boni Yayi des FCBE. Boni Yayi pourrait au moins prendre deux sièges, et les deux partis de Patrice Talon se partageront un siège chacun. -Au Sénégal, sur 27 candidatures annoncées à la présidentielle en février prochain, la Ceni accepte sept dossiers. La lise de Commission Électorale rendue publique fin janvier. Macky Sall candidat pour un deuxième mandat de sept ans. -En France, le gouvernement d'Emmanuel Macron serait mécontent de la victoire de l'opposant Félix Tshisekedji à la présidentielle du 30 décembre dernier. Elle veut provoquer une crise post-électorale comme en Côte d'Ivoire en 2011. -Aux États-Unis, le président Donald Trump perd le parlement. Il n'est pas loin d'une destitution. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Ven 11, sam 12, dim 13 janvier 2019
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À la Une de l'actualité africaine, en RDC, 17 ans après, enfin l'alternance au pouvoir avec la victoire de l'opposition face à la majorité conduite par le président Joseph Kabila. L'opposant Félix Tshisekedji (photo à la Une) remporte la présidentielle du 30 décembre dernier avec 38,57% des voix suivi de l'opposant Martin Fayulu qui a obtenu 34,80% et du candidat de Kabila, Emmanuel Ramazani Shadary qui s'est en sorti avec 23,80%. Et ce, selon les résultats provisoires proclamés, ce mercredi nuit, par la Commission Électorale Nationale Indépendante (Ceni). Dans les rues de Kinshasa, la victoire de Félix est en célébration. Félix Tshisekedji a obtenu environ 08 millions d'électeurs. Selon les médias français, ce résultats est contestés par quelques partisans de Fayulu et de Shadary. La France, par le biais de son ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, annonce que ces résultats ne sont pas conformes. Bien que l'Union européenne n'était pas observateur de cette présidentielle de 2018, elle exige la publication des résultats circonscription électorale par circonscription électorale. Martin Fayulu parle d'un putsch électoral à son encontre. La cour constitutionnelle proclame les résultats définitifs le 15 janvier 2019 et la prestation de serment est pour le 18, 72h après. Le vainqueur, Félix Tshisekedji rend hommage au président Joseph Kabila partenaire de l'alternance démocratique. Une crise post-électorale plane sur Kinshasa. L'ONU appelle à s'abstenir de toute violence. L'église catholique donne son avis sur les résultats de la Ceni ce jeudi. Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi n'ont pas encore réagi sur ces résultats. Arrivé au terme de son troisième et dernier mandat en novembre 2016, Joseph Kabila avait refusé l'organisation de la présidentielle jusqu'au décès de l'opposant historique père de Félix, Étienne Tshisekedji qui n'est toujours pas inhumé. Avec son élection, Félix Tshisekedji pourrait rapatrier de Bruxelles la dépouille de son père en République Démocratique du Congo (RDC). Né en 1953, Félix Tshisekedji est élu pour la première fois député en 2011 sur la liste du parti d'Étienne Tshisekedji, UDPS. Son père lui refuse de siéger car, pour le défunt Tshisekedji, Joseph Kabila n'était pas réélu en 2011. -Au Bénin, les élections législatives sont prévues le 28 avril prochain. Dans la huitième circonscription électorale, voici comment le positionnement chez les républicains pourraient se faire. En tête de liste on aurait, Abdoulaye Charles Toko, maire de Parakou avec pour suppléante, Mariyama Baba Moussa. Le maire partant pour la HAAC permettra à la coordinatrice de ABT à Parakou de siéger. Le deuxième serait le député Adam Bagoudou suivi Rachidi Gbadamassi troisième. Le maire de N'dali pourrait être le quatrième et dernier candidat du Bloc Républicain. La réélection du député Rachidi Gbadamassi ne serait pas facile. Nous sommes dans une circonscription de tous les dangers. Les progressistes qui sont aussi un parti de taille auront de député sans oublier le baobab Boni Yayi des FCBE. Boni Yayi pourrait au moins prendre deux sièges, et les deux partis de Patrice Talon se partageront un siège chacun. -Au Sénégal, sur 27 candidatures annoncées à la présidentielle en février prochain, la Ceni accepte sept dossiers. La lise de Commission Électorale rendue publique fin janvier. Macky Sall candidat pour un deuxième mandat de sept ans. -En France, le gouvernement d'Emmanuel Macron serait mécontent de la victoire de l'opposant Félix Tshisekedji à la présidentielle du 30 décembre dernier. Elle veut provoquer une crise post-électorale comme en Côte d'Ivoire en 2011. -Aux États-Unis, le président Donald Trump perd le parlement. Il n'est pas loin d'une destitution. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Ven 11, sam 12, dim 13 janvier 2019
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mardi 8 janvier 2019
À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, il se pourrait que le maire de Parakou, Abdoulaye Charles Toko succède au président Boni Tessi à la Haute Autorité de l'Audiovisuelle et de la Communication (HAAC) dans six mois au plus tard. L'actuelle mandature à la HAAC termine vers la moitié de cette année 2019. Selon plusieurs informations dans la cité des Koburu, Abdoulaye Charles Toko, proche et fidèle ami du président Patrice Talon, est pressenti pour diriger la HAAC de 2019 à 2024. Même si la décision du maire Toko est encore floue. Toko va-t-il refuser la HAAC pour la mairie de Parakou ? De sources proches et crédibles, le maire irait à la HAAC. Sauf revirement de dernière seconde. L'autre scoop dans le septentrion est qu'on apprend qu'au cas où le maire Abdoulaye Charles Toko quittait la mairie pour la HAAC, l'ex-maire destitué, Karimou Souradjou pourrait être ramené à la tête de la mairie de Parakou. Vers une permutation à la municipalité des Koburu. Charles Toko qui avait succédé à Karimou Souradjou pourrait avoir pour successeur Souradjou. Ces deux scoops qui ne sont pas encore officiels tendent à être des réalités. Tous les regards tournés vers la HAAC et la mairie de Parakou. Pendant ce temps, Mariyam Babamoussa, coordinatrice de ABT dans la huitième a rendu compte à sa base du congrès constitutif des républicains. C'était au siège de l'Alliance à Kpebier lundi matin. D'ici à février, les deux blocs de Talon pourraient s'éclater pour guerre de positionnements. Tous les leaders des partis formant l'Union Progressiste et le Bloc Républicain veulent être en tête de liste. Ce qui va créer le divorce après un mariage forcé de trois mois. Dans la huitième, les députés Rachidi Gbadamassi et Adam Bagoudou ne sont pas encore pressentis tête de liste des républicains. Les candidats aux législatives de la majorité connus en février. De la politique à l'éducation. Examen national de licence 2018, trois mois après les compositions, les résultats bloqués pour faute de moyens financiers, selon une rumeur. -À Madagascar, la Haute Cour Constitutionnelle a validé, ce mardi, la victoire d'Andry Rajoenila à la présidentielle de décembre 2018 malgré les contestations de son rival Marc Ravaolimana. -Au Gabon, un coup de force manqué ce lundi s'est soldé par 03 morts et six arrestations du côté des mutins. Un groupe de séparatiste a attaqué la radio nationale et la présidence autour de 06heures. Le plan des putschistes démasqué. -Après que le Cameroun est disqualifié, l'Égypte accueille la Coupe Africaine des Nations (Can) de juin 2019. L'annonce a été faîte ce mardi depuis Dakar, Sénégal par le président de la CAF, Ahmad Ahmad. -Au Soudan du Nord, le peuple à nouveau dans les rues de Khartoum depuis ce mardi pour exiger le départ du président Omar Al-Bechir, au pouvoir depuis 1989. -En France, les gilets jaunes veulent créer leur parti politique dans les jours à venir. Une mauvaise nouvelle pour le président Emmanuel Macron et son gouvernement. -Le président nord-coréen en visite à Pékin en Chine pour 48h. Kim Jon Un est reçu hier, mardi par son homologue chinois Xi Jinping. -Aux États-Unis, le président Donald Trump s'adresse à son peuple ce mardi au moment où son régime traverse une crise financière de Sowdwine. -Au Japon, le PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn devant les juges du tribunal de Tokyo depuis hier, mardi. Sa garde à vue est prolongée. Gohsn plaide son innocence. -En Israël, plusieurs députés arabes ne veulent plus déposer leur candidature aux élections législatives de mars prochain. -Au Brésil, investi mardi 01 janvier passé, le président Jair Bolsonaro a débuté la lutte contre la corruption. Son principal rival au second tour de la présidentielle, Fernando Adad serait aux portes de prison. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Mer 09, jeu 10 janvier 2019
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dimanche 6 janvier 2019
À la Une de l'actualité internationale, au Venezuela, le parlement vient de déclarer, ce samedi, illégitime le président Nicolas Maduro au pouvoir depuis plus de 10 ans. Réélu pour un troisième mandat il y a six mois, les députés, les patrons des grandes sociétés vénézuéliennes et la communauté internationale ont invalidé cette victoire de Maduro. Même ses populations. Pour eux, Nicolas Maduro ne mérite plus de diriger le Venezuela. Maduro qui devrait quitter le pouvoir a emprisonné presque tous ses opposants le critiquant. D'autres sont en exil en Amérique et en Colombie. La liberté d'expression, la justice, le social sont violés. Les salaires des fonctionnaire est difficilement payé. La famine secoue le pays. Et la répression sanglante s'accroît. À quelques jours de sa dernière réélection, Nicolas Maduro a échappé à un attentat meurtrier dans la capitale, alors qu'il voulait prononcer un discours à son peuple lors de la fête nationale. Baptisé "l'homme du rouge", Nicolas Maduro, toujours en chemise rouge-sang, serait devenu un bourreau pour les vénézuéliens. L'ennemi juré de Maduro est la Colombie surtout lorsque Juan Dos Santos était au pouvoir jusqu'en août 2018. Le président américain Donald Trump annonce qu'il va renverser le régime de Nicolas Maduro à l'aide de l'armée américaine et l'OTAN. Désormais, Nicolas Maduro devrait quitter la présidence. Sinon, force serait au dessus de la loi, selon l'opposition. -En France, les gilets jaunes ont défoncé les portes d'un ministère à Paris lors de leur huitième mobilisation ce samedi. 50 milles gilets jaunes ont manifesté du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest. Des voitures d'État ont été brûlées. D'énormes dégâts matériels. Les manifestants évoquent leur colère sur le discours de vœux de 2019 du président Emmanuel Macron. Les gilets jaunes, soutenus par l'opposition, veulent la démission du président Macron, élu en juin 2017. -En Syrie, le retrait de la troupe américaine par Donald Trump fait polémique dans le pays. La Russie salue une décision légale de la part de Trump. La guerre continue dans les zones attaquées par les rebelles. -Aux États-Unis, les démocrates bloquent 5milliards de dollars du projet de mur USA-Mexique de Trump. -En Arabie Saoudite, le prince héritier Mohamed Ben Salmane (MBS) en passe de perdre le poste de roi après la mort de son père. MBS est cité dans plusieurs scandales, entre autres, le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi et la guerre au Yémen. L'opposition saoudienne, exilée, dénonce la main mise sur la justice. En Afrique, au Bénin, à trois mois des élections législatives, le peuple en passe de lâcher le président Patrice Talon, selon des sondages médiatiques crédibles. Sur les 83 députés, la mouvance pourrait perdre la majorité face à l'opposition. Ce dimanche 06 janvier, les députés Rachidi Gbadamassi, Adam Bagoudou, Nassirou Arifari Bako, Robert Gbian, Benoît Degla, Kora Gounou Zimé, le maire Abdoulaye Charles Toko et d'autres membres du bloc républicain ont rendu compte à la base. Ils ont réunissent près de 6000 milles personnes à la salle d'alphabétisation de Parakou au profit du bloc républicain. Mais, L'opposition s'active à grand pas. Pendant ce temps, les travaux dasphaltage évoluent dans les grandes villes. -En RDC, une semaine après la présidentielle, les résultats provisoires annoncés dimanche prochain. L'opposition dénonce des fraudes du scrutin. Emmanuel Ramazani Chadari, candidat du président Joseph Kabila, serait le vainqueur. -Au Congo Brazzaville, la réalisation du pont pour rallier les deux Congo préoccupe le gouvernement du président Denis Sassou Guesso. -Au Soudan du Nord, la tension sociale prend de l'ampleur ces temps ci. Le peuple, par le biais de l'opposition, réclame le départ du président Omar Al-Bechir, au pouvoir depuis 1989. Ce lundi, la jeunesse annonce une nouvelle marche vers
la présidence à Khartoum. 19 personnes sont mortes depuis le début de la crise politique.
-Au Soudan du Sud, l'accord de paix entre Reich Machar et Salvaquir ne se sent pas sur le terrain.
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Lundi 07, mardi 08 janvier 2019
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vendredi 4 janvier 2019
À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, l'affaire crash d'hélicoptère à Djougou pourrait atterrir à la Justice avant les législatives en avril 2019. Quatre ans après, l'affaire revient sur tapis. Et les responsabilités seront situées. Le rapport d'enquête déjà prêt. Qui serait impliqué ? L'ex-premier ministre, Lionel Zinsou pourrait-il être interpellé ? Ou son patron, Boni Yayi ? Comme le dossier Icc-Services à la Criet, l'hélicoptère qui a fait crache dans la cité des Yowa pourrait aussi créer d'ennuis judiciaires au hommes forts du régime Boni Yayi et Lionel Zinsou qui était le chef du gouvernement de la refondation. Le 26 décembre 2015, en quittant la gaani de Nikki pour celle de Djougou, l'ex-premier ministre Lionel Zinsou a fauché sur son atterrissage non loin du stade Atchoukouma. Tous les passagers à bord de ce vol sont sortis sain et sauf. Mais l'appareil est irrécupérable. Lionel Zinsou était à Djougou pour assister à la fête de la gaani en son nom propre en tant que candidat des FCBE et au nom de l'ex-président Boni Yayi d'autre part. À qui appartient cet hélicoptère ? À Boni Yayi ? À Lionel Zinsou ? Ou à l'État Béninois ? La réponse à ces interrogations aideront à analyser la suite du dossier au cas où il est transféré à la justice. Si ce dossier de vol allait devant les tribunaux ou cours, c'est bon, mais pour quelles finalité et intérêt ? Pourquoi à la veille des élections législatives ? Affaire présumée18kg de cocaïne de Sébastien Ajavon à la Criet, le président Patrice Talon veut-il piétiner les textes de la Cour Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples (CADHP) ? Malgré l'injonction depuis 06 décembre passé dans un délai de 15 jours de la CADHP pour l'annulation temporaire de la condamnation à 20 ans et mandat d'arrêt international à l'endroit de l'ancien candidat Ajavon, la Criet et le gouvernement de la rupture font silence ? Quel danger encoure le Bénin ? -En RDC, prévus pour dimanche prochain, les résultats provisoires de la présidentielle du 30 décembre dernier seront proclamés à une date ultérieure. C'est une déclaration de la Commission Électorale Nationale et Indépendante (Ceni) qui met les gabonais dans l'incertitude post-électorale. Dans les coulisses, on apprend que le candidat de Joseph Kabila, Emmanuel Ramazani Chadari serait vainqueur face à 19 candidats divisés de l'opposition. -Au Gabon, les populations exigent la vérité sur la situation réelle du président Ali Bongo. Trois mois environ, le peuple comprend les montages des hommes de la majorité. Pour l'opposition, Ali Bongo est déjà mort. Le parti PDG dément. -Au Togo, après l'obtention d'une large majorité à l'Assemblée nationale, et ce, suite au boycott de l'opposition, le président Faure Gnassingbé Eyadema veut réviser la constitution pour rester au pouvoir jusqu'en 2030. -En France, les gilets jaunes pour la première fois en 2019 dans les rues ce samedi. Près 50 milles manifestants sont attendus à Paris et autres grandes villes. Pour les gilets jaunes soutenus par l'opposition, le président Emmanuel Macron doit démissionner du pouvoir. -Au Royaume-Uni, le vote du Brexit au parlement débute le 10 janvier prochain. La première ministre Theresa May est dans l'impasse d'échouer. -En Arabie saoudite, les cinq présumés tueurs de Jamal Khashoggi sont condamnés à mort mercredi dernier par le tribunal de Riyad. Le 02 octobre dernier, le journaliste saoudien, Jamal Khashoggi est tué à Istanbul en Turquie à l'intérieur de du consulat saoudien. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Ven 04, sam 05, dim 06 janvier 2019 -Administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288
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À suivre, Unes des journaux au monde....
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mercredi 2 janvier 2019
À la Une de l'actualité internationale, au Brésil, une première dame sourde-muette vient de succéder à madame Temer, épouse du président Michel sortant. Ceci, pour la première fois dans l'histoire. L'épouse du président investi ce mardi 01 janvier est une handicapée du côté du "Louis" et langage. La première dame se nomme Michelle de Paula Firmo Reinaldo Bolsonaro des parents 100% brésiliens. Âgé de 39 ans, Michelle Bolsonaro est mère d'une fille et s'est mariée au président Jair Bolsonaro il y a environ 10 ans. Elle est une ancienne secrétaire parlementaire de la chambre des députés et une femme politique. Après deux divorces, Jair Bolsonaro, qui a 05 enfants, a épousé Michelle de Paula Firmo Reinaldo comme troisième mariage. Elle est né le 22 mars 1980 à Ceilandia, Bresillia. Jair Bolsonaro, epoux de Michelle est né le 21 mars 1955. Vu son handicap, près de 10 interprètes sont prévus pour Michelle Bolsonaro afin qu'elle puisse diriger le Brésil au moins pour cinq ans aux côtés de Jair Bolsonaro, 38ème président du Brésil. C'est pour la première fois l'extrême-droite prend le pouvoir officiellement. Avec la première dame Michelle Bolsonaro, les handicapés du monde entier peuvent pousser un ouf de soulagement et entrer dans l'espoir. -Aux États-Unis, le président Donald Trump est assis sur un fauteuil éjectable. Le parlement sera installé dans ce mois de janvier trois mois après les élections législatives et sénatoriales. Les démocrates dirigés par l'ex-président Barack Obama annoncent la destitution de Trump. Obama a obtenu une large victoire à l'Assemblée nationale. -En Chine, l'année 2019 n'a pas encore été célébrée. Le discours de vœux de nouvel an n'a pas encore été prononcé par le président Xi Jinping. Pendant ce temps, Taïwan veut le divorce avec les chinois. -En Corée du Nord, le président Kim Jon-Un veut annuler les relations avec le président Donald Trump. Désormais, Kim ne veut plus dénucléariser ses armes chimiques. En Afrique, au Bénin: Crash d'hélicoptère à Djougou, le dossier pourrait atterrir à la justice avant les législatives en avril 2019. Le rapport d'enquête déjà rendu public. L'ex-premier ministre, Lionel Zinsou a fait crash le 26 décembre 2015 alors qu'il y était pour la fête de la Gaani au nom de l'ex-président Boni Yayi. Affaire Icc-Services à la Criet, Boni Yayi attendu à la Cour spéciale à Porto-Novo pour laver son honneur. Après l'invalidation de son élection en tant que conseiller municipal par la Cour Suprême, le maire de Kalalé, Orou Se Guéné toujours silencieux à 06 jours du dernier délai. -Au Gabon, le peuple ouvre enfin les yeux. Une autre vidéo montée est enregistrée pour faire croire aux gabonais que Bongo fils s'est adressé à eux le 31 passé. L'opposition maintient jusqu'à ce jour que Ali Bongo est déjà mort à Riyad en octobre dernier. -Au Sénégal, la liste définitive des candidats en lice pour la présidentielle de février prochain sera connue mi-janvier. Les opposants Khalifa Sall et Karim Wade seraient écartés de la compétition. -Au Nigeria, une cinquantaine de candidats pour la succession du président Muhammadou Buhari dont lui-même. Les sondages donnent l'ancien vice-président Atiku Aboubacar vainqueur. L'ancien président Obashando lâche Buhari pour l'opposition. -En RDC, vers la victoire d'Emmanuel Ramazani Chadari après le vote présidentiel dimanche passé. -Au Soudan du Nord, le président Omar Al-Bechir pourrait être renversé dans ce mois de janvier après 30 ans au pouvoir. L'opposition invite le peuple à la résistance dans les marches populaires. -Au Mali, 27 personnes sont mortes dans une attaque ce mardi dans un village au centre du pays. SC🌍🌏P-INF🅾S M🅾NDE Mercredi 02, jeudi 03 janvier 2019
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À suivre, Unes des journaux au monde....
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