De 350fcfa, le prix de l'essence frelatée est envoie de chuter jusqu'à 300 dans une semaine. La rédaction Scoop-Infos du monde s'est rapprochée de quelques revendeurs pour savoir à quoi les béninois vont s'attendre. Il faut aussi souligner que le coût bas du litre n'est souvent pas du goût de quelques "fayomen".
Par 3ATB, le 19 avril 2018
D'ici sept jour, les populations au Bénin pourraient se procurer de l'essence frelatée à un bas prix. Et ce, à 300fcfa le litre de ce liquide or. Il faut aussi rappeler que pendant ces temps ci, le prix du litre est déjà à 325fca. C'est ce qu'on a constaté d'après nos recoupements dans plusieurs localités du Bénin. Ceci, grâce aux correspondants de "scoop infos du monde". Les communes enquêtées sont entres autres: Cotonou, Calavi, Porto Novo, Djougou, Bohicon, Parakou, Natitingou, Kandi, Dassa et Malanville. Du côté des grossistes cela est dû à plusieurs causes. Ils estiment que si les tracasseries du transport sont faciles, alors le coût chute. Mais, au cas contraire, le prix monte. Selon une rumeur, d'autres revendeurs vont fixer le prix à leur goût. Il n'attendent pas fixer le réel coût de la majorité. Ce qui serait comme de l'anarque locale. Mais, depuis deux semaines, l'essence de contrebande avait connu une augmentation du prix. Voir plus de 400fca le litre. Fin décembre et début janvier derniers, le prix a dangereusement monté sur tout le territoire béninois. Car, le coût a multiplié vers 800f le litre et 1000f ailleurs. Les fonctionnaires, les populations et autres subissent le grand choc des coûts élevés de cette essence. Parfois, ce liquide en or devient rare. Même si l'on a de l'argent, il n'en trouve pas. Comment se rendre au boulot ? Si les prix augmentent et les salaires sont stables, alors la morosité économique va s'installer au Bénin. Aujourd'hui, bien que ce commerce soit qualifié de faux, le Gouvernement devrait revoir la procédure pour le bien de tous. Car sans le "kpaayo", la vie serait difficile au Bénin pour le transport. Supprimer la commercialisation de l'essence frelatée sans trouver d'autres solutions aux populations, le pire y sera. Les autorités peuvent lutter pour que le prix soit à 200f le litre. À cet effet, le problème social serait réglé. Et la morosité économique pourrait disparaître. Les citoyens béninois et autres souffrent le martyr de ce coût élevé. Dès la semaine suivante, il faudrait que les revendeurs d'essence soient fidèles au niveau du prix qui doit baisser. Qu'ils aient peur de Dieu dans l'exercice de cette activité.
SC🌏🌍P-INF🅾S
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