dimanche 30 septembre 2018

Bénin/ Nouveau Code électoral: Vers la Mouvance en enfer et l'Opposition au paradis politiques ?

Le tout nouveau  Code électoral serait entrain de   vouloir faire échouer  le camp Talon en faveur  des opposants. À moins d'un mois de son adoption  à  l'Assemblée nationale,  les députés  du  Bloc de la Majorité  Parlementaire  et Présidentielle (BMP) serait entrain de regretter un piège que eux-mêmes veulent tomber dedans avec leur patron Patrice Talon. Que se passe-t-il réellement  entre Talon,  le BMP et le président de la Cour constitutionnelle ? Joseph Djogbénou veut-il  casser ce Code ? Si oui,  c'était alors un Code électoral  mort-né  piégé .

Par 3ATB, le 01er octobre  2018

"Le match n'a pas encore commencé,  l'adversaire  tombe" dit-on. Le BMP s'est piégé  sans le savoir ou c'est le président  Patrice Talon qui piège  les députés  du BMP ? L'enfer des législatives  de 2019 serait pour les hommes de la Rupture. Car,  à y voir ce qui se passe déjà,  le nouveau  Code électoral va plus favoriser les enfants de Boni Yayi et lui même  qui n'est pas loin d'être  le prochain président de l'Assemblée nationale. En voulant être  trop malin,  on finit par se tuer inconsciemment, selon un langage vulgaire. Les réformes partisanes pourront faire échouer Patrice Talon. Un Code électoral  piégé  voté  par le BMP pour battre la Minorité  serait entrain de donner de l'insomnie aux talon. Et une information rumeure fait état  de ce que la Mouvance  demande à  Djogbenou d'invalider ce Code sorcier. Qui a initié  cela même ?  N'y a-t-il  plus de cadre au Bénin  sous Talon ? En tout cas,  l'heure serait très  grave pour Talon et le BMP à sept mois des élections  pour le compte de la huitième  Législature. D'après  des rumeurs persistantes, le Nouveau Départ pourrait ramener intégralement  l'ancien Code électoral. Là, quel exemple le Bénin donnerait dans le monde ?  Car,  si c'est  dans un pays du Nord (100% démocratie) le président de la République et les députés  qui ont voté  ce Code auraient déjà  démissionné. Ce qui ne peut jamais  se passer au Bénin. À  moins que la Rupture  tente ce bel exemple qui va demeurer à  vie dans la mémoire des beninoises et  beninois. Entre le 09 et 13 septembre 2018, les députés de cette septième  Mandature sans les minoritaires ont voté  et adopté  le nouveau  Code électoral. Ce qui n'a pas été  facile avant le vote.  Lors des débats au Parlement,  les députés  de l'Opposition avaient déjà  révélé  et prédit  le piège  que comporte ce code. Mais leurs collègues  du BMP riaient d'eux et parlaient de propos politiques.  Et aujourd'hui. Qui a raison ? La Minorité  est déjà  au paradis politique et la Mouvance dans le feu. Patrice Talon pourrait-il  se séparer du BMP avant 2019 ? Et si Talon allait à  l'école politique  de l'ex-président  Boni Yayi pour mieux faire la politique ?  Si non,  échec les deux pieds en l'air un jour proche.

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Bénin/ Nouveau Code électoral: Vers la Mouvance en enfer et l'Opposition au paradis politiques ? Le tout nouveau Code électoral serait entrain de vouloir faire échouer le camp Talon en faveur des opposants. À moins d'un mois de son adoption à l'Assemblée nationale, les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) serait entrain de regretter un piège que eux-mêmes veulent tomber dedans avec leur patron Patrice Talon. Que se passe-t-il réellement entre Talon, le BMP et le président de la Cour constitutionnelle ? Joseph Djogbénou veut-il casser ce Code ? Si oui, c'était alors un Code électoral mort-né piégé . Par 3ATB, le 01er octobre 2018 "Le match n'a pas encore commencé, l'adversaire tombe" dit-on. Le BMP s'est piégé sans le savoir ou c'est le président Patrice Talon qui piège les députés du BMP ? L'enfer des législatives de 2019 serait pour les hommes de la Rupture. Car, à y voir ce qui se passe déjà, le nouveau Code électoral va plus favoriser les enfants de Boni Yayi et lui même qui n'est pas loin d'être le prochain président de l'Assemblée nationale. En voulant être trop malin, on finit par se tuer inconsciemment, selon un langage vulgaire. Les réformes partisanes pourront faire échouer Patrice Talon. Un Code électoral piégé voté par le BMP pour battre la Minorité serait entrain de donner de l'insomnie aux talon. Et une information rumeure fait état de ce que la Mouvance demande à Djogbenou d'invalider ce Code sorcier. Qui a initié cela même ? N'y a-t-il plus de cadre au Bénin sous Talon ? En tout cas, l'heure serait très grave pour Talon et le BMP à sept mois des élections pour le compte de la huitième Législature. D'après des rumeurs persistantes, le Nouveau Départ pourrait ramener intégralement l'ancien Code électoral. Là, quel exemple le Bénin donnerait dans le monde ? Car, si c'est dans un pays du Nord (100% démocratie) le président de la République et les députés qui ont voté ce Code auraient déjà démissionné. Ce qui ne peut jamais se passer au Bénin. À moins que la Rupture tente ce bel exemple qui va demeurer à vie dans la mémoire des beninoises et beninois. Entre le 09 et 13 septembre 2018, les députés de cette septième Mandature sans les minoritaires ont voté et adopté le nouveau Code électoral. Ce qui n'a pas été facile avant le vote. Lors des débats au Parlement, les députés de l'Opposition avaient déjà révélé et prédit le piège que comporte ce code. Mais leurs collègues du BMP riaient d'eux et parlaient de propos politiques. Et aujourd'hui. Qui a raison ? La Minorité est déjà au paradis politique et la Mouvance dans le feu. Patrice Talon pourrait-il se séparer du BMP avant 2019 ? Et si Talon allait à l'école politique de l'ex-président Boni Yayi pour mieux faire la politique ? Si non, échec les deux pieds en l'air un jour proche. SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

INDONÉSIE -SÉISME: Environ 900 morts en 06 jours


Cotonou (Bénin), le lundi 01 octobre 2018, 00h15min (SIM)-Un séisme violent a  fait près de 900 morts un peu partout  dans l'Indonésie cette semaine. C’est la région au monde la plus exposée aux catastrophes naturelles. L’archipel indonésien est la victime, d’abord, de l’amplitude du mouvement des plaques tectoniques dans la région : cinq à six centimètres par an ! Cette intensité sismologique, un record du monde peu enviable, est à l’origine des nombreux tremblements de terre et tsunamis qui la ravagent de plus en plus souvent, et de plus en plus violemment. De sorte que l’archipel se trouve sur la section la plus dangereuse de la « ceinture de feu », cet arc de quelque 40 000 kilomètres de long qui se déploie de la Nouvelle-Zélande jusqu’au sud du Chili, en passant par le Japon et la Côte ouest américaine, et où l’on compte les neuf dixièmes des volcans de la planète. Sur cet arc volcanique, l’Indonésie se distingue encore, en tant que région la plus volcanique au monde, avec 129 volcans actifs. Selon l’Institut géologique américain (USGS), les tsunamis, comme celui qui a ravagé l’île des Célèbes, vendredi 28 septembre, sont provoqués par des séismes sous-marins, déclenchés par le mouvement accéléré des plaques tectoniques, ainsi que par des éruptions volcaniques sous-marines, deux facteurs particulièrement probables au large de l’archipel indonésien. Si le plus grand nombre des tsunamis sont produits par des séismes, d’autres causes sont possibles : avalanches sous-marines, parfois déclenchées elles-mêmes par des séismes, comme en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en 1998 (plus de 2000 morts) ; explosion d’un volcan, comme à Krakatoa, petite île entre Java et Sumatra (36 400 morts, en août 1883)… Les conséquences humaines de ces séismes sous-marins provoquant des tsunamis peuvent être dramatiques comme le 26 décembre 2004 lorsque les côtes d’une dizaine de pays d’Asie du Sud-Est ont été ravagées par une vague dont la puissance fut équivalente à celle de 23 000 bombes atomiques, tuant 220 000 personnes. Au-delà de cette puissance dévastatrice des tsunamis, les scientifiques s’inquiètent de leur fréquence redoublée. En octobre 2009, déjà, Hélène Hébert, géophysicienne au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), relevait, dans Science actualités, que « l’activité sismique de fond, en Indonésie, a toujours été là, à savoir des séismes de l’ordre de 3, 4, 5, voire 6 degrés sur l’échelle de Richter », mais que « ceux que nous rencontrons aujourd’hui sont plus puissants, et surtout, plus réguliers ».

AATAB/BA/SIM

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INDONÉSIE -SÉISME: Environ 900 morts en 06 jours Cotonou (Bénin), le lundi 01 octobre 2018, 00h15min (SIM)-Un séisme violent a fait près de 900 morts un peu partout dans l'Indonésie cette semaine. C’est la région au monde la plus exposée aux catastrophes naturelles. L’archipel indonésien est la victime, d’abord, de l’amplitude du mouvement des plaques tectoniques dans la région : cinq à six centimètres par an ! Cette intensité sismologique, un record du monde peu enviable, est à l’origine des nombreux tremblements de terre et tsunamis qui la ravagent de plus en plus souvent, et de plus en plus violemment. De sorte que l’archipel se trouve sur la section la plus dangereuse de la « ceinture de feu », cet arc de quelque 40 000 kilomètres de long qui se déploie de la Nouvelle-Zélande jusqu’au sud du Chili, en passant par le Japon et la Côte ouest américaine, et où l’on compte les neuf dixièmes des volcans de la planète. Sur cet arc volcanique, l’Indonésie se distingue encore, en tant que région la plus volcanique au monde, avec 129 volcans actifs. Selon l’Institut géologique américain (USGS), les tsunamis, comme celui qui a ravagé l’île des Célèbes, vendredi 28 septembre, sont provoqués par des séismes sous-marins, déclenchés par le mouvement accéléré des plaques tectoniques, ainsi que par des éruptions volcaniques sous-marines, deux facteurs particulièrement probables au large de l’archipel indonésien. Si le plus grand nombre des tsunamis sont produits par des séismes, d’autres causes sont possibles : avalanches sous-marines, parfois déclenchées elles-mêmes par des séismes, comme en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en 1998 (plus de 2000 morts) ; explosion d’un volcan, comme à Krakatoa, petite île entre Java et Sumatra (36 400 morts, en août 1883)… Les conséquences humaines de ces séismes sous-marins provoquant des tsunamis peuvent être dramatiques comme le 26 décembre 2004 lorsque les côtes d’une dizaine de pays d’Asie du Sud-Est ont été ravagées par une vague dont la puissance fut équivalente à celle de 23 000 bombes atomiques, tuant 220 000 personnes. Au-delà de cette puissance dévastatrice des tsunamis, les scientifiques s’inquiètent de leur fréquence redoublée. En octobre 2009, déjà, Hélène Hébert, géophysicienne au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), relevait, dans Science actualités, que « l’activité sismique de fond, en Indonésie, a toujours été là, à savoir des séismes de l’ordre de 3, 4, 5, voire 6 degrés sur l’échelle de Richter », mais que « ceux que nous rencontrons aujourd’hui sont plus puissants, et surtout, plus réguliers ». AATAB/BA/SIM SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, pour guerre de positionnement, le Bloc de la Majorité Présidentielle et Parlementaire (BMP) pourrait s'exploser avant les législatives de 2019. La création de ces deux blocs politiques de la Mouvance ne serait pas une solution pour écraser l'opposition de Boni Yayi. Le président Patrice Talon devrait revoir sa politique avant les prochaines élections. Si non, la Mouvance prendra la place de l'opposition. Ceci, vice-versa. 73ème Assemblée générale de l'Onu, Patrice Talon décroche plusieurs financements pour le Programme d'Action du Gouvernement (PAG). Notons que Talon a voyagé sur Washington avec les ministres Abdoulaye Bio Tchané du Plan, Romuald Wadagni des Finances et Aurélien Agbénonci des Affaires étrangères. Justice, vers l'arrestation de Valentin Djênontin et la garde à vue de Sébastien Ajavon. Selon une rumeur, le jeudi prochain, le patron des volailles pourrait être gardé suite à sa convocation. Si elle se confirmait, que va-t-il se passer ? -Au Togo, après une semaine de réconciliation entre opposition et majorité, la crise politique de 2017 n'est pas loin de faire revirement. Les élections de novembre prochain divisent déjà les hommes politiques. L'opposition réclame toujours le départ de Faure. -Au Nigéria, le président Mouhamadou Buhari inquiet de la grève générale des syndicalistes et travailleurs. Ils réclament l'augmentation de salaires. -Au Burkina Faso, Boko Haram fait "java" cette semaine écroulée. Plus de 20 morts avec pour grand nombre dans l'armée. -Aux États-Unis, la nomination de Brett Kavanauch bloquée pour une semaine par la FBI. Depuis vendredi, le candidat de Trump à la Cour suprême pleure son avenir historique. Il est accusé par trois femmes pour agressions sexuelles commises aux années 1980, 1982 et 1998. -En Irak (Kurdistan), les élections générales en cours depuis hier. -Au Yémen, près de quatre millions d'adolescents risque de mourir de faim dans deux semaines si rien n'est fait. Ceci, selon une enquête de sources concordantes. -Au Venezuela, le président Donald Trump veut renverser le régime du président Nicolas Maduro, réélu il y a deux mois. Maduro veut une rencontre avec Trump pour ramener la balle à terre. Plus de trois millions de venezueliens ont fui le pays à cause de Maduro. -En Grèce, un nouveau État en voie d'être né. Il a pour nom "Macédoine ". À cet effet, un référendum a eu lieu hier, dimanche avec un taux de participation de 35%. Ce taux bloque la naissance du "Macédoine " SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 01er octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" -Forum Islamic existe pour scoop infos monde. Rejoindre par 96343498 Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, pour guerre de positionnement, le Bloc de la Majorité Présidentielle et Parlementaire (BMP) pourrait s'exploser avant les législatives de 2019. La création de ces deux blocs politiques de la Mouvance ne serait pas une solution pour écraser l'opposition de Boni Yayi. Le président Patrice Talon devrait revoir sa politique avant les prochaines élections. Si non, la Mouvance prendra la place de l'opposition. Ceci, vice-versa. 73ème Assemblée générale de l'Onu, Patrice Talon décroche plusieurs financements pour le Programme d'Action du Gouvernement (PAG). Notons que Talon a voyagé sur Washington avec les ministres Abdoulaye Bio Tchané du Plan, Romuald Wadagni des Finances et Aurélien Agbénonci des Affaires étrangères. Justice, vers l'arrestation de Valentin Djênontin et la garde à vue de Sébastien Ajavon. Selon une rumeur, le jeudi prochain, le patron des volailles pourrait être gardé suite à sa convocation. Si elle se confirmait, que va-t-il se passer ? -Au Togo, après une semaine de réconciliation entre opposition et majorité, la crise politique de 2017 n'est pas loin de faire revirement. Les élections de novembre prochain divisent déjà les hommes politiques. L'opposition réclame toujours le départ de Faure. -Au Nigéria, le président Mouhamadou Buhari inquiet de la grève générale

des syndicalistes  et travailleurs.  Ils réclament l'augmentation  de salaires.

-Au Burkina Faso,  Boko Haram fait "java" cette semaine écroulée.  Plus de 20 morts avec pour grand nombre dans l'armée.

-Aux États-Unis,  la nomination  de Brett Kavanauch  bloquée pour une semaine  par la FBI. Depuis vendredi,  le candidat  de Trump à  la Cour suprême  pleure son avenir historique. Il est accusé  par trois femmes pour agressions sexuelles  commises aux années 1980, 1982 et 1998.

-En Irak (Kurdistan), les élections  générales  en cours depuis hier.

-Au Yémen, près de quatre millions  d'adolescents risque de mourir  de faim  dans deux semaines si rien n'est  fait. Ceci,  selon une enquête  de sources concordantes.

-Au Venezuela,  le président  Donald Trump  veut renverser le régime  du président  Nicolas  Maduro, réélu  il y a deux mois. Maduro veut une rencontre  avec Trump pour ramener la balle à  terre. Plus de trois millions de venezueliens ont fui le pays à  cause de Maduro.

-En Grèce,  un nouveau État en voie d'être  né. Il a pour nom "Macédoine ". À cet effet,  un référendum  a  eu lieu hier,  dimanche  avec un taux de participation  de 35%. Ce taux bloque la naissance  du "Macédoine "

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Lundi 01er octobre  2018

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