lundi 31 août 2020

Côte d'Ivoire/Présidentielle 2020: Candidats, Gbagbo et Soro écartés ? SC🌍🌏P-INF🅾️S M🅾️NDE (Le Conseil Constitutionnel publie la liste retenue 15 septembre, la CEI clôture lundi, 43 dossiers déposés) Lundi 31 août 2020, 23h00








Le Conseil Constitutionnel pourrait écarter les dossiers de candidatures de plusieurs candidats dont ceux de l'ex-président Laurent Gbagbo et l'ex-président du Parlement Guillaume Soro, apprend Scoop Infos Monde de sources sûres et concordantes depuis Abidjan, la capitale ivoirienne. Ces deux hommes d'État sont déjà condamnés par la Justice ivoirienne à 20 ans de prison chacun. Le premier pour braquage de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (Beceo) à Abidjan en 2010-2011 lors de la crise postélectorale (présidentielle 2010) qui a fait environ 3000 morts. Soro est condamné pour détournement de deniers publics et tentative de coup d'État. À cet effet, Laurent Gbagbo et Guillaume Soro sont déjà radiés de la liste électorale. Donc la Constitution en vigueur leurs interdit d'être candidats. C'est suite à la "demande gracieuse" de leurs partisans en Côte d'Ivoire que la Commission Électorale Indépendante (CEI) a accepté que leur dossier physique de candidature soit déposé par procuration au siège de l'Institution de façon provisoire comme tous les autres candidats. La CEI ne valide pas un dossier de candidature, ajoutent des juristes locaux. Elle envoie tous les dossiers de candidature au Conseil Constitutionnel (ou Cour Constitutionnelle) dès ce mardi pour étude approfondie des différentes candidatures pendant deux semaines. Le Conseil Constitutionnel va publier la liste définitive le 15 septembre prochain. La CEI ferme ses portes à 00h00 (soit 1heure Bénin). Et sur plus d'une quarantaine de candidatures déposés à la CEI, plusieurs candidats seraient écartés dont Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, tous deux en Europe présentement. Certains pour faute de parrainage et d'autres pour condamnation à la justice et guerre de leadership de formation politique. L'actuel président Alassane Ouattara du Rhdp, Pascal Affi N'guessan du FPI de Gbagbo et l'ex-président Henri Bédié du PDCI seront bel et bien lice, apprend encore SIM. Le parti Front Populaire Ivoirien (FPI) est divisé. Gbagbo et N'guessan ont tous déposé leur dossier au nom du FPI. Ce que le Conseil Constitutionnel va trancher dans deux semaines. Mais c'est Pascal Affi N'guessan qui est reconnu président du FPI. En acceptant le dépôt des candidatures de Gbagbo et Soro à la CEI et ensuite les invalider, cela pourrait entrainer une crise préélectorale, ajoute un analyste. La présidentielle prévue le dimanche 31 octobre 2020. Mais la paix en passe d'être menacée en Côté d'Ivoire, dix ans après. Puisque l'opposition s'oppose à la troisième mandat de Alassane Ouattara qui est le premier à déposer son dossier à la CEI lundi dernier.






31 août, Gbagbo-Soro
SC🌏🌍P-INF🅾️S M🅾️NDE

dimanche 30 août 2020

Côte d'Ivoire/Présidentielle 2020: Le dossier de Soro déposé ce lundi SC🌏🌍P-INF🅾️S M🅾️NDE (La CEI clôture ce 31 août à minuit) Dimanche 30 août 202, 12h30







La candidature de Guillaume Soro serait-elle acceptée par la Commission Électorale Indépendante (CEI) ? À en croire Guillaume Soro et ses partisans, le président de Générations et Peuples Solidaires va déposer, par procuration, son dossier physique de candidature en vue de la présidentielle du 31 octobre 2020 ce lundi à 14h (heure Bénin) au siège de la CEI à Abidjan, la capitale. C'est à travers un communiqué, ci-joint, publié le vendredi 28 août 2020 depuis Abidjan. L'ex-président de l'Assemblée nationale et ancien premier ministre puis député actuellement, Guillaume Soro est condamné à 20 ans de prison par contumace pour une affaire de tentative de coup d'État. Il est exilé en France actuellement et avait publié sur twitter qu'il se retire de la course mais promet que Alassane Ouattara ne sera jamais le président de la Côte d'Ivoire en marge de cette prochaine présidentielle. Soro est, à cet effet, comme Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, radié de la liste électorale. Donc ne peut plus être électeur. "Quiconque n'est pas électeur ne peut pas être candidat", selon la Constitution ivoirienne en vigueur. Apprenant que Alassane Ouattara est annoncé à l'Élysée, présidence de France cette semaine, Guillaume Soro, petit fils d'un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale a écrit une Lettre Ouverte au président français Emmanuel Macron sur la situation en Côte d'Ivoire et la prochaine présidentielle. Comment a-t-on arrivé à la candidature de Soro ? Il faut noter que plus d'une vingtaine de dossiers physiques de candidature ont déjà été déposés à la CEI dont ceux de l'actuel président Alassane Ouattara du Rhdp, Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix, Pascal Affi N'guessan du FPI (aile N'guessan), Front Populaire Ivoirien de Gbagbo, l'ex-président Henri Bédié du PDCI, Parti Démocratique de la Côte d'Ivoire. Le FPI aile Laurent Gbagbo annonce qu'il dépose aussi, par procuration, le dossier de candidature du prédécesseur de Ouattara, Laurent Gbagbo ce lundi 31 août et met en garde la CEI et le Conseil Constitutionnel contre d'éventuelle invalidation du dossier de l'ex-président (2000 à 2010). La clôture du dépôt physique de candidature à la CEI est prévue ce lundi à 00h00, selon l'Institution, soit à 60 jours du premier tour de cette présidentielle. La Commission Électorale Indépendante va envoyer les dossiers de candidature au Conseil Constitutionnel (Cour Constitutionnelle) qui devrait publier, au plus tard dans une semaine, la liste définitive des candidatures retenues. Mais la paix pourrait être menacée à cette présidentielle comme celle de 2010 qui avait opposée au second tour Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo faisant environ 3000 morts. Gbagbo était arrêté le 11 avril 2011 et Ouattara devient président et réélu en 2015. Le président Ouattara révise la Constitution en 2016. Pourtant, Ouattara avait annoncé, en janvier 2020, de ne plus être candidat et avait choisi le défunt premier ministre, Amadou Gon Coulibaly. Il marche sur sa décision au lendemain du 08 juillet passé (jour du décès de Gon) et est investi candidat du Rhdp le samedi 22 août. Cela crée, présentement, une crise dans le pays. Des marches d'opposition contre un troisième mandat de Ouattara se tiennent un peu partout dans les villes. Lire le communiqué sur la candidature de Guillaume Soro.

*M.Guillaume Kigbafori SORO, Président de Générations et Peuples Solidaires, tient à informer le Peuple Ivoirien et les peuples africains qu’en dépit des entraves artificiellement posées contre sa candidature, son dossier a malgré tout été complété, conformément à la loi.*

*Il tient à remercier les partis politiques, notamment le Mouvement pour la promotion des Valeurs Nouvelles en Côte d’Ivoire (MVCI), le Rassemblement pour la Côte d’Ivoire (RACI), l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et l’Union Des Soroistes (UDS) qui ont diligemment fourni les lettres d’investiture pour soutenir sa candidature*.

*Par conséquent, en accord avec la Commission Electorale Indépendante, il a été convenu du dépôt de son dossier candidature, le lundi 31 août 2020 à 13 heures GMT.*

*Les partis politiques et tous les mouvements alliés sont invités à prendre part à cette activité.*

*Fait à Abidjan, le 28 août 2020*

*Le Service de Communication*
 





30 août, pht G. Soro
SC🌍🌏P-INF🅾️S M🅾️NDE

jeudi 27 août 2020

Bénin/03 filles brûlées à Bohicon: L'auteur du drame jugé pour meurtre? SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Le tribunal d'Abomey déjà saisi ?) Vendredi 28 août 2020, 07h30






L'homme qui a tué trois enfants de sa femme pourrait être bientôt jugé pour meurtre dès qu'il sera définitivement rétabli, selon les vœux de quelques défenseurs des droits de l'homme interrogés par Scoop Infos monde. Ils estiment que la Justice béninoise ne devrait pas passer inaperçue sur ce drame qui a coûté la vie à trois âmes innocentes à Bohicon, ville carrefour à moins de 150km de Cotonou, vers le nord. Beaucoup de citoyens aussi questionnés adhèrent à ces vœux de certains défenseurs des droits de l'homme. Pour eux, c'est un "crime de sang du siècle intolérable". Chacun tire le drap de son côté mais pleure pour les trois filles brûlées. "Des filles qui ont évolué dans les études,..et c'est une perte pour le Bénin", ajoute un jeune étudiant en Droit. Une rumeur annonce que le tribunal d'Abomey ou autre serait déjà saisi ou au pire des cas devrait bientôt être saisi par un X individu afin que le droit soit dit. "Cela ne peut pas être impuni", ajoute un citoyen béninois fâché. Un autre interrogé sur le sujet affirme que " le tribunal qui s'occupe de Bohicon qui est Abomey ou Cotonou devrait sauto-saisir dans cette situation ". La dernière personne rencontrée dit lui que " moi je pense que tout est calme du côté de la Justice parce-que le monsieur aussi est malade et présente une physionomie pathétique". "Sinon, le procès aurait déjà débuté", ajoute-t-elle. Les faits remontent mi-août 2020. L'homme après plus de 20 ans de mariage soupçonne sa femme d'infidélité et d'adultère. Selon des commérages, l'homme aurait appris que aucun des cinq enfants ne lui appartenait. Ainsi il aurait eu l'intention de brûler les 05 enfants ainsi que la sa femme. C'est ainsi qu'une nuit il met l'essence dans toute la chambre pensant que la dame est à l'intérieur de la chambre. Il met le feu, bloque les trois filles brûlées dans la chambre et et trois jeunes filles dont deux de sa femme et une autre qui vivait avec eux ont rendu l'âme. Selon des juristes approchés, l'auteur du drame encourt une condamnation à perpétuité (à vie) à en croire le code pénal. Seuls trois garçon, plus jeunes, sont sauvés parce qu'ils étaient avec leur maman.  Annoncé mort, lui-même s'était retrouvé à l'hôpital de Zagnanado pour des soins intensifs. La dame, à en croire des voisins, aurait raison si l'on suit attentivement la chronologie de l'histoire et la santé sexuelle de l'homme. Seule la Justice pourrait trancher cette affaire pour situer les responsabilités. L'homme est maintenant guéris. Tous les regards tournés vers la Justice à cet effet.






28 août, pht l'homme
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Karim: La chute d'IBK ? Portrait du jeune fort du Mali SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Karim et son père libérés ce jour) Jeudi 27 août 2020, 14h00






Aux dernières informations, Karim Keita a pu quitté Bamako ce jeudi pour un pays voisin après sa libération et celle de son père IBK tout suite. Karim Keita serait aussi la cause de la chute d'IBK Ibrahim Boubacar Keita. Son portrait (Droit auteur réservé). Karim Keïta, homme d’affaires devenu l’un des conseillers les plus écoutés par son père, Ibrahim Boubacar Keïta, n’est pas forcément un atout pour le régime. Quand il est de passage à Paris, sa ville natale, Karim Keïta descend au très chic hôtel Balzac près de Georges V, où le café est à son goût : corsé. Décrit par ses proches comme « la copie conforme de son père » le président malien, Karim est, lui aussi, un amoureux de la belle vie. Une qualité qu’il s’est forgé aux  tables raffinées des grandes villes occidentales où il a fait ses d’études.

Des affaires à la politique

Mais contrairement à son père tombé dans la marimite politique très jeune, l’aîné du président visait le monde des affaires. A l’Athénée Royal de Waterloo à Bruxelles où il est scolarisé de quinze à dix-huit ans, il passe son bac avant de s’orienter vers des études commerciales à l’ICHEC « Brussels management school ». « Une envie de changement » dit-il, le fera s’envoler pour le Canada où il poursuit son cursus à l’HEC Montréal. De ce côté de l’Atlantique où la mode est aux examens QCM, Karim garde une pied en Europe et en Afrique à travers ses lectures, notamment de la presse française. « Chaque semaine se souvient-il, j’achetais Le Point, Jeune Afrique, etc. dans la grande rue Sainte-Catherine de Montréal. » Narquois, les opposants d’IBK ne manquent pas une occasion pour leur part d’entretenir les rumeurs sur la jeunesse festive et « m’as-tu vu » du fiston.

Diplôme en poche, il revient en 2006 au Mali où il monte, deux ans plus tard, sa société de location de véhicules, « Rent a Car » basée à l’ACI, le quartier d’affaires de Bamako percé de hautes tours modernes. En parallèle, Karim gère l’agence Konijane Strategic Partners (KSP), un cabinet de conseil pour les entreprises en Afrique à travers lequel il cultive un vaste et prestigieux réseau sur le continent. Les deux sociétés dont il est aujourd’hui toujours propriétaire sont fréquentées par une clientèle haut de gamme souvent issue des milieux d’affaires ou politique. « Même les opposants de mon père ont loué discrètement chez moi » aime-t-il rappeler malicieusement. Un précieux carnet d’adresse qu’il mettra volontiers au service de son père avant et après son élection à la tête de l’Etat.

Soutien indéfectible de son père en politique, il met pour la première fois la main à la pâte lors de la campagne présidentielle de 2007 en montant des comités de soutien dans la capitale. Mais ce n’est que lorsque le Mali s’embrase en 2012 que « Kathio », comme le surnomment ses proches, alors âgé de 32 ans, est propulsé sur le devant de la scène politique. Décrit par la presse malienne comme l’un des conseillers les plus influents de son père, ce qu’il estime « exagéré », il est pris d’un passion soudaine pour la géopolitique. « Quand la tension a commencé à monter et que les militaires ont renversé l’ex président Amadou Toumani Touré, j’ai dévoré toutes les notes de l’Ifri (Institut français des relations internationales) » affirme-t-il. Admiratif du député Ump Pierre Lellouche, ancien secrétaire d’État aux Affaires européennes sous Nicolas Sarkozy et fondateur de l’Ifri qu’il rencontre parfois à Paris, Karim affûte ses connaissances sur le conflit qui plonge son pays dans le chaos. Après la chute du régime d’ATT, les événements s’accélèrent. Des élections sont prévues pour juillet 2013. Cela tombe bien, le Quai d’Orsay a jeté son dévolu sur IBK qui devient le candidat de la France. C’est décidé, Karim fera tout pour que son père devienne président.

Papa veut pas

Pour la campagne, il mobilise ses réseaux, prend en charge la communication et la logistique. Surprise, avant la tenue du scrutin, c’est l’une de ses connaissances, l’homme d’affaires Sidi Kagnassi, qui décroche le contrat de fabrication des cartes électorales biométriques « Nina » pour le compte de la société française Morpho (ex-Sagem), filiale de Safran. Plusieurs fois condamnée pour corruption dans d’autres pays africains, l’entreprise traîne bon nombre de casseroles. Au Mali des voix ne tardent pas à s’élever dénonçant un surplus de production de près de deux millions de cartes d’électeurs à usage frauduleux. Interrogé sur son éventuelle influence lors de l’appel d’offre, Karim Keïta se défend. « A l’époque, j’étais encore hors du circuit politique. Je n’occupais aucun poste de décision ».

Pourtant, le jeune homme ne reste pas longtemps hors du jeu politique. Une fois le père élu, le fils gonfle ses ambitions. Il confie son désir de se faire élire député et brigue la très stratégique commune II de Bamako aux législatives de novembre 2013. « Mon père s’y est opposé affirme-t-il. Il ne voulait pas que ses enfants soient mis sur le devant de la scène ». Il faudra attendre l’intervention du chérif de Nioro, le puissant leader de la confrérie religieuse hamalliste qui a soutenu sans réserve IBK durant sa campagne pour le convaincre de le laisser faire. Les paroles du leader religieux sont d’or. La voie est libre, Karim remporte les élections malgré les critiques de certains cadres du parti d’IBK (le RPM) qui pointent son manque d’expérience.

Déjà pourtant, le jeune  » Kathio  » voit plus loin.  » Avant même de me présenter pour être député c’était la commission de défense qui m’intéressait « , dit-il. Dans un pays en guerre, quoi de plus déterminant que le lien avec l’armée ? Les jeux de stratèges attirent le jeune élu qui relit avec zèle  » Le Grand Echiquier  » de Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller de Jimmy Carter à la sécurité nationale. Mais à nouveau les cadres du RPM montent au créneau. A nouveau IBK s’oppose. A l’époque, c’est le général Niamé Keïta, ancien inspecteur général de police à la retraite et fin connaisseur des questions de sécurité élu sur la liste du RPM qui est pressenti pour présider la commission. Rien n’y fait. Karim remporte la mise. « Merci papa » grincent les opposants.  » Après cela, mon père ne m’a plus parlé pendant trois mois  » affirme l’intéressé.

Un froid qui n’a pourtant pas empêché d’autres proches du chef de l’Etat d’occuper des postes de pouvoir importants. Parmi les heureux élus on compte son beau père, Issiaka Sidibé, président de l’Assemblée nationale. Outre Sidi Kagnassi, devenu conseiller spécial d’IBK, le ministre de la communication, Mahamadou Camara, ancien salarié de Jeune Afrique, est aussi un bon ami de Karim. Tout comme Léo Tall, chargé de mission à la Présidence de la République. Un népotisme qui vaut à la famille présidentielle d’être accusée de s’accaparer le pouvoir. Lorsqu’en avril dernier l’ancien premier ministre Oumar Tatam Ly démissionne affirmant avoir tenté en vain de convaincre IBK de revoir son style de gouvernance, c’est Karim qu’on accuse d’avoir mis des bâtons dans les roues de l’ancien chef de gouvernement.  » Faux  » répond-il.  » Il suffit de lire sa lettre de démission pour voir qu’il ne fait jamais référence à moi.  »

Aux contempteurs qui crient à l’impérialisation du pouvoir, il répond que son père porte avant tout son choix sur des personnes reconnues pour leurs compétences. Et si elles se trouvent dans les cercles familiaux où d’amis, quelle importance ? « Après tout, s’interroge-t-il un sourire en coin, cela n’arrive-t-il pas dans d’autres pays ? Y compris occidentaux… ? »

Les réseaux Karim 

A Bamako, c’est désormais sa relation avec Sidi Kagnassi qui lui vaut d’être la cible de nombreuses attaques. Cadet de Cheikhna Kagnassi, l’ancien magnat du coton en Afrique de l’Ouest, Sidi Kagnassi a vécu pendant de nombreuses années en Côte d’Ivoire où il a pris les rênes de l’Aiglon, l’une des filiales de l’empire familial qu’il a conduit à la faillite. Ce n’est qu’à l’avènement d’IBK dont sa famille est proche qu’il revient au pays. Depuis, il navigue dans les couloirs du palais de Koulouba. On murmure que c’est Karim qui aurait accéléré le rapprochement avec la présidence. A partir de septembre 2013, Sidi Kagnassi intervient auprès des banques maliennes pour débloquer les crédits nécessaires à l’achat de fourniture militaires pour l’armée. Le 13 novembre 2013, c’est un contrat de pas moins de 69 milliards de francs CFA (105 millions d’euros) qui est signé entre la société d’import-export Guo-Star et le ministère de la Défense. Au FMI où l’on scrute de près cette transaction hors budget, on s’interroge sur la nécessité du recours à un intermédiaire qui s’est vu attribué le contrat de gré à gré. Une mesure d’exception que Karim Keïta, déjà président de la commission de défense à l’époque, justifie par le caractère sensible du contrat.

Depuis son ascension, Karim fascine et alimente tous les « on-dit ». La presse malienne ne se lasse pas de la comparaison avec Karim Wade, le sulfureux fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade mis en détention dans l’attente d’un procès pour enrichissement illicite. Un rapprochement qui hérisse le fils Keïta qui s’emploie scrupuleusement à détricoter l’image de flambeur qui lui colle à la peau. « On m’a accusé d’avoir commandé une porsche c’est faux, où la ferais-je rouler à Bamako ? On m’a accusé d’avoir acheté 17 hectares de terres dans la région du Mandé pour un milliard de francs CFA c’est faux. Allez voir le cadastre. Quoi d’autre encore ? Honnêtement, je devrais demander 5% sur les ventes des journaux qui font du commérage à mon sujet » plaisante-t-il. « La vérité c’est que tout le monde se focalise sur mon statut de fils de président parce que personne ne trouve rien à redire sur mon travail à la commission de défense ».

Et pour l’avenir ? Quand on lui demande s’il songe à prendre la suite de son père, il sourit en levant les yeux au ciel et se frotte le haut du crâne. « Certainement pas, la politique me fait perdre mes cheveux ». Il est à nouveau élu député en avril dernier.

DAR





27 août, pht Karim K. Parl
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Bénin/Frais mémoire 16 à 19: Les étudiants d'écoles déjà virés SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Ceux des facultés vers septembre) Jeudi 27 août 2020, 13h00







Les étudiants d'écoles qui ont soutenu déjà depuis l'avènement de la Rupture ont déjà reçu leur frais de soutenance, apprend Scoop Infos monde (SIM) de sources sûres concordantes. Les étudiants qui ont fini leur formation universitaire entre 2016 à 2019 (16 à 19) et qui ont régulièrement constitué les dossiers de perception des *frais de soutenance ou de mémoire* devront tous recevoir les 75milles francs CFA par étudiant. À cet effet, le payement a débuté par le gouvernement de Patrice Talon. Il faudrait catégoriser deux types d'étudiants dans les universités publiques du Bénin. Les étudiants des facultés et ceux d'écoles et instituts. Tous les étudiants d'écoles et instituts qui avaient vu leur nom à l'affichage sont déjà payés, confie à SIM un des bénéficiaires. SIM apprend aussi que le virement bancaire auraient déjà débuté pour certains étudiants des facultés. Encore apprend SIM, l'affichage des listes d'étudiants bénéficiaires des 75.000f pour le compte des autres facultés devrait se faire au plus tard la semaine prochaine, sauf changement de dernière minute. Tout cet affichage concerne l'Universités pluridisciplinaire d'Abomey Calavi et ses délabrements puis l'Université pluridisciplinaire de Parakou et ses démembrements. Le Bénin dispose, faut-il le rappeler, de deux Universités pluridisciplinaires. Beaucoup d'étudiants des facultés qui ont soutenu de 2016 à 2019 seront virés septembre prochain. Pour le cas des étudiants soutenus avant 2016, SIM n'a pas pu jusqu'à ce jour trouver une information fiable. Néanmoins, les recoupements se poursuivent à cet effet. Ils seront informés par SIM. Pour les étudiants (non encore soutenus)  boursiers ou qui ont le secours, l'affichage de leurs listes serait effectif septembre 2020 à la Direction des Bourses et Secours Universitaire (DBSU) située au sud du campus d'Abomey Calavi à moins d'un kilomètre, en allant vers Cotonou à droite.





27 août, phts arch
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Bénin/Les Démocrates: Sur les traces de la FCBE et du FPI ? SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (Le virus destructeur déjà chez LD?) Jeudi 27 août 2020, 09h20








Avant la délivrance du récépissé au parti Les Démocrates (LD), le virus dangereux et destructeur des partis politiques sous la Rupture est-il déjà chez le futur parti de l'ex-président Boni Yayi ? Après PSD, RB et FCBE, est-ce le tour des LD ? En Côte d'Ivoire par exemple, après le départ au pouvoir de l'ex-président Laurent Gbagbo, son parti le Front Populaire Ivoirien (FPI), plus grand parti de l'opposition sous Alassane Ouattara connait une pire crise. Un groupuscule dirigé par Pascal Affi N'guessan s'est emparé du FPI de Gbagbo et N'guessan dépose ce jeudi son dossier de candidature à la présidentielle d'octobre prochain au nom du FPI. Pendant ce temps, l'ex-président Laurent est radié de la liste électorale et écarté de la course. Le président Alassane Ouattara a pris le pouvoir en 2011 suite à une présidentielle controversée qui l'a opposé avec le président Laurent Gbagbo. Elle s'était soldée par environ 3000 morts. À sa prise de pouvoir, Ouattara était confronté au FPI, plus grand parti politique. Du coup, le FPI entre en crise jusqu'à ce jour. Au Bénin, la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) a connu aussi une crise tout comme le PSD Parti Social Démocrate de Emmanuel Golou et la Renaissance du Bénin (RB) des Soglo. En septembre passé,  le récépissé FCBE fût vu sur les réseaux sociaux comme une rumeur. Le camp loyaliste à Yayi n'était même pas informé de l'organisation d'un présumé congrès par Paul Hounkpê et cie en vue d'écarter les responsables exécutifs de la tête du cauris pour d'obtenir le récépissé. Ces personnes sont poursuivies par la justice, avaient expliqué des cauris. Boni Yayi, ex-président d'honneur de la FCBE, et ses quelques hommes ont claqué la porte à cauris quelques mois plus tard et entament les démarches pour créer LD. Paul Hounkpê et autres héritent de la FCBE qui était le plus grand parti de l'opposition. Elle fut fondée vers 2007 par Boni Yayi. Cette semaine avec les démocrates, le flou commence depuis mardi. Les journaux affirment que les ex-membres FCBE devront d'abord démissionner avant que le récépissé définitif ne soit délivré au parti Les Démocrates (LD). N'allons pas encore assister au même scénario que chez LD ? Un groupe ne va-t-il pas recevoir de récépissé au détriment du grand nombre ? Et si Éric Houndété, président des démocrates fouillait bien cette affaire afin de voir claire ce qui voudrait se passer ? Et si c'est Boni Yayi qui serait craint, puisqu'il est très populaire ? "Il n'y a pas de fumée sans feu". Dans les jours à venir, la vérité va éclater.






27 août, phts LD,FPI,FCBE
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mercredi 26 août 2020

🔴Communiqué SIM🔴 Scoop Infos monde va publibier uniquement dans ses propres groupes whasaps dès octobre 2020




À partir d'octobre 2020, les foras (forums whasap) Scoop Infos monde connaîtront un réaménagement dans l'intérêt de tous.


1-Les membres qui ne se sont jamais présentés seront retirés des foras dès octobre prochain. Un contrôle de 45 jours a débuté, à cet effet ;


2-De nouveaux membres seront ajoutés aux foras et des membres seront nommés administrateurs ;

3-Au moins deux nouveaux foras seront  créés le 05 novembre 2020 pour contenir les demandes d'adhésion ;

4-Le règlement intérieur des six foras whasaps sera retouché en octobre ;
 

5-Les demandes d'intégration ne seront plus automatiques. Les principaux administrateurs examineront à fond le numéro demandeur. Afin de connaitre la vraie identité ;

6-Les articles de SIM seront désormais publiés dans les foras SIM seuls sauf dans quelques foras qui demandent un *rapprochement avec SIM*. Les principaux administrateurs en discuteront ;


7-Le site blog scoop infos monde sera réaménagé pour faciliter la lecture à ses membres et lecteurs ;


8-La reprise du résumé de l'actualité dès octobre 2020 ;

9- La publication des Unes des journaux du Bénin, en Afrique et à l'International tous les jours reprendra en octobre ;

10-Les scoops, enquêtes, recherches, découvertes,....aussi ;


Il faut rappeler que Scoop Infos monde est un groupe d'informations créé le 05 novembre 2016 par des journalistes (en son temps étudiants), des faiseurs d'option, des blogueurs et autres. Il publie les directs, les informations de tout genre, les enquêtes, les Unes des journaux,.....À travers le monde. Il compte trois administrateurs principaux ( *97524288*, *96343498, *97878347*), 11 administrateurs et six foras whasaps puis affilié à une trentaine de groupes. SIM est le seul groupe qui publie les Unes des journaux du monde chaque jour. Il fait partir des meilleurs foras whasaps d'informations. Il dispose des correspondants un peu partout dans le monde. Le siège principal est basé au Bénin. *Dès octobre 2020, ses publications seront uniquement dans ses foras whasaps*





Lomé le 26 août 2020




*L'administration SIM*

mardi 25 août 2020

🔴Bénin/Ministère de l'Interieur: Le parti L D a déposé les corrections SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (Le récépissé devrait être délivré) Mardi 25 août 2020, 22h00








Les choses semblent  évoluer du côté des démocrates. L'information reste encore en scoop. Le parti politique Les Démocrates (LD) aurait déjà déposé ce mardi soir les lettres de démission des membres fondateurs des ex-FCBE au cabinet du ministère de l'Interieur de Sacca Lafia. C'est une information que vient de confier un futur membre fondateur de LD à Scoop Infos monde. Le parti de l'ex-président Boni Yayi, aujourd'hui président d'honneur LD, avait reçu un avis non favorable pour la délivrance du récépissé définitif par le ministère de l'Interieur. Sacca Lafia exige que les démocrates membres fondateurs qui n'ont pas encore démissionné de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) apportent leur lettre de démission avant de délivrer ce précieux sésame. Ce qui vient d'être fait, apprend-on de source sûre mais non-officielle. C'était la seule notification faite aux responsables démocrates. En réalité, les démocrates devront recevoir leur récépissé définitif ce mercredi 26 août ou tout au moins dans la semaine. Au cas où un autre problème n'est pas révélé aux démocrates. Le parti Les Démocrates, dirigé par Éric Houndété, est en gestation pour jouer le rôle de l'opposition face au régime de Patrice Talon. Ils se réclament du plus grand parti de l'opposition à l'inverse de la FCBE.





25 août pht imag arch
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🔴Bénin/LD en difficultés:🔴 Le récépissé du parti d'abord bloqué SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Voici ce qui se passe en coulisse) Mardi 25 août 2020, 17h00








Les futurs membres fondateurs qui ont rejoint le nouveau parti politique *Les Démocrates* (LD) et qui n'ont jamais démissionné de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) bloquent sans le savoir la délivrance du récépissé du parti de l'ex-président Boni Yayi et de Éric Houndété, vient d'apprendre SIM de sources sûres et concordantes. Certains membres fondateurs de la FCBE n'ont pas démissionné avant de s'engager aux côtés de LD. Cela amène le ministère de l'Interieur de Sacca Lafia a ne pas délivrer le récépissé au parti Les  Démocrates. Scoop Infos monde (SIM), votre journal en ligne, a fouillé et a pu découvrir pour vous ce qui se passe dans les coulisses. Ces membres fondateurs envoient déjà leur lettre de démission du parti FCBE afin de rejoindre LD, nous ajoute une source. Ils seraient nombreux à déjà envoyer mais néanmoins, ajoute la source à SIM, que certains s'annoncent. Scoop Infos monde se réserve le droit de citer les noms de ces personnes qui ont rejoint LD sans démissionner de la FCBE. Au moment opportun, vous aurez si possible la liste de ces personnes. Une fois que ces lettres de démission seront prêtes de façon collective, elles seront envoyées aux responsables de la FCBE. SIM apprend aussi que toutes ces lettres de départ (démission de la FCBE) seront prêtes dans la semaine afin de faciliter la délivrance du récépissé à LD qui se réclame du plus grand parti politique de l'opposition sous le régime de Patrice Talon. Sur cette liste de ceux qui doivent démissionner d'abord de la FCBE, même si c'est un seul membre qui reste, LD n'aura pas son récépissé. LD pourrait avoir de difficultés à ce niveau. Lorsqu'une nouvelle formation politique fait la demande de récépissé au ministère de l'Interieur, elle devrait avoir une notification dans au plus deux mois. LD a déposé son dossier il y a environ six semaines. L'ex-président Boni Yayi, ancien président d'honneur de la FCBE avait déjà envoyé sa lettre de démission à la FCBE avant de donner son dossier aux démocrates. On apprend encore que Boni Yayi serait le président d'honneur de LD et Éric Houndété sera le président du parti (intérim secrétaire exécutif national). Tous deux au départ de la FCBE, ils ont rejoint LD à cause de la crise née au sein des cauris au lendemain de la délivrance du récépissé définitif au parti en septembre 2019. Deux camps se sont formés. Le bloc qualifié de loyaliste qui soutient toujours l'ex-président Boni Yayi et le camp reconnu par le ministère de l'Interieur dirigé par Paul Hounkpê. Une fois que Les Démocrates auront leur récépissé définitif, le plus dur va commencer. Puisque, la FCBE entame déjà les démarches pour prendre la tête de l'opposition béninoise. Le chef de file de l'opposition sera nommé par le gouvernement, selon la nouvelle Constitution en vigueur. Comment quelqu'un va nommer son ennemi ? Et comment LD et Les FCBE pourraient cohabiter dans l'animation de la vie politique ?







25 août, pht LD
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Bénin/Soutenances 2016 à 2019 Les frais de mémoire licence prêts SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (Près de 75 milles fcfa par étudiant) Mardi 25 août 2020, 13h50







Les étudiants des universités publiques du Bénin qui ont déjà soutenu entre 2016 à 2019 commencent déjà à recevoir les frais de mémoires. C'est la dernière information dans le monde universitaire. Pour être bénéficiaire de cette somme qui tournerait autour de 75milles francs CFA, il faudrait préalablement fournir les pièces exigées pour recevoir "les frais de soutenance" après avoir fini les études en licence. Ce montant "des frais de soutenance" qui sera versé directement dans les différents comptes bancaires de chaque étudiant concerne toutes les filières terminées de 2016 à 2019. L'affichage des listes a déjà débuté sur les campus et à la Direction des Bourses et Secours Universitaire (DBSU). Pour éviter la propagation de la Covid-19 dans les attroupements, les listes sont envoyées par pdf sur les réseaux sociaux. Les listes de toutes les listes ne sont pas encore sorties mais sortiront dans ce mois. Le fichier en pdf joint concerne pour les étudiants qui ont fini leur formation à la Faseg, Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de 2016 à 2019. Les étudiants en fin de formation à l'arrivée de la Rupture du président Patrice Talon avaient en vain espéré cette somme. Mais à six mois de la présidentielle, le payement débute. N'y a-t-il pas un rapport ? Pendant ce temps, les nouveaux bacheliers (2020) qui bénéficieront de bourse et secours au titre de l'année universitaire 2020-2021 seront connus fin août. Ce sont les nouveaux bacheliers âgés de moins de 22 ans qui devront recevoir cette bourse ou ce secours, confie un ancien bénéficiaire à Scoop Infos monde. Les anciens étudiants qui devront bénéficier des frais de bourse et secours pourront recevoir leur notification début septembre prochain, apprend-on d'une source universitaire non-officielle.






25 août, pdf Faseg
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Mairie de Pkou/Gestion de Toko:




Décriée, la Criet jouerait sa crédibilité
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(Pourquoi Dr Yaya aurait raison)
Mardi 25 août 2020, 11h30




La Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) souvent traitée d'une Cour créée pour juger les opposants devrait cette fois-ci profiter laver son honneur à la mairie de Parakou. C'est une occasion historique qu'elle ne devrait pas rater. Le vendredi dernier, le maire sortant, Aboubacar Yaya au-cours de son allocution a fait de troublantes révélations sur la gestion de l'ancien maire Charles Toko. Et le week-end écroulé, des messages qui ont circulé sur les réseaux sociaux avec le discours de Toko en écrit comme en audio parlent de la Mairie de Parakou vaut 15milliards et non la Mairie dispose de 15 milliards. Pourtant, l'ancien maire Toko n'avait pas parler de 15 milliards FCFA seulement. Il avait ajouté qu'il quitte à la tête de cette Municipalité laissant 12milles parcelles. Alors que l'ex-ministre d'État, Aboubacar Yaya a affirmé avoir vu 5000 parcelles au-cours de ses deux mois de gestion à la Mairie de Parakou (Pkou), à 437Km de Cotonou, la capitale vers le nord du Bénin. Mais ce qui est étonnant, les messages de contre-attaques qui parlaient de "la Mairie vaut 15milliards et non dispose de 15milliards de francs CFA" n'ont pas parlé des 12milles parcelles devenues 5000 sous l'administration de l'ex-maire Aboubacar Yaya, à en croire le successeur de Toko. S'ils ont de preuves, pourquoi n'ont-ils pas fait cas des parcelles à noter que même avec l'affaire de 12milles parcelles devenues 5000, la Criet devrait déjà sauto-saisir du dossier puisqu'il y aurait bel et bien crime économique. Il faudrait faire une lumière sur les 7000 autres parcelles non retrouvées par Dr Aboubacar Yaya et ses adjoints. À Parakou, plus grande ville du nord, les parcelles coûtent déjà chères bien avant 2016, à l'arrivée de Charles Toko. Considérons que l'une des 12milles parcelles coûte un peu plus d'un million, les 7000 coûteront au moins 10milliards de FCFA. Ajouter à cela, l'affaire de "vaut 15milliards FCFA". L'autre affaire qui devrait attirer l'attention de la Criet est qu'un maire qui affirme que la "Mairie vaut 15 milliards" laisse une dette de 5milliards, selon le discours de son prédécesseur, avant de quitter le poste de maire sans oublier l'affaire plus de deux cents millions des frais non payés de ramassage d'ordures. Comment est-ce que la Mairie, pourtant riche et qui vaut 15milliards, a pu s'endetter jusqu'à ce point ? Tous ses faits donneraient raison à l'ex-maire Aboubacar Yaya qui pourrait même avoir des preuves à y voir sa posture le jour où il lisait son discours de départ. Et le plus inquiétant, Charles Toko actuel premier Adjoint au maire et les élus UP et BR avaient, publiquement, apporté leur soutien au poste de maire à Alimatou Abdoulaye, actuelle troisième Adjoint au maire contre Aboubacar Yaya. Pourtant les deux sont élus sur la liste cauris et le parti d'opposition (FCBE) avait désigné Aboubacar Yaya sur la première liste envoyée au préfet du Borgou. Est-ce parce qu'ils se reprocheraient quelle que chose ? Pourquoi Charles Toko ne voudrait pas de Aboubacar Yaya à la Mairie ? Cache-t-il quoi ? Avait-il peur du Dr Aboubacar Yaya ? Puisque l'homme est un docteur d'État en droit et enseignant d'universités. Ce qui voudrait dire qu'il serait difficile qu'il soit embrouillé. Et son niveau est très élevé voire incomparable à celui de dame Alimatou Abdoulaye qui pourrait facilement être bernée.  Depuis ces troublantes révélations de Aboubacar Yaya, Charles Toko n'a toujours pas éclairé l'opinion publique sur l'affaire des "présumés 15milliards, 12milles parcelles et plus de deux cents millions de dette de ramassage d'ordures". Et c'est pour quand s'il envisage le faire ? Et ce serait une meilleure chose afin que Toko lave son honneur. Sinon, la Criet devrait aussi prendre au sérieux cette affaire pour situer les responsabilités. Diligenter une enquête à la Mairie de Parakou voire l'étendre dans les autres 76 communes pour fouiller la gestion de la troisième mandature. Cela permettrait aux béninois qui douteraient de cette Cour de savoir qu'elle est " toujours impartiale" et juge tous. Pour l'heure, la Criet jouerait sa crédibilité à la Mairie de Parakou avec la troisième mandature. Patrice Talon, le premier magistrat du Bénin qui prône la bonne gouvernance et la rigueur devrait aussi jeter un coup d'œil à la Mairie de Parakou. La Rupture serait mieux appréciée dans cette cité des Koburu où l'opposition a battu sauvagement la mouvance aux communales du 17 mai dernier. Sinon, depuis le départ de Yaya et avec ces révélations, chacun tire le drap de son côté à Parakou.





25 août, phts

Toko-Criet
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lundi 24 août 2020

🔴Bénin/Parrainage 2021:🔴 L'opposition rencontre Talon quand ? SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Ce que devrait faire les opposants) Lundi 24 août 2020, 17h20








Les probables candidats de l'opposition, qui remplissent toutes les conditions pour être en lice devront débuter les négociations avec le chef de l'État Patrice Talon qui est le patron de l'Union Progressiste (UP) et le Bloc Républicain (BR) afin de recevoir des députés ou et maires de la mouvance. Nous sommes à six mois du premier tour de la présidentielle 2021 et tout semble être calme chez l'opposition. Sauf Joël Aïvo qui est sur tous les fronts. La mouvance, quant-à elle, a entamé des tournées politiques et des rencontres en vue de la réélection de Patrice Talon, qui n'a même pas encore déclaré sa candidature pour 2021. Pourquoi l'opposition devrait rencontrer Patrice Talon ? Puisque à en croire beaucoup de cadres de majorité présidentielle, tout élu (député ou maire) de l'Union Progressiste (UP) et du Bloc Républicain (BR) est libre de parrainer n'importe quel candidat à la présidentielle prochaine. Quel que soit son bord (mouvance comme opposition). Donc l'opposition pourrait se flotter les mains et pousser un ouf de soulagement. "Pourvu que çà ne soit pas un piège" estime un opposant. "Moi je ne crois pas à cela, surtout avec ce qui s'est passé aux législatives d'avril 2019" ajoute un autre. Mais ce qui pourrait contredire ces mouvanciers, Patrice Talon a, publiquement, refusé une alliance entre FCBE et BR ou FCBE et UP lors de l'installation des maires et adjoints de cette quatrième mandature. Ce qui sous entend que Patrice Talon est le président de l'UP (baobab) et BR (cheval). Toute décision proviendrait de lui, même celle du parrainage 2021. Seul, à cet effet, le chef de l'État pourrait autoriser aux maires et députés de la mouvance à parrainer les candidats d'opposition. À première vue on voit Amoussou Bruno sur le baobab et Abdoulaye Bio Tchané sur le cheval. Mais la réalité serait autre et ailleurs. Néanmoins, l'opposition pourrait débuter les pourparlers en vue d'obtenir de parrains avec Tchané et Amoussou. Cela ferait monter le dossier chez Patrice Talon. Et le "plutôt serait le mieux" estime un militant engagé. Car, faudrait pas que l'opposition dise encore qu'elle "aurait été exclue" de la présidentielle 2021 pour faute de parrainage après celle ("exclusion") dite en 2019. Si après cette démarche l'opposition n'obtenait pas gain de cause, elle saurait tirer une conclusion. Le code électoral en vigueur a prévu qu'à partir de la présidentielle 2021, tout candidat à la magistrature suprême obtienne la signature de 16 députés et/ou maires pour faire valider son dossier de candidature. Aujourd'hui, sur les 160 parrains (83 députés et 77 mairies selon la Constitution) que détient le Bénin, l'UP et le BR ont 154 contre 06 pour FCBE. La Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) qui est le seul parti d'opposition qui a d'élus  devrait convoquer les probables candidats de l'opposition pour enclencher les démarches. L'opposition devrait s'unir et éviter de division. L'ex-président Boni Yayi, probable président d'honneur du parti "Les Démocrates" qualifié de la plus grande formation politique de l'opposition ne devrait pas aussi rester muet jusqu'à ce jour. Comment l'opposition peut-elle imposer l'alternance en 2021 en croisant les bras ? Même si elle aurait plus de la moitié des électeurs du pays, elle ne pourrait rien si elle n'a pas de candidat(s). "Le monde appartient à celui qui se réveille tôt" disent les allemands. Et ce n'est pas à la veille de la chasse qu'ilil faut apprêter son chien. Faudrait pas que l'opposition compte sur la médiation de la Cedeao ou autres institutions gouvernementales, à en croire un spécialiste politique. Les législatives de 2019 n'ont-elles pas encore servi de leçon à l'opposition ? "Si la Rupture voudrait une présidentielle inclusive", elle doit sauter le parrainage et revenir à l'ancien système électoral", affirme un opposant.







24 août, phts arch Talon-Yayi
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🔴Bénin/Religion:🔴 Alekpehanhu est devenu musulman SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (L'artiste s'est converti ce dimanche) Lundi 24 août 2020, 11h20






L'artiste (ancien)

Michel Alekpehanhu, surnommé roi du Zinli s'est converti en islam. C'est la confirmation qu'a eue, ce lundi 24 août, Scoop Infos monde (SIM) depuis Abomey, département du Zou à travers un de ses correspondants. Depuis l'après-midi de ce dimanche, l'information est parvenue à la rédaction de SIM sous forme d'une rumeur. Mais, c'est bien une réalité. La communauté musulmane du Bénin a encore un nouveau fidèle, comme d'habitude. Les images de la cérémonie de conversion du Chef d'arrondissement à Abomey, Alekpehanhu avec les maîtres coraniques existent et ce ne sont pas des montages, confirment encore certains habitants contactés dans cette commune royale. Dans les photos, le fidèle musulman, Alekpehanhu répétait après les deux maîtres coraniques ceci " j'atteste (Alekpehanhu) qu'il n'y a de divinité qu'Allah (Dieu) et Mahomet Salalahou Aleihi Wassalam est son (Dieu) Messager....". Et ce, plusieurs fois. Soit en langue Arabe : "Achadu An-Lar Ilaha Ilalahou Wa-Achhadu Ana Muhamada Rasulu Lohi SAW...."( phrase traduite par un étudiant en langue Arabe et Culture Islamique). C'est de cette manière les nouveaux venus dans la religion musulmane sont convertis et accueillis, révèle à SIM un autre enseignant coranique. L'artiste, des décennies dans la carrière musicale a préféré rejoindre la religion musulmane (du prophète Mahomet SAW) depuis ce dimanche 23 août. Michel Alekpehanhu est un artiste international béninois spécialisé dans la musique traditionnelle en particulier culture "Fon". Marié et père de plusieurs enfants, Alekpehanhu est entré en politique en 2020. Le 17 mai dernier, il est élu conseiller communal de la ville d'Abomey puis chef d'un arrondissement de cette ville. C'est une bonne nouvelle pour les musulmans que Scoop Infos monde a touchés pour recueillir leurs expressions suite à la venue dans la religion islamique de Michel Alekpehanhu, CA. "Qu'Allah fasse que d'autres viennent dans l'islam un jour comme Alekpehanhu" affirme, Saïd, fidèle musulman, rencontré à Cotonou.





24 août, pht Conv Alekp.
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dimanche 23 août 2020

Ligue des champions: Une finale froide et molle ce jour SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (PSG joue contre Bayern de Munich) Dimanche 23 août 2020, 12h23






Les fans du football suivront une finale exceptionnelle ce dimanche à Lisbonne. À cause de la pandémie de la Covid-19, le match se jouera à huit-clos. Cette finale de la Ligue des champions 2019-2020 est la 65e finale de la Ligue des champions de l'UEFA. Ce match de football de ce jour devait se jouer le 30 mai 2020 au stade olympique Atatürk d'Istanbul, en Turquie avant d'être reporté en raison de la pandémie de Covid-19. Elle se déroule ce 23 août 2020 au Estádio da Luz de Lisbonne, au Portugal. Alors que très souvent les intentions sont focalisées sur les clubs de Christiano Ronaldo (CR7) et Lionel Messi (Réal Madrid, Barcelone..), plusieurs fois ballon d'or, cette saison est une surprise. Et la pandémie de la Covid-19 fait que le ballon d'or ne sera même pas décerné pour ce championnat. Le Paris Saint-Germain (PSG) qui se qualifie en finale, pour sa première fois, croise le club allemand, Bayern de Munich à Lisbonne ce dimanche à 21h GMT (20h dans certains États). Plusieurs amateurs du football qui sont en grand nombre les fans et supporteurs de CR7 et Messi ne seraient pas trop motivés pour suivre cette finale qui s'annonce simple, froide et molle. À Paris en France, c'est un jour historique. Le gouvernement de Macron a déjà mobilisé près de 5000 forces de sécurité aux Champs-Élysées pour célébrer cette éventuelle victoire du PSG. Au moins 655 milliards de fcfa sont investis au PSG à chaque saison de la ligue des champions sans que l'objectif envisagé ne soit atteint, estime l'administration PSG. Les français espèrent remporter le trophée tout comme les allemands. Le club de la capitale française fête ses 50 ans cette année. Du côté des allemands, c'est un jour spécial. À noter que la chancelière allemande, Angela Merkel et Emmanuel Macron avaient promis lors de leur rencontre, à Bregançon jeudi dernier, de suivre cette finale du couple franco-allemand avec sourire aux lèvres. À en croire Macron et Merkel, c'est une compétition entre deux clubs frères d'Europe.






23 août, pht arch
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*Covid-19*: Un abri pour les dirigeants dictateurs SC🌎🌎P-INF🅾S M🅾NDE (L'opposition connaîtra plus l'"enfer") Dimanche 23 août 2020, 11h47







La Covid-19 ("coronavirus" apparue en "décembre 2019" à Huan en Chine) pourrait servir un refuse ou un abri pour les dirigeants dictateurs dans tous les continents du monde dont l'Afrique. Les gouvernants dictateurs qui sont jaloux du partage du pouvoir pourraient, désormais, profiter de cette pandémie de la Covid-19 pour longtemps se maintenir au pouvoir sans être inquiétés ni perturbés , sauf un cas de coup de force (ou coup d'État) militaire. L'armée aussi renverse un président suite aux pressions du peuple qui manifeste souvent. C'est en ce moment que l'armée prend acte et fait effondrer le régime décrié. Des dirigeants démocrates pourront, eux, devenir des dictateurs. Les marches ou manifestations, surtout, de l'opposition seraient interdites "pour éviter la propagation du virus de la Covid-19". Ce serait l'argument à brandir. Certains dirigeants refuseront d'organiser des élections. Et des campagnes électorales, qui permettaient aux candidats de convaincre des électeurs seront exclues. C'est l'opposition qui sortirait " grande perdante". Lorsqu'un président gouverne mal ou déraille, l'opposition arrive à le ramener à la raison et à l'ordre à travers des marches et manifestations dans les rues. Ceci, pour prouver que "le pouvoir appartient au peuple" qui le réclame. Les marches ont fait partir des chefs d'État dans le monde ou bloquer des projets de lois dans les États. Au Zimbabwe le mercredi 15 novembre 2017, le peuple, nombreux, était dans les rues de Harare, la capitale, pour exiger le départ du défunt président Robert Mugabe (plus vieux président africain en exercice en son temps). L'armée renverse tard dans la nuit Robert Mugabe et le contraint à démissionner du pouvoir après plus de 29 ans de règne. Cela a permis à Emerson Mnangagwa, opposé à Mugabe, président aujourd'hui, d'accéder au pouvoir. En Algérie, l'ex-président Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir plus de 16 ans, c'est vu renverser par l'armée le mardi 02 avril 2019 suite à la demande du peuple à travers des manifestations. Début 2019, alors qu'il devrait annoncer sa candidature pour un éventuel quatrième mandat, les citoyens sortaient massivement dans la capitale, Alger pour exiger la chute du régime. Après deux semaines de marches chaudes et tendues, Abdelaziz Bouteflika et son gouvernement avaient jeté l'éponge. Au Mali, le Mouvement du vendredi 05 juin 2020 (M5-RSP) de l'Imam Mahmoud Dicko, prenant le rôle de l'opposition est la cause de la chute du régime d'Ibrahim Boubacar Keita (IBK) le mercredi 19 août 2020. Après 73 jours de crise générale et 04 grandes marches du M5-RSP, l'Armée arrête IBK et son entourage, le fait démissionner et crée le Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) qui assure actuellement l'intérim du palais de Koulouba (présidence). Au Soudan arabe (Soudan du Nord), l'ex-président Omar El-Bechir, qui avait rendu fin décembre 2018 le prix du pain "très cher" de 200f à 1200f (estimation) la baguette avait vu son peuple dans les rues de Khartoum. L'armée le jeudi 11 avril 2019, à la suite de quatre mois de manifestations populaires, renverse Omar El-Bechir et l'a  emprisonné à vie. Au Bénin, les manifestations et grèves des années 1988 et 1989 ont contribué à la chute du régime communiste et dictatorial du défunt président Mathieu Kérekou et à l'organisation de la conférence nationale des forces vives de la nation en 1990. Cette conférence avait permis au Bénin d'entrer dans le cercle des grands pays démocrates. En mars avril 2017, l'opposition béninoise avait débuté des  manifestations jusqu'à l'Assemblée nationale en vue d'empêcher la révision de la Constitution de 1990. 21 députés d'opposition ont suivi le mot d'ordre du peuple et avaient bloqué le projet. La Constitution de 1990 n'était pas révisée sauf décembre 2019 à cause de la configuration de la huitième législature (actuel Parlement sans opposition). Sous l'ex-président Boni Yayi, plusieurs marches et "mercredis rouges" d'opposition ont contraint le prédécesseur de Patrice Talon a annulé certains projets de loi et concours. En Guinée Conakry, le Mouvement du Front National de Défense de la Constitution (FNDC), créé le 14 octobre 2019 par l'opposition a pu faire sauter le parrainage qui était une arme pour exclure les candidats d'opposition à la présidentielle d'octobre 2020. Alpha Condé, qui aurait la prétention de se repositionner pour un troisième mandat a de sérieux problème avec le peuple qui marche actuellement. En France, les "gilets jaunes" apparus depuis 2018 ont manifesté plus de 60 semaines à Paris et dans d'autres villes françaises pour faire annuler des projets de loi du président Emmanuel Macron. Et ils ont obtenu de gains de cause. En Côte d'Ivoire ce samedi 22 août, l'investiture du président Alassane Ouattara en tant que candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (Rhdp), pour un troisième quinquennat à la présidentielle du 31 octobre 2020 a réuni plus de 100 milles partisans au stade Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan malgré la pandémie. Si c'était l'opposition qui voudrait organiser cet évènement historique, le gouvernement de Ouattara pourrait lui interdire à cause de Coronavirus. Il n'y a pas encore un pays du monde qui n'a jamais connu la colère du peuple et la révolte populaire dans des cas de projets de loi controversés. Les dirigeants dictateurs pourraient, désormais, interdire les manifestations d'opposition sous prétexte qu'ils lutte contre la contamination du virus de la Covid-19. Du coup, les rassemblements ne seraient plus autorités. Ces dirigeants profiteront pour prendre leur pays respectif en otage comme si c'était leur propriété privée. Et l'opposition va souffrir le "grand enfer terrestre". Puisque l'alternance serait difficile voire impossible à vie surtout dans 10 pays pris pour exemple dont l'image des chefs d'État africains et européens, est jointe à savoir (chaque fois de la gauche vers la droite et du haut vers le bas), le Cameroun de Paul Biya environ 38 ans au pouvoir, Idrissou Début Itno du Tchad 30 ans de règne, la Biélorussie (Europe de l'Est) de Alexandre Loukachenko 26 ans au pouvoir, Vladimir Poutine de la Russie (Eurasie) 09 ans au pouvoir (dont 22 ans de règne officieux), la Guinée Équatoriale de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, 41 ans au pouvoir, Alassane Dramane Ouattara de la Côte d'Ivoire 10 ans au pouvoir (candidat pour un troisième mandat), Alpha Condé de la Guinée Conakry, 10 ans au pouvoir (et voudrait se repositionner), Faure Eyadema du Togo plus de 15 ans (soit près de 50 ans de règne de la famille Faure), Paul Kagamé du Rwanda 20 ans et Ali Bongo Ondimba du Gabon 11 ans au pouvoir (sa famille gère le pays depuis 1967). Possibilité alternance peut-être après la fin du virus. À en croire des chercheurs en Santé, l'humanité est en passe de vivre avec la Covid-19 comme le VIH Sida. La fin ne serait pas pour aujourd'hui ni demain. Et que faire alors à cet effet ? Certains juristes estiment qu'on ne devrait pas demander une autorisation pour marcher contre un régime.




AATAB




23 août, phts Prts dictateurs
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vendredi 21 août 2020

Bénin/Présidentielle 2021: Patrice Talon, candidat de l'UDBN ? SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (Le parti de Prudencio, en université d'été 2020, vient de faire son choix) Vendredi 21 août 2020, 17h30








Dès que Patrice Talon sera candidat en 2021, il aura aussi le soutien de l'UDBN, qui est toujours restée fidèle aux idéaux du patron de la Rupture, tout comme d'autres formations politiques. Dans un discours de moins de 10min, la présidente de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN), Claudine Prudencio vient de déclarer que le parti du maïs soutient toujours le président Patrice Talon pour la présidentielle prochaine. Cette déclaration de ce vendredi 21 août est faite pendant l'Université d'été 2020 dudit parti à Cotonou, dans la salle Majestic de Fidjrossè, au sud du Bénin. Avant de réitérer son soutien à Patrice Talon, l'honorable Claudine Prudencio a lu un bilan des grands travaux réalisés par le chantre de la Rupture en moins de cinq ans. Entre autres, l'eau potable et l'électricité accessible pour tous dans la plupart des localités du pays, l'assainissement de l'administration publique, les reformes dans le secteurs de l'éducation qui donnent de meilleurs résultats chaque fin d'année, la réorganisation du système politique et la consolidation des institutions du Bénin. Et d'autres réformes courageuses engagées par Patrice Talon. Plus loin dans son allocution, Claudine Prudencio a aussi abordé la question de l'asphaltage en cours dans plusieurs villes du Bénin. Le PAG, Programme d'Action du Gouvernement, ajoute-elle, a permis à l'école béninoise de retrouver ses lettres de noblesses pour que le Bénin retrouve son titre de "quartier latin de l'Afrique". Une nouvelle carte universitaire est aussi tracée sous la Rupture. Le gouvernement Talon a aussi retouché les secteurs financier, justice, santé et travail. " Toutes ces réalisations sont à l'honneur du peuple béninois ", ajoute l'honorable Claudine Prudencio. C'est à cause de tout ceci l'UDBN, l'autre parti de la mouvance, maintient son soutien au président Patrice Talon. Cette rencontre de ce jour a connu la participation d'un représentant de l'UDBN de chaque circonscription électorale du pays en raison de la pandémie de la Covid-19. Les délégués venus des 24 circonscriptions électorales ont apprécié cette rencontre initiée par le parti du maïs, UDBN à quelques mois de la présidentielle. Cette université d'été a facilité de faire un réajustement au niveau du parti après les dernières élections en vue des victoires plus grandes aux prochaines. La coordination nationale a choisi trois communicateurs. Venue de la huitième circonscription électorale, Dr Marie Akpotrossou (tête de liste dans le deuxième arrondissement de Parakou aux municipales 2020) a présenté la première communication  sur " les structures de base de l'UDBN à l'épreuve des élections communales: rôle et responsabilités. L'UDBN qui a participé aux communales 2020 avait fait un bon score dans certaines villes du Bénin dont Abomey-Calavi, d'autres communes de l'Atlantique et Parakou. Pour faute de 10%, des conseillers élus UDBN ne pouvaient pas siéger, selon le code électoral en vigueur. La deuxième communication s'est tenue avec le Bâtonnier Cyrille DJIKUI sur: "Les attentes des militants dans un parti politique : cas de l`UDBN". La 3ème communication est exposée par Dr Éric DEGUENON : "Bilan de la participation de L'UDBN aux élections communales et municipales". Il faut rappeler que plusieurs partis soutenant les actions du gouvernement ont déjà apporté leur soutien au président Patrice Talon pour la présidentielle 2021. Sans oublier les mouvements, associations et initiatives personnelles. La déclaration de candidature pour un second mandat de Patrice Talon vivement attendue, à cet effet. Puisque le premier tour de la présidentielle aura lieu en février 2021.






21 août, phts Talon-Cl Prdc
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Bénin/Comparaison IBK et Talon: Réagissant, là où Gbadamassi a failli SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Qui gère BN Contrôle ou Douane ?) Vendredi 21 août 2020, 12h00








Le député Rachidi Gbadamassi a certes bien fait de réagir suite à la comparaison entre Talon et IBK du Mali que font des béninois sur les réseaux sociaux, mais le cas de la gestion du Mali par le fils d'IBK ne devrait pas se retrouver dans sa prompte réaction. Dans son intervention diffusée sur les réseaux sociaux, l'honorable Rachidi Gbadamassi a détaillé les péchés qui sont reprochés à Ibrahim Boubacar Keita (IBK) jusqu'à qu'au renversement de celui-ci mardi 18 août. IBK, 07 ans au pouvoir, était trop proche de la France qui avait l'ambition d'imposer un "État laïque" à IBK alors que le peuple malien dans sa grande partie et l'Imam Mahmoud Dicko prônent pour un "Mali islamique". Le point concernant le fils d'IBK qui gère le pays depuis un certains moment en lieu et place de son père devrait être comparé avec la situation qui prévaut au Bénin avec Patrice du côté de la Douane béninoise. Le député affirme qu'aucun membre du président Patrice Talon n'est impliqué dans la gestion du Bénin sous la Rupture. Ce qui amène certains faiseurs d'option à se demander qui gère Bénin Contrôle SA, une société privée de Talon qui "aurait remplacé la Douane béninoise" ? Depuis près de trois ans, des fonctionnaires affilés à la Douane béninoise dénoncent ce remplacement de la Douane du Bénin par Bénin Contrôle SA aujourd'hui dans les mains de la famille du président Patrice Talon, à en croire Marouf Salami, président de l'association des déclarants en douane du Bénin sur une télévision privée du Bénin début de cette semaine. Marouf Salami affirmait aussi que Patrice Talon disait au-cours d'une rencontre avec des acteurs portuaires qu'il aurait déjà laissé la gestion de Bénin Contrôle SA à ses enfants. Plus loin, M. Salami et ses co-batteurs révèlent que la fermeture des frontières benino-nigerianes serait due à cause de Bénin Contrôle, une société critiquée par l'administration Buhari à la frontière de Kraké et Igolo. Ils expliquent que si ce n'était pas à cause de Bénin Contrôle, pourquoi le Niger exporte déjà vers le Nigeria les produits pourtant interdits d'importation au Nigeria ? Mais le Bénin n'exporte rien depuis un an. Et le Bénin aurait beaucoup chuté financièrement, ajoutent-ils. Si c'est vrai que Bénin Contrôle est aujourd'hui géré par la famille de Patrice Talon, alors là le président Talon gère aussi le pays avec sa famille, comme ce que faisait IBK avec son fils Karim Keita ou Abdoulaye Wade du Sénégal avec son fils Karim Wade avant 2012. Parce-que que Bénin Contrôle SA ou la Douane béninoise représente une grosse entreprise pour le Bénin. Et la recette béninoise est plus basée sur la Douane béninoise. Si quelqu'un gère Bénin Contrôle ou la Douane béninoise, c'est plus que plusieurs ministères. C'est aussi gérer le pays dans un autre style. Le fils d'IBK et les enfants de Talon, quelle différence alors ? S'interroge un citoyen.







21 août, pht R.Gb, Talon, BNC.
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Bénin/Verrou des mairies: Et si c'était à cause du maire Yaya ? SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (2 poids 2 mesures de la Rupture ?) Vendredi 21 août 2020, 13h00









À la surprise générale, le ministre de la Décentralisation Alassane Seidou vient de lever ce jeudi 20 août la note interdisant le recrutement ou nomination dans les 77 mairies du Bénin. Et ce, à la veille du départ du maire Aboubacar Yaya de le tête de la Municipalité de Parakou, la plus grande maire du nord du pays. Au début de l'installation des conseils communaux du Bénin, début juin 2020, le ministre de la Décentralisation avait pris une note pour interdire le recrutement, la nomination et autres par l'exécutif communal de la quatrième mandature alors que la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) prenait la mairie des Koburu. Des journaux locaux avaient estimé que la note serait prise dans le but d'enquêter sur la gestion de la troisième mandature. Et maintenant, l'audit a-t-il eu lieu ? Et pourquoi ? En son temps, Scoop Infos Monde avait écrit un article de questionnaire et d'analyste. SIM avait fait tenter de tirer un rapport entre la note et la venue des FCBE dans certaines mairies. Votre journal en ligne avait même émit d'interrogations entre autres, la note serait prise parce-que FCBE a obtenu 07 mairies par hasard ? De surcroit une ville à statut particulier qui est Parakou ? Alors que le Bloc Républicain (BR), l'autre parti du président Patrice Talon avait zéro ville à statut particulier au lendemain du 17 mai dernier, date des dernières communales face à l'UP qui détient Cotonou et Porto-Novo, les deux autres villes à statut particulier du Bénin. Cette ville de Parakou qui vient d'être échappée aux FCBE revient aux mains du BR (maire) et de l'Union Progressiste (UP), un parti présidentiel. Alors que le maire Aboubacar Yaya et ses collègues FCBE passent le témoins ce vendredi à Inoussa Chabi Zimé et autres, on constate que le verrou posé dans les mairies sur le recrutement ou nomination vient d'être levé. Même les aveugles verraient un rapport ? Est-ce que n'est-ce pas là le deux poids deux mesures de la Rupture ? Ou bien une coïncidence ? Le maire Aboubacar Yaya, qui vient de passer deux mois à la tête de la mairie de Parakou vient de faire de fracassante révélation lors de son discours de passation de charge ce jour sur la gestion de l'ex-maire Charles Toko. Et l'actuel premier Adjoint au maire, Charles Toko n'était pas présent à cette passation. Savait-il ce qui allait se passer ? Patrice Talon, qui prône la bonne gouvernance dans les communes du Bénin et la rigueur dans la gestion de la chose publique devrait diligenter un audit à la mairie de Parakou afin de voir claire sur ce qui se passe. Sinon, le maire Inoussa Chabi Zimé est sur un "fauteuil sale". Et il risquerait gros dans l'avenir si les responsabilités ne sont pas situées dès maintenant. Un autre citoyen se réjouit même du départ de Aboubacar Yaya de la tête de la mairie de Parakou. Sinon, l'ex-ministre d'État allait être impliqué dans ces "présumés crimes économiques" causés par la troisième mandature. Inoussa Chabi Zimé maire BR et Charles Toko premier adjoint au maire BR, que va-t-il se passer ?







21 août, pht Talon, CT, AY, AS
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jeudi 20 août 2020

Religion: Nouvel an musulman 1442 ce jeudi SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (L'historique avec Dr Benyoucef) Jeudi 20 août 2020, 12h00






Nous voici à la fin de l'année 1441 ce mercredi 19 août 2020. Muharram 1442, la nouvelle année musulmane a officiellement débuté ce jeudi 20 août dans tout le monde dont l'Arabie Saoudite et le Bénin. L'année islamique compte autour de 350 jours. Jeudi 20 août 2020 comme le premier jour de l’an 1442, une date qui rappelle l’épisode de l’émigration (Hégire) du Prophète Muhammad et de ses proches compagnons de La Mecque vers Médine en l’an 622 de l’ère chrétienne. Le début de Muharram, un des quatre mois islamiques sacrés, de l’an 1442 étant acté ce jeudi, le jour de l’Achoura est, en conséquence, fixé au samedi 29 août 2020. Ce jour est traditionnellement jeûné par les musulmans pratiquants en hommage au prophète Moïse qui a souhaité remercier Dieu pour avoir sauvé son peuple du Pharaon lors de l’exil hors d’Egypte. Le début de la nouvelle année hégirienne n'est pas un jour de fête dans la tradition islamique. Néanmoins, de très nombreux pays musulmans décrètent férié le premier jour de Muharram. La nouvelle année hégirienne est également le moment choisi pour les musulmans disposant du seuil de richesse minimal (nissab), chaque année réévaluée, de payer la zakat al-maal.




L'historique de l'année musulmane selon le Dr Brahim Benyoucef, Islamologue


En l’an 622, soit à la 12e année de la révélation, Médine, connue avant sous le nom de Yatrib, située à 400 km au nord-est de la Mecque, devint le centre de l’Islam, d’où, allait rayonner le nouvel ordre.

Douze ans après la révélation survenue, la première fois, sur la colline de Hïra, non loin de la Mecque en l’an 610, et pour résister aux pressions de l’establishment (l’ordre établi), idolâtre, le prophète Mohamed (que le salut soit sur lui) choisit Médine comme destination d’exil en 622, où il comptait déjà un nombre important de fidèles, parmi sa population.

Durant les premières années de la révélation, le messager d’Allah et ses compagnons devaient subir les atrocités des maîtres de la Mecque, paradoxalement parmi sa tribu –Koreich-. L’islam, message de paix, d’équité, d’éthique et de justesse, perçu par l’establishment idolâtre, comme menaçant et compromettant les gros intérêts, allait en être la cible. Les maîtres de la Mecque, parmi Koreich, riches et propriétaires, à la tête d’un riche réseau de commerce entre le Nord et le Sud de l’Arabie, aristocrates puissants, gardiens des idoles et du temple occupé de la Kaaba, voyaient dans le nouvel ordre de l’islam une grave menace à leur puissance et intérêts. Ils furent plus que jamais, décidés, de mobiliser toute leur force, pour contrecarrer la propagation de l’islam, et arrêter l’action du messager. Depuis, le prophète et ses compagnons allaient vivre les atrocités d’un ennemi déterminé et puissant. Ils vivaient dans le secret, leur religion, et ne pouvaient révéler leur foi. Résistant aux tentatives incitatives de Koreich et à ses menaces, le messager devient une menace à leurs yeux. Devant la persévérance du prophète et de ses compagnons, et voyant à quelle vitesse l’islam se propager, malgré toutes les entraves, Koreich décida alors, de tuer le prophète.

Averti, le prophète décida de s’exiler à Médine, où il comptait déjà un nombre important de fidèles parmi sa population, pour poursuivre la propagation du message révélé.

La veille, et averti du complot le visant, il demanda à son compagnon et cousin Ali Ibn Abi Taleb de dormir sur son lit, et parvint ainsi à dérouter les regards de Koreich qui le guettait. Accompagné de son compagnon Abou-Bakr, il quitta la Mecque en direction de Médine. Alors que ses ennemis à ses trousses, il trouva refuge dans une grotte appelée Ghar-Thaour, et avec la grâce de Dieu, il put les éviter et poursuivre son parcours.

Depuis, cette date est adoptée comme début du calendrier musulman lunaire, connu sous l’appellation hijri, hégire, qui signifie exil.

Lors d’un court séjour de transition à Quba, non loin de Médine, le prophète construisit sa première mosquée. À Médine, où il atterrit quelque jours plus tard, le prophète et ses compagnons d’exil (El-Mouhajirounes), reçurent un bon accueil de la part des médinois (El-Ansar).

À Médine, toute la cité était à l’accueil. Une fois apparus à l’horizon, le prophète et son compagnon furent accueillis avec joie et chants, dont le plus célèbre –Talaa al badrou aleyna…- (La lune surgit à nos horizons…)

Une fois à Médine, alors que la population interceptait sa chamelle, et tous couraient à son accueil, et se disputaient le privilège de le recevoir, il demanda, dans une intention d’équité, qu’on laisse la chamelle poursuivre son parcours, car révélateur ; et le récit indique que c’est dans un lieu appelé Al-mirbad, que la chamelle du prophète s’est accroupie, et l’endroit fut choisi, comme lieu pour l’édification de la mosquée, au cœur de la nouvelle cité. Le prophète ordonna l’achat de la parcelle pour que la grande mosquée de Médine y soit construite. La grande mosquée, centre névralgique de la nouvelle cité et pôle de l’activité, spirituelle, sociale et politique, était un bâtiment simple, composé d’une galerie couverte, à nefs parallèles au mur de la qibla, (qui fut à son début orientée au Nord vers Jérusalem), prolongée d’une cour. Sur le côté est, ont été édifiées les demeures du prophète, qui ont servi aussi de lieu d’enterrement du prophète, et de ses compagnons : Abu Bakr et Omar. La mosquée, de 1060 m2 de superficie à son début, mesurait 35 m de long sur 30 de large, et ses murs s’élevaient à 2 m.

Dans l’esprit des fondateurs, et dans un contexte d’austérité, c’est surtout la fonction qui prime, et aucun intérêt n’était accordé à l’apparence, à la décoration et l’extravagance. Des matériaux simples tirés du milieu même : terre et pierraille et bois de palmier. Des formes pures et simples, de quoi juste satisfaire les exigences fonctionnelles.

L’heure était à l’établissement du nouvel ordre moral, social, politique et institutionnel. À Médine allait prendre racine la nouvelle civilisation, celle de l’Islam. Une nouvelle société y voit le jour, où règnent paix, équité et harmonie, et où musulmans, juifs et chrétiens allaient vivre en harmonie et dans le respect. À Médine, sont édifiés les fondements du nouvel État, régi par une constitution de droit, que le prophète institua sous le nom de la Charte de Médine, garantissant à tous, droits et statuts.

 Et, tout vibrait au son de la dynamique des valeurs et des idées. De Médine, allait rayonner la civilisation de l’Islam. La nouvelle cité allait s’articuler autour de trois lieux : al-jamii, al-rahba et al-maskan. Chacune de ces trois fondations allait constituer le centre à son échelle, et le pôle d’où allaient rayonner l’activité sociale, spirituelle et économique. Chaque lieu traduit son nom : al-rahba, signifie l’immensité, pour désigner le lieu de rencontre et de négoce ; al-jamii, qui signifie le rassembleur pour désigner la mosquée principale, centre de l’activité spirituelle et sociale ; al-maskan, qui signifie le lieu de recueillement, pour désigner le foyer et l’habitat. Le modèle de la mosquée hypostyle de Médine allait servir de référence aux mosquées qui allaient lui succéder. Dans ce contexte de défense et d’établissement des fondements de la nouvelle cité et de son ordre, à l’aube de l’Islam, l’heure était à l’essentiel.

 On retient surtout à travers le message du prophète qui prit part personnellement à la construction de la mosquée, et aux autres fondations de la cité, que l’acte de bâtir est un acte de foi, surtout lorsqu’il s’agit de fondation pieuse, destinée au bien-être de la collectivité. À Médine, le prophète a eu le temps d’agrandir ses rangs et d’établir son autorité. Seulement huit ans plus tard, soit en l’an 8 de l’hégire, correspondant à 630, de notre ère, le prophète et ses compagnons revinrent en force, triomphant, vainqueurs, et reprirent la Mecque. 

Le prophète, noble et généreux, lança du centre de la Kaaba, en s’adressant à la population de la Mecque, auparavant hostile, « Qu’attendez-vous de moi ? » et poursuivit devant des regards craintifs et attentifs : « partez-vous êtes libres ». Il offrit aux ennemis d’hier, paix et salut, et parvint à unifier en peu de temps, toute l’Arabie autour de l’Islam. De Médine, allait rayonner l’Islam et sa civilisation à travers le monde et marquer l’histoire de l’humanité à jamais. On retient de l’hégire, la leçon de la paix, de la persévérance, du courage et de l’espérance. On retient de l’hégire la morale de l’éthique, de l’humanisme et de la foi.



Scoop Infos Monde ; Cheikh Imam Aboudoulaye TEGNAMI (en photo), Président d'Honneur du Haut Conseil des Imams de Parakou (HCIP), plus vieux Imam en exercice du Bénin ;
Cheikh Imam Mohamed Youssouf Wakaya (photo), président du Haut Conseil des Imams de Parakou et 3ème vice-président de l'Union Islamique du Bénin (UIB) ;
 et collègues 
souhaitent une bonne année 1442 à tous les musulmans du monde et du Bénin en particulier.







20 août, images illustrées
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Bénin/Parrainage 2021: L'opposition attend toujours UP et BR SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (Talon ne serait pas seul candidat ?) Jeudi 20 août 2020, 14h40








Tous les candidats d'opposition à la présidentielle 2021 sont toujours en attendent de recevoir des parrains afin de valider leur candidature à la Commission Électorale Nationale Autonome (Cena) de Emmanuel Tiando. Au risque d'être tous écartés pour "faute lourde et dangereuse", opposée à "faute majeure et grave"). Les " fautes mineures et légères " peuvent participer. Faute lourde et dangereuse pourrait être attribuée aux candidats dont les dossiers vont souffrir de parrainage. Le nouveau code électoral en vigueur, validé par la Cour constitutionnelle dirigée par Joseph Djogbenou, a prévu que tout candidat à la magistrature suprême doit avoir 16 parrains. Et ce, à partir de la prochaine présidentielle. Un maire ou un député constitue un parrain, ajoute le code. La huitième législature (Assemblée nationale) est composée de 83 députés UP et BR dont un député UP décédé. Le Bénin ne devrait pas avoir plus de 10 candidatures, faut-il le rappeler. 82 députés+77 maires égale 159 parrains divisés par 16 total: 09,94 soit 09 candidatures au plus. Aux législatives de 2019, aucun parti d'opposition n'a eu la chance de participer. "L'opposition est écartée et empêchée de participation", estiment des opposants. Seuls l'Union Progressiste (UP, baob) et le Bloc Républicain (BR, cheval) étaient en lice. Cela avait entraîné une crise électorale occasionnant des morts. Aux communales 2020, 71 des 77 communes du Bénin sont contrôlées par l'UP et le BR. La Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), est la seule formation politique d'opposition qui a obtenu 07 maires (mais désormais 06; sans Parakou). UP et BR sont des partis du président Patrice Talon dont la candidature pour un deuxième mandat en 2021 est suscitée par ses proches et fans. Pendant ce temps, l'opposition est dans une incertitude totale. Sauf, Joël Aïvo qui est actif sur le terrain sans parrains. A-t-il un plan B ? Ou Aïvo aurait-il reçu de promesses de parrainage ? "Les promesses politiques n'engagent que ceux qui y croient". Aujourd'hui, seule la majorité présidentielle anime plus l'actualité politique en vue de la présidentielle 2021. Parce-qu'elle détient déjà 153 parrains soit huit candidat et 08 candidats au poste de vice-président. Comment l'opposition va-t-elle faire sans l'UP et le BR ? Il faudrait donner de parrains à l'opposition. Et cela dépendrait de Talon, patron de la "Rupture et du Nouveau Départ". La seconde option pour avoir une élection présidentielle inclusive est qu'il faudrait sauter le parrainage et le supprimer comme vient de le faire la Guinée Conakry. Cela dépendra du président Louis Vlavlonou et ses collègues députés. Organiser une présidentielle sans l'opposition, que va-t-il se passer ? "Les législatives du 28 avril 2019 devront servir de leçon au régime actuel", selon des acteurs politiques. Pendant ce temps, l'ex-président Boni Yayi, probable président d'honneur du parti Les Démocrates (LD) et ses partisans attendent leur récépissé de chez Sacca Lafia, ministre de l'Interieur. Parrainage 2021, tous les regards tournés vers Bruno Amoussou de l'UP, Abdoulaye Bio Tchané du BR et Patrice Talon de l'"Union Progressiste des Républicains" (pour dire UP+BR). Ou bien Patrice Talon pourrait-il prendre le "risque" d'être seul candidat en lice au 21ème siècle ?







20 août, pths acteurs
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mardi 18 août 2020

Bénin/Imposition à Djougou: Divisées, les populations critiquent l'exécutif communal et le maire SC🌎🌏P-INF🅾S M🅾NDE (La popularité de Gomina en chute ?) Mardi 18 avril 2020, 14h30








Depuis juillet-août 2020 que la Municipalité de Djougou a commencé par envoyer l'avis d'imposition aux citoyens de la localité, les populations sont plus divisées que jamais et critiquent même l'exécutif communal en particulier le maire Malick Gomina sur les réseaux sociaux. Si certains critiquent en langue "Yôm", d'autres en majorité le font en " Dendi". Dans plusieurs groupes whasaps des fils et filles de la cité des "Yowa" (ou Djougou), on entend des crient de coeur de certaines personnes estimant "illégal" cette imposition. D'aucuns voudraient que cet avis d'impôts ne soient pas envoyés ces temps ci. Il faudrait avertir les populations, les sensibiliser et enfin les imposer. Mais le faire subitement ne serait pas bon, s'expliquent-ils. En tout cas, chacun tire le drap de son côté au point où on assisterait à un mécontentement total vis-à-vis du maire Malick Gomina, populaire à Djougou jusqu'aux communales du 17 mai dernier. Plus loin, à en croire certains audios, des fidèles à l'actuel maire envisageraient de ne plus le soutenir aux prochaines élections. Pourtant le payement d'impôts au Bénin est obligatoire dans les 77 communes du pays et c'est comme çà partout dans le monde. Et cela ne dépend pas de l'exécutif communal. C'est l'État le maître d'impôts. La recette fiscale du Bénin est basée sur l'impôt aussi. Les anciens maires de Djougou n'imposaient-ils pas les populations de la localité ou quoi ? La classe politique de la ville carrefour, Djougou, était déjà divisée, faut-il le rappeler. Même au sein de la même formation politique et surtout le BR (parti du cheval). Le Bloc Républicain (BR) qui détient 23 des 33 conseillers communaux et sur lequel est issu le maire, est correctement divisé. On aurait un camp soutenu par l'honorable Walis Zoumarou du BR et Malick Gomina et le camp du député BR Nouhoum Bida et le ministre Abdoulaye Bio Tchané, secrétaire exécutif national du BR. Djougou seule constitue la 13è circonscription électorale et Malick Gomina, pressenti tête de liste en 2019 aux législatives,  constituerait un danger aux législatives 2023 pour certaines figures politiques probables candidats. Présentement, l'avis d'imposition a pris une tournure politique. Législatives prochaines, quelle que chose se passerait à Djougou au sein du BR. À l'Union Progressiste (UP) et à la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), il n'existait pas en quelle que sorte une division. À noter que la quatrième mandature de Djougou est composés de 33 sièges provenant du BR, l'UP et la FCBE.






18 août, pht Gomina
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Bénin/Présidentielle 2021: Comment Talon pourrait échouer ? SC🌏🌎P-INF🅾S M🅾NDE (ses proches et opposition, favoris) Mardi 18 août 2020, 11h05








Malgré le parrainage, la présidentielle 2021 réserverait des surprises. À la présidentielle prochaine, il faudrait distinguer trois camps qui pourraient s'affronter. Ce sont *A- Patrice Talon lui-même, B-D'autres candidats de la Rupture et C-L'opposition.* *On pourrait avoir un match entre A,B et C si plusieurs candidats de la mouvance seront en lice y compris Talon pour combattre l'opposition qui devrait recevoir de parrains; ou A et C au cas où Talon en tant que seul candidat de la Rupture affrontera l'opposition qui devrait recevoir de parrains aussi, ou B et C si Talon désignera un dauphin qui croisera  l'opposition parrainée ou A et B entre mouvance qui détiennent déjà 154 parrains*. Si Talon affrontait un autre candidat de la Rupture, il serait difficile qu'il bâte ce dernier. La grande partie des électeurs qui est illettrée pourrait voter contre la personne de Patrice Talon mais pour un autre candidat de la Rupture si l'opposition était empêchée de participation comme aux législatives du 28 avril 2019. Patrice Talon contre un de ses ministres, députés, maires ou autres, quelle que chose pourrait se produire. Une surprise extraordinaire ! Au Sénégal, le président Abdoulaye Wade, en 2012, a perdu la présidentielle face à son ministre aujourd'hui président, Macky Sall. Lorsqu'on fait de sondages, on constate que, spécialement, pour la présidentielle 2021, des gens voudraient une nouvelle tête à la Marina quel que soit son bord (Rupture à part Talon ou opposition). La Rupture pourrait gagner cette présidentielle mais pas Patrice Talon. Si le chef de l'État, Talon rencontrait l'opposition, ce serait un autre scénario. On pourrait assister à un score historique vu les résultats des deux élections sous la Rupture. Dans tout le pays, il serait difficile d'attribuer un vrai fief ou des fiefs à Patrice Talon. Ce sont des lettrés, minoritaires qui voudraient voter Patrice Talon. Et dans ce lot aussi, il ne manquerait pas d'opposants. Même si d'aucuns estimeraient que Talon détiendrait 70 villes suite aux communales 2020 qui donnaient vainqueurs ses deux formations politiques, l'Union Progressiste (UP) et le Bloc Républicain (BR) avec 70 (sans Parakou) conseils communaux contre 07 devenus six à la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), le vain ne serait pas encore tiré. Le taux d'abstention était plus élevé que les suffrages exprimés. Et ce taux n'est pas exclu du vote à la prochaine élection. Si beaucoup avaient refusé de voter, alors ils seraient des anti-Talon. On dirait que ses proches voudraient l'embrouiller pour leurs intérêts égoïstes et personnels avec leurs appels touts azimuts à un second mandat. Il faut dire la vérité au chef "même au prix de sa vie" affirmait un philosophe. Le cas grave, il n'y a pas eu d'élections sous la Rupture pouvant permettre de tester la vraie force de frappe de la majorité présidentielle face à l'opposition. À chaque élection sous la Rupture, une situation s'est, toujours, glissée. Soit des boycotts ou des abstentions ou d'empêchement aux partis politiques d'y prendre part ou des refus de participer. Alors que la présidentielle n'est pas des élections locales ou régionales. Aux législatives d'avril 2019, soit les premières élections sous la Rupture, seuls UP et BR ont participé avec un taux de participation instable qui était, finalement, de  27% à la Cour conditionnelle, bien que cette institution soit dans les mains d'un proche de Patrice Talon. Si c'était un second tour de présidentielle, "le candidat de l'opposition aurait 73%", estimait un analyste. Aux communales du 17 mai dernier, le taux de participation était inférieur à celui d'abstention. À cet effet, on se demande comment Patrice Talon en personne pourrait, facilement, remporter la présidentielle 2021 ? Comment saura-t-il qu'il est populaire ou non ? On risquerait d'assister à une présidentielle comme ce qui s'était passé à Parakou. Le parti FCBE, qui ne si attendait pas à vraie dire, s'est vu attribuer la majorité par la "population fâchée" malgré les grands chantiers de la Rupture (FCBE 17, BR 12 conseillers municipaux et UP 04) dans cette troisième ville à statut particulier du Bénin et pourtant l'ex-président Boni Yayi n'était pas dans la danse. Imaginons Boni Yayi donner une consigne de vote en défaveur de Talon à la prochaine présidentielle. Que va-t-il se passer ? Patrice Talon aurait-il son plan B ? En Gambie par exemple, l'ex-président Yahya Jammeh avait exclu tous les grands candidats à la présidentielle 2016. Seule la candidature de Adama Barrow, un gardien de boutiques jusqu'en 2015 avait été acceptée. Avec tous ses ministres, députés, maires et autres en campagne, Yahya Jammeh, après 22 ans au pouvoir, et en exil aujourd'hui, a été largement battu par Barrow présentement président gambien depuis janvier 2017. En RDC, Joseph Kabila lui que la Constitution interdisait d'être candidat avait choisi Emmanuel Ramazani Chadari comme son dauphin après 18 ans de règne. Emmanuel Chadari a perdu cette présidentielle malgré les gros moyens financiers de la majorité présidentielle. Aux Maldives, le président au pouvoir a perdu la présidentielle de 2018 malgré tous ses moyens. Il a même emprisonné presque toute l'opposition aujourd'hui aux affaires suite à l'alternance il y a deux ans. Il fut le président le plus décrié au monde. Au Bénin aussi, en 2016, avec tous ses ministres, députés, maires...moyens, Lionel Zinsou, dauphin de Boni Yayi a perdu cette présidentielle face à Patrice Talon en son temps opposant. Une présidentielle réserve toujours de surprises. Et encore le dernier mot appartient aux électeurs. Certes Patrice Talon travaille beaucoup pour le développement du Bénin, il a de beaux projets, Asphaltage, lutte contre l'insécurité, rigueur, Réformes et patrimoine culturel pour ne citer que ceux-là. Patrice Talon serait toujours incompris chez les analphabètes malgré que nous sommes à six mois du premier tour de la présidentielle. Le deguerpissement, l'exil de certains, l'emprisonnement, les législatives 2019, l'assignation en résidence surveillée à Boni Yayi, la suppression des emplois, entre autres, joueraient sur la popularité de Patrice Talon. Dans le monde entier, aucun pays, de surcroît au 21ème siècle, n'a jamais organisé une élection présidentielle avec un seul candidat en lice. Sinon le contraire nous amène à chercher la définition d'une élection différente d'une intronisation (royale). *L'élection est la désignation parmi plusieurs candidats (au moins deux), par le vote d'électeurs, de représentants (une personne, un groupe, un parti politique) destiné(s) à les représenter ou occuper une fonction en leur nom*. À la présidentielle prochaine, les alternatives pouvant faciliter le retour de Patrice Talon à la présidence seraient à en croire des commentaires sur facebook: "le report de cette élection pour menace de la Covid-19" ou que Patrice "Talon soit seul candidat en lice". Sinon, ajoute un autre citoyen, il faudrait que "Talon respecte sa parole de mandat unique de cinq ans et designer un dauphin" qui serait, facilement, élu. C'est ce dernier cas qui ferait que la "Rupture soit une continuité dès 2021", ajoute-il. "Patrice Talon réélu" au cas où il est candidat, tout est aussi possible avec "Dieu, le Tout Puissant" déclare un homme apolitique.
 





18 août, pht  Patrice Talon
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