mercredi 31 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, démarré il y a environ deux semaines, le dépôt des dossiers pour l'inscription dans les universités publiques, au titre de 2018-2019 se poursuit à Calavi comme à Parakou. Les commissions universitaires d'orientation sont à pied oeuvre pour étudier les dossiers de chaque futur étudiant de cette année académique. Plus de 92% de dossiers appartiennent aux nouveaux bacheliers de 2018. Après ces différentes études de dossiers, les autorités des entités universitaires sont chargées de sélectionner les étudiants qui peuvent tenir dans x faculté ou y. Si la commission juge irrecevable le choix d'un candidat, elle pourrait proposer d'autres filières à l'étudiant. Pendant ce temps, les étudiants boursiers de l'année académique écroulée se faufilent devant les listes des bourses affichées ce mardi à la Direction des Bourses et Secours Universitaires du Bénin (DBSUB) à Calavi. Pour rappel, ce serait la liste de la deuxième vague. "Le peuple crie chaque jour que le temps est chaud et on jette parfois le tort sur le président Talon. Le vrai auteur du du malheur Bénin ne serait-il Sébastien Ajavon ? Arrivé troisième au premier tour de la présidentielle de 2016, Ajavon était le faiseur de roi. Il avait le choix entre Talon et Zinsou. Donc après son choix à Talon, il est aussi l'auteur de ce que subit les béninois", selon un grogneur. La fête de Toussaint édition 2018 se célèbre ce jeudi sur le plan national. Cette journée est fériée, chômée et payée. -Au Gabon, à quand l'inhumation du président Ali Bongo Odimba ? Décédé depuis six jours à Riyad en Arabie Saoudite, le gouvernement du parti PDG-H cache toujours la mort du défunt président Ali. Même scénario en mai 2009 lors du décès de son feu père président Omar Bongo à qui il a succédé. -Au Nigéria, le mouvement islamic des chiites et l'armée se tirent à balle réelle depuis dimanche dernier. Plus de sept morts au cours des affrontements. Qui tue qui ? Difficile de répondre. -Au Togo, le président Faure Eyadma et l'opposition sont de nouveau en guerre froide suite au mauvais choix des cinq membres parlementaires devant siéger à la Commission Électorale Nationale Indépendance (CENI). Les législatives de novembre prochain pourraient connaître de perturbations. L'opposition s'oppose déjà à la probable candidature en 2020 du président Faure. -Tout comme leurs homologues du Bénin et du Togo, les présidents de la Côte d'Ivoire, de la Guinée Conakry et du Sénégal étaient au Sommet du G20-Afrique lundi dernier à Berlin en Allemagne. -Au Pakistan, la chrétienne Asia Bibi condamnée à mort en 2009 vient ce d'être libérée ce mercredi malgré la contestation de la majorité présidentielle. Elle est accusée d'avoir bu l'eau d'un puits uniquement réservé aux musulmans. Sa famille craint son assassinat après cette libération. À cet effet, elle et ses parents veulent s'exiler. Plus de 10 pays non-islamic leurs tendent d'asile. -En France, la popularité du président Emmanuel Macron a chuté au plus bas niveau. Trois français su dix aiment encore Macron qui passent seulement 18 mois au pouvoir. Le président Macron est qualifié de président des riches au détriment des pauvres. Un second mandat serait difficile pour l'homme. *Réseaux sociaux, créé le 05 novembre 2016, votre forum d'informations "SIM" fête ses deux ans d'existence le lundi prochain. Quelles sont vos appréciations et suggestions ? SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Jeudi 01 et vendredi 02 novembre 2018 Administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 AP: 97878347 À suivre Unes des journaux.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Siège : Bénin, Cotonou. 256 sur 257 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

Gabon/Annonce de décès des présidents Bongo: Ali serait-il sur les traces de son feu père Omar ? Il se pourrait que le même scénario qui avait précédé l'annonce de la mort en mai 2009 du président Omar Bongo Ondimba se répète en octobre 2018 sur le fils président Ali Bongo Ondimba qui serait déjà mort. Ali et Omar Bongo(s), même destin dira-t-on ? Le PDG-Héritage et son gouvernement veulent-ils cacher la mort d'Ali Bongo pour combien de temps ? Ils oublient que si un musulman meurt, il doit être enterré le même jour, selon la tradition des mahométans. Le président Ali Bongo étant musulman fervent qui accomplit chaque année le cinquième pilier de l'Islam (même en août 2018) qui est le hajj à la Mecque en Arabie Saoudite, ne mérite-t-il pas d'être inhumé très tôt ? Qui va-t-il succéder à Ali alors qu'il n'a pas un enfant qui a l'âge de diriger le Gabon ? L'opposition de Jean Ping serait-elle aux portes du pouvoir ? Lire à la suite pour comprendre les deux films des Bongo présidents. 3ATB, le 31 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Tel père, tel fils ! Le président Ali Bongo serait sur les traces de son père président décédé en mai 2009. Pendant que certains annoncent la mort d'Ali Bongo samedi dernier à Riyad où il a eu un malaise à sa descente de l'avion, le gouvernement du Gabon dément et n'apporte pas des preuves palabres qui prouvent qu'il est bel et bien vivant. Ali était en Arabie Saoudite pour participer au 2ème forum économique "Davos désert" sous l'invitation du prince héritier, Mohamed Ben Salmane (MBS). Malheureusement, la mort aurait eu raison sur lui. Lorsque son père est décédé il il a neuf ans, l'annonce a duré après que le camp présidentiel a préparé Ali Bongo à la succession de son père. À quand l'annonce de son décès s'il est décédé ? Si le gouvernement sait que Ali Bongo est vivant, qu'il lui face parler en 10secondes, selon un opposant gabonais.

Tout le film avant l'annonce de la mort d'Omar Bongo.

Le 6 mai, quand Omar Bongo Ondimba quitte Libreville à bord d’un avion médicalisé, il est déjà très mal en point. Il souffre d’un cancer des intestins avec métastases. Ses proches essaient de brouiller les pistes mais, petit à petit, sous la pression, ils dévoilent la vérité. Première version : « Il est resté au Gabon et va juste se reposer. » Deuxième version : « Il est en Allemagne pour un check-up. » Troisième version : « Il est bien à la clinique Quirón de Barcelone, mais n’a subi aucune intervention chirurgicale. » En réalité, les médecins espagnols tentent bien une opération, mais ils constatent que la maladie est trop avancée et referment sans opérer. Confidence d’un ancien chef d’État africain : « Priez pour lui. » Quant au ministre espagnol des Affaires étrangères, il lâche le morceau dans le journal La Vanguardia : « Bongo va très mal. ».

Comme la chimiothérapie est lourde, le patient alterne les phases de conscience et d’inconscience. Le 11 mai, il apprend le décès de son camarade centrafricain, Abel Goumba. Aussitôt, il demande des précisions. Mais sa fille Pascaline le ménage. Elle filtre les visites et répond aux appels des vieux amis, comme l’avocat français Robert Bourgi. « La dernière fois que je l’ai vu, c’est une semaine avant sa mort, confie un membre de la délégation gabonaise. Il voulait savoir ce que racontaient les journaux. » Pascaline, son mari, le ministre des Affaires étrangères Paul Toungui, et ses trois collaborateurs Michel Essongué, Fidèle Etchenda et Jean-Pierre Lemboumba, les compagnons de la dernière heure, logent au Rey Juan Carlos, un grand hôtel de la place. Tous les jours, ils font la navette avec l’hôpital, dans l’attente du bulletin médical…

Le 7 juin, le patient tombe dans le coma. En fin de journée, les médecins révèlent qu’il n’y a plus d’espoir. À Paris, les vieux amis sont mis dans la confidence. À 22 h 40, le journal français Le Point annonce sur son site Internet que le président est mort. Très vite, l’information est reprise par l’Agence France-Presse et plusieurs radios et télévisions françaises… captées au Gabon. Panique à Libreville. Le fils du président, Ali Ben Bongo, appelle le secrétaire général de l’Élysée, Claude Guéant, pour démentir, tandis que le Premier ministre, Jean Eyeghe Ndong, s’envole pour Barcelone. Le lendemain matin, il se rend au chevet du président, puis déclare à la presse : « Je lui ai rendu visite. Il est bien en vie. » Commentaire d’un proche : « Sans doute la machine faisait-elle encore bip-bip… » À 14 h 02, le cœur s’arrête. C’est la fin. C'est ainsi les membres du parti présidentiel PDG-H ont confié le pouvoir à Ali Bongo qui veut subir le même sort.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

mardi 30 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, vers l'extradition, de Paris à Cotonou, de l'opposant, Sébastien Ajavon condamné à 20 ans de prison pour trafic de cocaïne par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) il y a 15 jours. Poursuivi par la justice pour une présumée affaire de 18kg de cocaïne depuis le 28 octobre 2016, l'ancien candidat malheureux, Sébastien Ajavon a été convoqué deux fois dans ce mois d'octobre par la Criet. Ajavon a refusé de se présenter en personne mais a envoyé une dizaine d'avocats. Ainsi, les président et procureur de la Criet ont requis 240 mois de prison ferme et 06 millions francs cfa à l'endroit de Ajavon, président du parti USL. L'homme étant exilé en France à Paris, demande un asile politique au pays colonisateur qui ne lui a pas encore accordé cet asile. Sébastien Ajavon devrait attendre dans trois mois. Pendant cette attente, la justice béninoise pourrait obtenir la tête de l'homme par le biais du parquet de Paris. Ajavon ne serait pas loin d'être extradé. Sommet G20-Afrique en Allemagne, Patrice Talon, comme ses 19 autres homologues, a signé ce mardi le livre d'or à la présidence allemande à Berlin en présence du président Allemand. Université d'Abomey Calavi, les soutenances de fin de formation en Master et Doctorat ont débuté depuis semaine dernière. La liste de la deuxième vague des étudiants boursiers et secouristes des universités du Bénin déjà affichée hier à la D/BSUB à l'UAC. Plusieurs étudiants n'ont pas vu leur nom bien qu'ils ont déposé leur dossier. -En Côte d'ivoire, après la création d'un parti Unifié en vue d'une majorité écrasante aux élections, le président Alassane Ouattara et l'ex-président Henri Bedié déterre la hache de la guerre enterée à la présidentielle de 2010 contre Laurent Gbagbo. La présidentielle de 2020 les divise. -En RDC, le président de la fondation de l'opposant Moïse Katumbi annonce qu'il subit des menaces d'enlèvement de la part du gouvernement Kabila. À deux mois de la présidentielle qui devrait avoir lieu en novembre 2016, l'opposition se réunit en Afrique du Sud pour créer une coalition contre le candidat Ramazani Chadari de la majorité. -Au Nigéria, plusieurs marches anti-Buhari se soldent par des morts et arrestations jusqu'à ce mardi. Près de 200 anciens fonctionnaires de l'ex-président Good Lock Jonathan sont interdits de quitter le sol pour contrôle de corruption. -Au Brésil, élu dimanche dernier pour succéder à Michel Temer, Jair Bolsonaro annonce ce mercredi son premier gouvernement qui prendra service en janvier 2019, date de son investiture. Plusieurs arrestations seront faites dans deux mois pour corruption, ajoute le président élu. -En Allemagne, un infirmier reconnaît à la barre du tribunal hier avoir tué 100 patients lors des soins dans son hôpital. Il risque une prison à vie. -La Turquie met la pression sur l'Arabie Saoudite dans l'affaire du journaliste opposant saoudien, Jamal Khashoggi tué à Istanbul. Le prince héritier MBS visé par la justice ? * 05 novembre 2016- 05 novembre 2018, cela fait exactement deux ans que ce forum SIM est créé. Quelles sont vos appréciations et suggestions ? SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mercredi 31 octobre 2018 Administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 AP: 97878347 À suivre Unes des journaux.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Siège : Bénin, Cotonou. 255 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, tractations pour le choix du logo du parti "Les Républicains" (LR), vers le divorce à vie entre le président du Parlement, Adrien Houndgedji et le chef de l'État, Patrice Talon. Au cours du congrès extraordinaire du Parti Renouveau Démocratique (PRD) à Avrankou ce week-end, les militants et leur leader Houndgedji exigent que le logo arc-en-ciel du PRD soit maintenu pour le nouveau parti LR de Talon en création. Contrairement à une coalition où tous les logos des partis regroupés apparaissent, tel n'est pas le cas pour une fusion. Ainsi, les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) se sont faits avoir avant les élections législatives. "Le match n'a pas commencé et l'ennemi adversaire tombe", dira-t-on. Avec ce nouveau code électoral, le président Houndgedji face à son destin politique désormais et ses collègues du BMP. Le président Patrice Talon, étant le grand homme politique, pourrait refuser le maintien de n'importe quel logo d'un parti politique dans les deux blocs présidentiels. Les députés du BMP qui ont des partis politiques vont se mordre le doigt avant le dépôt de dossiers de candidature du scrutin électoral parlementaire de 2019. Talon actuellement à Berlin en Allemagne pour le sommet du G20 -Au Sénégal, 01 morts, 20 blessés, 51 arrestations, 35kg de chanvre indien saisis et plusieurs matériels volés. Tel est le bilan de l'opération policière sur les présumés hors-la-loi lors lors de l'édition 2018 du petit pèlerinage "touba" à Dakar hier lundi. À la fin de la cérémonie, les députés de la minorité parlementaire n'ont pas manqué de cracher la vérité au président Macky Sall qualifié de dictateur. C'était face aux hommes de médias. -En Algérie, bien qu'il soit paralysé, l'actuel président, Abdelaziz Bouteflika, âgé de 81ans a été investi dimanche dernier candidat du FNL à la présidentielle de février 2019 pour un cinquième mandat de sept ans. -Au Cameroun, les partisans de Maurice Kamto à nouveau dans la rue ce mardi pour protester la réélection 07 octobre passé du président Paul Biya pour un septième mandat de sept ans. Rappelons que le week-end dernier, le parti MRC de Kamto a organisé des marches qui se sont soldées par près de 100 arrestations avec l'avocate du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). -Au Gabon, hospitalisé mercredi dernier à Riyad alors qu'il y était pour la réunion économique du Davos désert, le président Ali Bongo n'a toujours pas parlé. Il serait dans le coma. Pourquoi le gouvernement cache-t-il la mort du président Bongo ? Pour combien de jours ? -En Centrafrique, le président de l'Assemblée nationale a été destitué vendredi passé. C'est le même scénario qui s'est passé avec le président du Parlement algérien il y a une semaine. -En Allemagne, la chancelière Angela Merkel annonce qu'elle ne sera plus candidate à la fin de ce quatrième mandat de quatre ans en 2021. Elle affirme aussi quitter la vie politique à cette date. En décembre prochain, Merkel dit qu'elle va quitter la présidence du parti CDU. *Réseaux sociaux, votre forum d'informations SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE fête ses deux ans d'existence le 05 novembre prochain. Quelles sont vos appréciations sur son fonctionnement ? Donnez vos avis dans le groupe dès ce mardi. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mardi 30 octobre 2018 -Lire sur blog "Scoop infos du monde" Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 AP: 97878347 À suivre Unes des journaux.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Siège : Bénin, Cotonou. 255 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, tractations pour le choix du logo du parti "Les Républicains" (LR), vers le divorce à vie entre le président du Parlement, Adrien Houndgedji et le chef de l'État, Patrice Talon. Au cours du congrès extraordinaire du Parti Renouveau Démocratique (PRD) à Avrankou ce week-end, les militants et leur leader Houndgedji exigent que le logo arc-en-ciel du PRD soit maintenu pour le nouveau parti LR de Talon en création. Contrairement à une coalition où tous les logos des partis regroupés apparaissent, tel n'est pas le cas pour une fusion. Ainsi, les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) se sont faits avoir avant les élections législatives. "Le match n'a pas commencé et l'ennemi adversaire tombe", dira-t-on. Avec ce nouveau code électoral, le président Houndgedji face à son destin politique désormais et ses collègues du BMP. Le président Patrice Talon, étant le grand homme politique, pourrait refuser le maintien de n'importe quel logo d'un parti politique dans les deux blocs présidentiels. Les députés du BMP qui ont des partis politiques vont se mordre le doigt avant le dépôt de dossiers de candidature du scrutin électoral parlementaire de 2019. Législatives de 2019, et si le président Patrice Talon évitait de positionner les anciens députés ? Choisir de nouvelles têtes sur les blocs progressiste et républicain pourrait donner la victoire écrasante au chantre de la Rupture. Patrice Talon doit savoir que "les mêmes causes produisent les mêmes effets", selon Lavoisier. Ramener les mêmes élus à la huitième législature, c'est de se faire des ennemis comme l'a vécu l'ex-président Boni Yayi sous Talon. Après qu'il a fait élire les députés sur la liste Fcbe en mai 2015, ces personnes se sont retournées contre lui aujourd'hui. Le peuple, éveillé observe attentivement. Beaucoup seront surpris, à en croire la grogne radiophonique. -Au Sénégal, 01 morts, 20 blessés, 51 arrestations, 35kg de chanvre indien saisis et plusieurs matériels volés. Tel est le bilan de l'opération policière sur les présumés hors-la-loi lors lors de l'édition 2018 du petit pèlerinage "touba" à Dakar hier lundi. À la fin de la cérémonie, les députés de la minorité parlementaire n'ont pas manqué de cracher la vérité au président Macky Sall qualifié de dictateur. C'était face aux hommes de médias. -En Algérie, bien qu'il soit paralysé, l'actuel président, Abdelaziz Bouteflika, âgé de 81ans a été investi dimanche dernier candidat du FNL à la présidentielle de février 2019 pour un cinquième mandat de sept ans. -Au Cameroun, les partisans de Maurice Kamto à nouveau dans la rue ce mardi pour protester la réélection 07 octobre passé du président Paul Biya pour un septième mandat de sept ans. Rappelons que le week-end dernier, le parti MRC de Kamto a organisé des marches qui se sont soldées par près de 100 arrestations avec l'avocate du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). -Au Gabon, hospitalisé mercredi dernier à Riyad alors qu'il y était pour la réunion économique du Davos désert, le président Ali Bongo n'a toujours pas parlé. Il serait dans le coma. Pourquoi le gouvernement cache-t-il la mort du président Bongo ? Pour combien de jours ? -En Centrafrique, le président de l'Assemblée nationale a été destitué vendredi passé. C'est le même scénario qui s'est passé avec le président du Parlement algérien il y a une semaine. -En Allemagne, la chancelière Angela Merkel annonce qu'elle ne sera plus candidate à la fin de ce quatrième mandat de quatre ans en 2021. Elle affirme aussi quitter la vie politique à cette date. En décembre prochain, Merkel dit qu'elle va quitter la présidence du parti CDU. *Réseaux sociaux, votre forum d'informations SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE fête ses deux ans d'existence le 05 novembre prochain. Quelles sont vos appréciations sur son fonctionnement ? Donnez vos avis dans le groupe dès ce mardi. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mardi 30 octobre 2018

-Lire sur blog "Scoop infos du monde"
Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288
AP: 97878347

À suivre Unes des journaux....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE
Siège : Bénin, Cotonou. 255 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

dimanche 28 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Gabon, contrairement à ce qui se dit à travers le monde entier, le président de la République, Ali Bongo Omdiba serait bel et bien vivant, selon son gouvernement. Hospitalisé mercredi dernier à Riyad alors qu'il s'est rendu en Arabie Saoudite pour assister à la 2ème réunion du forum économique "Davos désert", le président Bongo a eu un malaise chronique à sa descente de l'avion. Quatre jours après son hospitalisation, une rumeur persistance annonce sa mort. C'est ainsi l'entourage du revenant a démenti formellement l'information. Dans cette perspective, les médias nationaux et internationaux qui avaient annoncé le décès du président ont été sanctionnés par les autorités compétentes de là où ils sont installés. Pendant ce temps, le parti PDG-Héritage du président Ali Bongo a raflé plus de la moitié des sièges au second tour des élections législatives 2018 de ce samedi. -Au Bénin, beaucoup d'hommes politiques seront dessus lors des positionnements des élections législatives de mai 2019 qui s'annoncent avec tous les dangers. À six mois des premières élections sous Talon, les mouvanciers et opposants cours dans tous les sens pour faire connaître leur parti ou bloc de partis au béninois. Mais, le peuple électeur rit et observe, car il a le dernier mot. Les électeurs attendent impatiemment les candidats pour différentes sanctions secrètes dans les urnes. Préparatifs des législatives de 2019 dans la huitième circonscription électorale et de Djougou, les responsables du parti Rdi-Afanni, le ministre de l'eau Samou Seidou Adambi, et Durr-Barka de l'honorable Rachidi Gbadamassi on rejoint samedi le futur parti "Les Républicains" depuis Parakou en présence du ministre ABT et du deuxième vice-président de l'Assemblée nationale, Robert Gbian. Et Malick Gomina du côté de la cité des Yowa. -Au Togo, l'opposition à nouveau dans la rue dès demain mardi pour contester le choix des membres parlementaires devant siéger à la Commission Électorale Nationale Indépendance (Ceni). À deux mois des législatives, la coalition des 14 partis (C14) de l'opposition dénonce des irrégularités observées dans le processus électoral. Le gouvernement du président Faure Eydema annonce, il a y a cinq jours, qu'il ne reconnaît pas la C14 comme un parti politique. -Au Brésil, le candidat favori de la présidentielle d'hier dimanche, Jair Bolsonaro affirme que s'il est élu, il va mettre son adversaire, Fernado Haddad et son entourage en prison. Plus de cinquante millions d'électeurs on voté ce dimanche pour élire le nouveau président entre les deux candidats Bolsonaro et Haddad. Le vainqueur sera connu dans cette semaine. L'ex-président Lula da Silva en prison espère sortir si Fernado Haddad est élu. Lula et Haddad sont tous du parti des travailleurs, soit l'opposition. L'actuel président Michel Temer ne s'est pas représenté. -Aux États-Unis, une fusillade dans une synagogue à Pittsburgh a fait 11morts avant-hier. De l'Israël au Vatican en passant par Barack Obama, les hommages se rendent depuis dimanche. -En Arabie Saoudite, le prince héritier, Mohamed Ben Salmane a rendu visite au président gabonais, Ali Bongo hospitalisé à Riyad. A annoncé le gouvernement du Gabon vendredi soir. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 29 octobre 2018 -Lire sur blog "Scoop infos du monde" Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 AP: 97878347 À suivre Unes des journaux.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège : Bénin, Cotonou. 255 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

À la Une de l'actualité africaine, au Gabon, contrairement à ce qui se dit à travers le monde entier, le président de la République, Ali Bongo Omdiba serait bel et bien vivant, selon son gouvernement. Hospitalisé mercredi dernier à Riyad alors qu'il s'est rendu en Arabie Saoudite pour assister à la 2ème réunion du forum économique "Davos désert", le président Bongo a eu un malaise chronique à sa descente de l'avion. Quatre jours après son hospitalisation, une rumeur persistance annonce sa mort. C'est ainsi l'entourage du revenant a démenti formellement l'information. Dans cette perspective, les médias nationaux et internationaux qui avaient annoncé le décès du président ont été sanctionnés par les autorités compétentes de là où ils sont installés. Pendant ce temps, le parti PDG-Héritage du président Ali Bongo a raflé plus de la moitié des sièges au second tour des élections législatives 2018 de ce samedi. -Au Bénin, beaucoup d'hommes politiques seront dessus lors des positionnements des élections législatives de mai 2019 qui s'annoncent avec tous les dangers. À six mois des premières élections sous Talon, les mouvanciers et opposants cours dans tous les sens pour faire connaître leur parti ou bloc de partis au béninois. Mais, le peuple électeur rit et observe, car il a le dernier mot. Les électeurs attendent impatiemment les candidats pour différentes sanctions secrètes dans les urnes. Préparatifs des législatives de 2019 dans la huitième circonscription électorale et de Djougou, les responsables du parti Rdi-Afanni, le ministre de l'eau Samou Seidou Adambi, et Durr-Barka de l'honorable Rachidi Gbadamassi on rejoint samedi le futur parti "Les Républicains" depuis Parakou en présence du ministre ABT et du deuxième vice-président de l'Assemblée nationale, Robert Gbian. Et Malick Gomina du côté de la cité des Yowa. -Au Togo, l'opposition à nouveau dans la rue dès demain mardi pour contester le choix des membres parlementaires devant siéger à la Commission Électorale Nationale Indépendance (Ceni). À deux mois des législatives, la coalition des 14 partis (C14) de l'opposition dénonce des irrégularités observées dans le processus électoral. Le gouvernement du président Faure Eydema annonce, il a y a cinq jours, qu'il ne reconnaît pas la C14 comme un parti politique. -Au Brésil, le candidat favori de la présidentielle d'hier dimanche, Jair Bolsonaro affirme que s'il est élu, il va mettre son adversaire, Fernado Haddad et son entourage en prison. Plus de cinquante millions d'électeurs on voté ce dimanche pour élire le nouveau président entre les deux candidats Bolsonaro et Haddad. Le vainqueur sera connu dans cette semaine. L'ex-président Lula da Silva en prison espère sortir si Fernado Haddad est élu. Lula et Haddad sont tous du parti des travailleurs, soit l'opposition. L'actuel président Michel Temer ne s'est pas représenté. -Aux États-Unis, une fusillade dans une synagogue à Pittsburgh a fait 11morts avant-hier. De l'Israël au Vatican en passant par Barack Obama, les hommages se rendent depuis dimanche. -En Arabie Saoudite, le prince héritier, Mohamed Ben Salmane a rendu visite au président gabonais, Ali Bongo hospitalisé à Riyad. A annoncé le gouvernement du Gabon vendredi soir. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 29 octobre 2018 -Lire sur blog "Scoop infos du monde" Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 AP: 97878347 À suivre Unes des journaux.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Siège : Bénin, Cotonou. 255 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

samedi 27 octobre 2018

GABON-DEUIL NATIONAL: Le président Ali Bongo est-il mort ?

Cotonou(Bénin), le dimanche 28 octobre 2018, 05h45min (SIM)-De Libreville en Afrique en générale sans oublier l'extérieur, certains faiseurs d'opinion affirment que l'état de santé du président Ali Bongo s'est dégradé depuis vendredi nuit à Riyad au point où il serait mort samedi, ajoutent d'autres activistes et Blogueurs. Le président de la République, Ali Bongo Omdiba aurait rendu l'âme ce samedi soir en Arabie Saoudite où il était hospitalisé depuis le mercredi dernier, annonce aussi la chaîne de télévision gabonaise "infos 24". Ali Bongo s'était rendu à Riyad pour assister à la réunion annuelle du forum économique "Davos désert" organisée par le prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salmane (MBS). À sa descente de l'avion il tombe gravement malade. Sa mort fait encore polémique au Gabon. On ne sait plus qui dit la vérité. Néanmoins, la vérité sera connue dans les jours qui suivent cette rumeur. Pour le camp présidentiel, le chef de l'État Ali Bingo se porte bien et sera bientôt au pays. Tandis que l'opposition annonce qu'elle attend les dates de funérailles du président décédé et invite le corps politique à installer la transition. Les opposants pensent que le gouvernement Bongo veut faire la transition en leur faveur d'où ils refusent de reconnaître la disparition du président. À en croire le grand journal Washington post, il se pourrait qu'Ali Bongo soit parti suite à cette courte maladie. Le porte-parole du gouvernement a affirmé vendredi soir que le principe héritier MBS a rendu visite au président Ali Bongo dans son lit d'hôpital à Riyad et il se porte bien. Venu au pouvoir suite au décès de son père président Bongo Odimba en 2009, le président feu Ali Bongo s'est fait réélire en août 2016 pour un nouveau mandat de 07 ans face à Ping. Jusqu'à ce jour, son opposant Jean Ping conteste cette réélection. Jean Ping, chef de l'opposition a même boycotté le second tour des élections législatives qui se sont tenues hier samedi et qui donnent déjà Ali Bongo vainqueur de la majorité des sièges. Si l'information sur le décès d'Ali Bongo se confirmait par son entourage, que va-t-il se passer ? Tous les regards tournés vers la présidence gabonaise.

3ATB/BA/SIM

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

GABON-DEUIL NATIONAL: Le président Ali Bongo est-il mort ? Cotonou(Bénin), le dimanche 28 octobre 2018, 05h45min (SIM)-De Libreville en Afrique en générale sans oublier l'extérieur, certains faiseurs d'opinion affirment que l'état de santé du président Ali Bongo s'est dégradé depuis vendredi nuit à Riyad au point où il serait mort samedi, ajoutent d'autres activistes et Blogueurs. Le président de la République, Ali Bongo Omdiba aurait rendu l'âme ce samedi soir en Arabie Saoudite où il était hospitalisé depuis le mercredi dernier, annonce aussi la chaîne de télévision gabonaise "infos 24". Ali Bongo s'était rendu à Riyad pour assister à la réunion annuelle du forum économique "Davos désert" organisée par le prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salmane (MBS). À sa descente de l'avion il tombe gravement malade. Sa mort fait encore polémique au Gabon. On ne sait plus qui dit la vérité. Néanmoins, la vérité sera connue dans les jours qui suivent cette rumeur. Pour le camp présidentiel, le chef de l'État Ali Bingo se porte bien et sera bientôt au pays. Tandis que l'opposition annonce qu'elle attend les dates de funérailles du président décédé et invite le corps politique à installer la transition. Les opposants pensent que le gouvernement Bongo veut faire la transition en leur faveur d'où ils refusent de reconnaître la disparition du président. À en croire le grand journal Washington post, il se pourrait qu'Ali Bongo soit parti suite à cette courte maladie. Le porte-parole du gouvernement a affirmé vendredi soir que le principe héritier MBS a rendu visite au président Ali Bongo dans son lit d'hôpital à Riyad et il se porte bien. Venu au pouvoir suite au décès de son père président Bongo Odimba en 2009, le président feu Ali Bongo s'est fait réélire en août 2016 pour un nouveau mandat de 07 ans face à Ping. Jusqu'à ce jour, son opposant Jean Ping conteste cette réélection. Jean Ping, chef de l'opposition a même boycotté le second tour des élections législatives qui se sont tenues hier samedi et qui donnent déjà Ali Bongo vainqueur de la majorité des sièges. Si l'information sur le décès d'Ali Bongo se confirmait par son entourage, que va-t-il se passer ? Tous les regards tournés vers la présidence gabonaise. 3ATB/BA/SIM SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

vendredi 26 octobre 2018

Bénin/Affaire Zinsou-Ébomaf: Boni Yayi bientôt à la Criet ?

Pour complicité dans la dette de 15milliards de francs cfa qui oppose le patron d'Ébomaf à Lionel Zinsou, l'ex-président Boni Yayi serait-il écouté par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet)? Selon une rumeur, le dossier Ébomaf serait bientôt transmis au procureur Ulirich Gilbert Togbonon de la Criet à Porto-Novo, siège de la Criet. Si cela se faisait, que pourrait-il se passer ? Lionel Zinsou et Komi Koutché seraient aussi dans la sauce. L'affaire remonte en mars 2016 alors que Lionel Zinsou était en plein campagne présidentielle. Yayi, Koutché et Zinsou virés de la barque des législatives 2019. Talon va-t-il rester silencieux ?

Par 3ATB, le 27 octobre 2018

Boni Yayi, prédécesseur du président Patrice Talon pourrait avoir des ennuies judiciaires au point où sa probable candidature aux législatives de mai 2019 pourrait aussi être bloquée, écartée, rejetée et invalidée par la Commission Électorale Nationale Autonome (Cena). Lionel Zinsou étant désormais français pourrait échapper à la prison contrairement à Boni Yayi. Il y a six mois, le journal français, "La lettre du continent " avait révélé une enquête sous les dessous entre Zinsou-Ébomaf de la présidentielle béninois de mars 2016 dans la majorité présidentielle. Lionel Zinsou en présence de l'ex-président Boni Yayi et du ministre Komi Koutché aurait reçu 15millards de francs cfa d'Ébomaf pour fiancer sa campagne présidentielle, malgré que le code électoral interdit cela. Cette affaire d'Ébomaf ne serait pas loin de conduire Boni Yayi, Lionel Zinsou et Komi Koutché à la barre de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) selon une information qui pourrait être confirmée dans les tout prochains jours. Ils pourraient être sévèrement sanctionnés par la Criet après Ajavon. Jusqu'à ce jour, plusieurs personnes pensent que c'est une rumeur. Mais elles oublient que les rumeurs sous le règne du président Patrice Talon deviennent une réalité. Depuis cinq jours, on lit un peu partout dans les médias en ligne que le dossier Ebomaf ne serait pas loin d'être renvoyé à la Criet. Si cela se faisait, l'ex-président Thomas Boni Yayi pourrait être écouté après Lionel Zinsou et Komi Koutché. À la veille du premier tour de la présidentielle de mars 2016, le candidat Lionel Zinsou aurait contacté un prêt d'une somme de 15milliards de francs cfa pour le financement de sa campagne. Ce qui est une violation du code électoral qui prévoit une limite de 2,5milliards pour frais de campagne de la magistrature suprême. Ce prêt aurait été dû, selon le journal "La lettre du continent " par la complicité de Boni Yayi et de l'ex-ministre Komi Koutché chargé des finances et membre du parti de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (Fcbe). Lionel Zinsou était le candidat de la Fcbe. La Criet ayant pour compétences d'aussi juger les crimes économiques pourrait se saisir du dossier. Boni Yayi, Komi Koutché et Lionel Zinsou pourraient être condamnés et ils seraient ainsi écartés à toute élection sous la Rupture. Pourquoi seuls les opposants sont poursuivis sous la Rupture ? Le président de la République Patrice Talon, garant de la liberté et de la paix dans le pays, en dit quoi sur cette affaire Zinsou-Ébomaf ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE
Siège: Bénin, Cotonou

Bénin/Affaire Zinsou-Ébomaf: Boni Yayi bientôt à la Criet ? Pour complicité dans la dette de 15milliards de francs cfa qui oppose le patron d'Ébomaf à Lionel Zinsou, l'ex-président Boni Yayi serait-il écouté par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet)? Selon une rumeur, le dossier Ébomaf serait bientôt transmis au procureur Ulirich Gilbert Togbonon de la Criet à Porto-Novo, siège de la Criet. Si cela se faisait, que pourrait-il se passer ? Lionel Zinsou et Komi Koutché seraient aussi dans la sauce. L'affaire remonte en mars 2016 alors que Lionel Zinsou était en plein campagne présidentielle. Yayi, Koutché et Zinsou virés de la barque des législatives 2019. Talon va-t-il rester silencieux ? Par 3ATB, le 27 octobre 2018 Boni Yayi, prédécesseur du président Patrice Talon pourrait avoir des ennuies judiciaires au point où sa probable candidature aux législatives de mai 2019 pourrait aussi être bloquée, écartée, rejetée et invalidée par la Commission Électorale Nationale Autonome (Cena). Lionel Zinsou étant désormais français pourrait échapper à la prison contrairement à Boni Yayi. Il y a six mois, le journal français, "La lettre du continent " avait révélé une enquête sous les dessous entre Zinsou-Ébomaf de la présidentielle béninois de mars 2016 dans la majorité présidentielle. Lionel Zinsou en présence de l'ex-président Boni Yayi et du ministre Komi Koutché aurait reçu 15millards de francs cfa d'Ébomaf pour fiancer sa campagne présidentielle, malgré que le code électoral interdit cela. Cette affaire d'Ébomaf ne serait pas loin de conduire Boni Yayi, Lionel Zinsou et Komi Koutché à la barre de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) selon une information qui pourrait être confirmée dans les tout prochains jours. Ils pourraient être sévèrement sanctionnés par la Criet après Ajavon. Jusqu'à ce jour, plusieurs personnes pensent que c'est une rumeur. Mais elles oublient que les rumeurs sous le règne du président Patrice Talon deviennent une réalité. Depuis cinq jours, on lit un peu partout dans les médias en ligne que le dossier Ebomaf ne serait pas loin d'être renvoyé à la Criet. Si cela se faisait, l'ex-président Thomas Boni Yayi pourrait être écouté après Lionel Zinsou et Komi Koutché. À la veille du premier tour de la présidentielle de mars 2016, le candidat Lionel Zinsou aurait contacté un prêt d'une somme de 15milliards de francs cfa pour le financement de sa campagne. Ce qui est une violation du code électoral qui prévoit une limite de 2,5milliards pour frais de campagne de la magistrature suprême. Ce prêt aurait été dû, selon le journal "La lettre du continent " par la complicité de Boni Yayi et de l'ex-ministre Komi Koutché chargé des finances et membre du parti de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (Fcbe). Lionel Zinsou était le candidat de la Fcbe. La Criet ayant pour compétences d'aussi juger les crimes économiques pourrait se saisir du dossier. Boni Yayi, Komi Koutché et Lionel Zinsou pourraient être condamnés et ils seraient ainsi écartés à toute élection sous la Rupture. Pourquoi seuls les opposants sont poursuivis sous la Rupture ? Le président de la République Patrice Talon, garant de la liberté et de la paix dans le pays, en dit quoi sur cette affaire Zinsou-Ébomaf ? SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège: Bénin, Cotonou

mardi 23 octobre 2018

Bénin/Justice: Lehady, Fatimatou, Djênontin, Bako, Codjo, Atao et Azannai, prochain clients de la Criet après Ajavon ?

Après la condamnation à 20 ans de prison du 18 octobre dernier de l'opposant, Sébastien Germain Ajavon par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet), plusieurs clients opposants seraient attendus à la Criet dans les tout prochains jours pour être aussi jugés. La rumeur persiste ces deux jours et pourrait se confirmer. Parmi ces accusés, l'ancien ministre Aboubacar Yaya serait écarté de même que Komi Koutché. Tous les regards vers les patrons de la Criet, désormais.

Par 3ATB, le 24 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Voici, au cas où la rumeur se confirmait les prochaines autorités qui peuvent être jugées par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme, sauf Komi Koutché pour l'instant. Entre autres, le député, opposant, Atao Hinnouho Mohamed, actuellement en prison civile de Cotonou, même si le délibéré de son procès est reporté ce mardi au 06 novembre prochain. Il est poursuivi pour deux infractions. La première concerne la fraude fiscale douanière dans le trafic de médicaments illicites. Et la seconde concerne la vente et le commerce de médicaments de rue. À cet effet, son dossier serait bientôt transféré au procureur spécial de la Criet. Il y a aussi les anciens ministres de la justice et de l'agriculture, respectivement Valentin Djênontin et Fatoumatou Amadou Djibril, poursuivis pour mauvaise gestion des fonds de la campagne cotonnière de 2013 à 2014 du ministère de l'agriculture de l'élevage et de la pêche. Djênontin était président du conseil inter-misteriel de la filière coton. Et L'honorable Simplice Dossou Codjo, ancien ministre de l'intérieur de Boni Yayi comme Djênontin et Fatoumatou, il est accusé de détournement des fonds des agents de police avant 2015. À part le député de l'opposition, Atao Hinnouho, tous les trois autres sont déjà en exil en France comme Sébastien Ajavon qui a demandé un asile politique au pays colonisateur et Lehady Soglo. L'honorable, opposant, Idrissou Bako est poursuivi pour mauvaise gestion des instants de la campagne cotonnière de 2013 à 2015 alors qu'il était le Directeur général de la Sonapra. Toutes ces autorités citées ci-haut ont déjà perdu leur immunité parlementaire et d'ancien ministre. L'ex-maire de Cotonou, Lehady Soglo, révoqué le 02 août 2017 serait aussi dans la sauce de la Criet. Il est soupçonné de malversations financières des fonds de la mairie de Cotonou. L'ancien ministre de travail, Aboubacar Yaya peut être jugé dans les tribunaux ordinaires car il est accusé d'avoir mal organisé le concours des finances de 2015. À cet effet, son immunité d'ancien ministre est levée. Une rumeur annonce que Candide Azannai, opposant, ancien député et ministre démissionnaire délégué à la défense pourrait se retrouver à la Criet. Pourquoi ? Espérons que ce dernier cas soit une intoxication, selon quelques acteurs politiques. Créée fin août 2018 sous l'initiative du BMP et et adopté au Parlement, la Criet a pour compétence de juger en premier et en dernier ressort. Le constat est que toutes ces personnalités précédemment citées qui pourraient être jugés à la Criet sont tous de l'opposition au régime Talon. Est-ce une chasse aux sorcières ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Justice: Lehady, Fatimatou, Djênontin, Bako, Codjo, Atao et Azannai, prochain clients de la Criet après Ajavon ? Après la condamnation à 20 ans de prison du 18 octobre dernier de l'opposant, Sébastien Germain Ajavon par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet), plusieurs clients opposants seraient attendus à la Criet dans les tout prochains jours pour être aussi jugés. La rumeur persiste ces deux jours et pourrait se confirmer. Parmi ces accusés, l'ancien ministre Aboubacar Yaya serait écarté de même que Komi Koutché. Tous les regards vers les patrons de la Criet, désormais. Par 3ATB, le 24 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Voici, au cas où la rumeur se confirmait les prochaines autorités qui peuvent être jugées par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme, sauf Komi Koutché pour l'instant. Entre autres, le député, opposant, Atao Hinnouho Mohamed, actuellement en prison civile de Cotonou, même si le délibéré de son procès est reporté ce mardi au 06 novembre prochain. Il est poursuivi pour deux infractions. La première concerne la fraude fiscale douanière dans le trafic de médicaments illicites. Et la seconde concerne la vente et le commerce de médicaments de rue. À cet effet, son dossier serait bientôt transféré au procureur spécial de la Criet. Il y a aussi les anciens ministres de la justice et de l'agriculture, respectivement Valentin Djênontin et Fatoumatou Amadou Djibril, poursuivis pour mauvaise gestion des fonds de la campagne cotonnière de 2013 à 2014 du ministère de l'agriculture de l'élevage et de la pêche. Djênontin était président du conseil inter-misteriel de la filière coton. Et L'honorable Simplice Dossou Codjo, ancien ministre de l'intérieur de Boni Yayi comme Djênontin et Fatoumatou, il est accusé de détournement des fonds des agents de police avant 2015. À part le député de l'opposition, Atao Hinnouho, tous les trois autres sont déjà en exil en France comme Sébastien Ajavon qui a demandé un asile politique au pays colonisateur et Lehady Soglo. L'honorable, opposant, Idrissou Bako est poursuivi pour mauvaise gestion des instants de la campagne cotonnière de 2013 à 2015 alors qu'il était le Directeur général de la Sonapra. Toutes ces autorités citées ci-haut ont déjà perdu leur immunité parlementaire et d'ancien ministre. L'ex-maire de Cotonou, Lehady Soglo, révoqué le 02 août 2017 serait aussi dans la sauce de la Criet. Il est soupçonné de malversations financières des fonds de la mairie de Cotonou. L'ancien ministre de travail, Aboubacar Yaya peut être jugé dans les tribunaux ordinaires car il est accusé d'avoir mal organisé le concours des finances de 2015. À cet effet, son immunité d'ancien ministre est levée. Une rumeur annonce que Candide Azannai, opposant, ancien député et ministre démissionnaire délégué à la défense pourrait se retrouver à la Criet. Pourquoi ? Espérons que ce dernier cas soit une intoxication, selon quelques acteurs politiques. Créée fin août 2018 sous l'initiative du BMP et et adopté au Parlement, la Criet a pour compétence de juger en premier et en dernier ressort. Le constat est que toutes ces personnalités précédemment citées qui pourraient être jugés à la Criet sont tous de l'opposition au régime Talon. Est-ce une chasse aux sorcières ? SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, après la condamnation à 20 ans de prison de l'opposant, Sébastien Germain Ajavon par la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet), plusieurs clients seraient attendus à la Criet dans les tout prochains jours pour être aussi jugés. Entre autres, le député, opposant, Atao Hinnouho Mohamed, actuellement en prison civile de Cotonou. Il est poursuivi pour deux choses. La première concerne la fraude fiscale douanière dans le trafic de médicaments illicites. Et la seconde concerne la vente et le commerce de médicaments de rue. À cet effet, son dossier serait bientôt transféré au procureur spécial de la Criet. Il y a aussi les anciens ministres de la justice et de l'agriculture, respectivement Valentin Djênontin et Fatoumatou Amadou Djibril, poursuivis pour mauvaise gestion des fonds de la campagne cotonnière de 2012 à 2014 du ministère de l'agriculture de l'élevage et de la pêche. Et L'honorable Simplice Dossou Codjo, ancien ministre de l'intérieur de Boni Yayi comme Djênontin et Fatoumatou, il est accusé de mauvaise gestion des fonds des agents de police avant 2015. À part le député de l'opposition, Atao Hinnouho, tous les trois autres sont en exil en France comme Sébastien Ajavon et Lehady Soglo. L'honorable, opposant, Idrissou Bako est poursuivi pour mauvaise gestion des instants de la campagne cotonnière de 2013 à 2015. Toutes ces autorités citées ci-haut ont déjà perdu leur immunité parlementaire et d'ancien ministre. L'ex-maire révoqué de Cotonou, Lehady Soglo serait aussi dans la sauce de la Criet. L'ancien ministre de travail, Aboubacar Yaya peut être jugé dans les tribunaux ordinaires. Une rumeur annonce que Candide Azannai, opposant, ancien député et ministre démissionnaire délégué à la défense pourrait se retrouver à la Criet. Pourquoi ? Espérons que ce dernier cas soit une intoxication, selon quelques acteurs politiques. Créée fin août 2018 sous l'initiative du BMP et et adopté au Parlement, la Criet a pour compétence de juger en premier et en dernier ressort. Suspension du journal "La Nouvelle Tribune", la preuve que les professionnels des médias du Bénin ont lâché leur collègue Vincent Folly, DP-LNT. Tous, devraient se lever, comme un seul homme, pour ramener la Haac à l'ordre. "La Haac a pour rôle de protéger et de promouvoir la liberté de presse et de communication", article 11 du CIC/B de mars 2015. À la présidence de la République, plusieurs dossiers seront abordés au cours du conseil des ministres de ce mercredi 24 octobre. -Au Cameroun, des manifestations contre la réélection du président Paul Biya ont débuté depuis ce lundi soir. Elles ont été lancées depuis l'ambassade camerounaise à Paris. Les forces de l'ordre répriment avec la dernière rigueur celles de Douala. L'opposant, candidat sorti troisième, Cabra Libii rejoint Paul Biya pour négocier de poste ministériel. Maurice Kamto revendique toujours la victoire. L'opposition plus divisée après l'annonce du résultat de cette présidentielle par le conseil constitutionnel avant-hier. -Au Togo, l'Assemblée nationale est en feu suite aux désignations des députés de la Mouvance et de l'Opposition qui siègent déjà à la Commission Électorale Nationale Indépendante (Ceni) en vue de l'organisation des élections législatives de novembre 2018. Les opposants révèlent de graves irrégularités à la CENI. -En Turquie, le président Tayyeip Erdogan exige que les 18 personnes arrêtées à Riyad, soupçonnées d'avoir tué le journaliste, Jamal Khashoggi, soient jugées à Istanbul où le drame s'est produit. C'était au cours de la cérémonie de 20min hier devant les députés au Parlement pour la révélation de l'enquête sur la mort de Khashoggi. Erdogan n'a toujours pas dit si le corps de Khashoggi est retrouvé.

À quoi joue Erdogan ? Il n'a même pas bronché le non du prince héritier MBS malgré que le torchon brûle entre ces deux.

-En Arabie Saoudite, le roi Abdel-Aziz Soulemane protègerait son fils, prince héritier, Mohamed Ben Salmane (MBS). MBS serait celui qui aurait commandité la mort du journaliste, opposant à son régime, Jamal Khashoggi. À quand la levée de l'immunité royale de MBS ? Peut-il être encore roi un jour, pour succéder à son père ? Si oui, quel danger pour l'Arabie Saoudite, terre sainte islamique où est implantée la Kaaba, dernier rempart des mahométans ?

SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE

Mercredi 24 octobre  2018

-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos du monde"

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

AP: 97878347

À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 254 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

lundi 22 octobre 2018

Bénin/Parlement: BMP, le vrai ennemi de Talon à l'inverse de l'opposition ?


Le chef de l'État pourrait penser que ses antagonistes se trouvent ailleurs, surtout dans l'opposition. Lorsque vous vivez avec des gens qui ne vous corrige pas lorsque vous êtes en erreur, ce sont vos vrais ennemis, dit-on. Les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) votent des lois qui vont plonger dans l'eau, tant le peuple béninois que Patrice Talon. Malgré cela, le BMP ne conseille pas l'homme fort d'aujourd'hui. Qui est alors le vrai ennemi de Talon ? Le peuple ? L'opposition ? Le BMP ?

Par 3ATB, le 22 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Si on entoure un chef, quel rôle doit-on jouer ? Les jours passent et la douleur persiste et le BMP ne dit rien. Le BMP veut-il être source du malheur du peuple  sous le règne du chantre de la Rupture ? Le président de la République, Patrice Talon n'a pas de bons conseillers dans son entourage et surtout dans l'Assemblée nationale. Ceux qui sont sensés aider le chantre de la Rupture le plonge davantage dans un champ de bataille. Lorsqu'une personne est en dérives quel que soit son tempérament, on essaye de lui dire la vérité par autres moyens de façon intelligente. Au lendemain de la création du BMP, le peuple avait confiance aux députés de la mouvance qui devraient avoir pour mission de contrôler l'action gouvernementale du régime Talon. Force est de constater que tout se gâte. Les 61 élus parlementaires font voter des lois qui ternissent l'image du Bénin ainsi que sa démocratie. Des votes du code du numérique à la Criet sans oublier le code électoral et en passant par d'autres, c'est des difficultés adoptées au profil du président Talon. Est-ce ça rendre service à un homme qu'on prétend follement aimer ? Le nouveau code électoral a prévu une caution de  249millions contre 8300000 dans l'ancien par liste aux législatives, ceci dès mai 2019 (prochaines législatives). Pour la présidentielle, chaque candidat qui payait 15millions payera à partir de 2021 la somme de 250 millions pour faire valider sa candidature. Pour toutes les élections, tout candidat qui n'aura pas le quitus fiscal sera recalé. Si cette loi est votée par le BMP dans le but de faire d'innovation, elle pourrait retourner contre ce Bloc. Selon le même code électoral, il faut au moins 10% de suffrages exprimés avant de disputer de sièges au parlement et 15% avant de retirer sa caution pour la présidence. Au cas où Talon perdait la Majorité, quel sera le sort du BMP ? Le pouvoir peut alors tomber dans son propre piège. Dans l'Afrique voire dans le monde, il est difficile de trouver un État dans lequel le coût des élections est élevé comme dans l'ex-Danxomey sous Patrice Talon. La Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) vient mettre en danger la démocratie béninoise qui  faisait placer ce pays à une place importante vis-à-vis des autres États de la sous région. Pourquoi les criminels de sang ne seront pas jugés par la Criet ? S'il existait une Cour spéciale pour le crime de sang, les béninois seraient heureux. Si une Cour va juger en premier et en dernier ressort, ne constitue-t-elle pas un handicap pour la démocratie ? Aujourd'hui, pour plusieurs citoyens, cette Cour serait installée pour l'emprisonnement des opposants au président Talon. Est-ce vrai ou faux ? En août dernier, le BMP, contenant la majorité des députés, a fait adopter le projet sur la Criet autour d'une heure de matin. À moins de deux mois d'exercices, l'opposant ancien candidat, Sébastien Ajavon et ses coaccusés sont condamnés à 20 ans de prison ferme plus une amende de six millions chacun dans l'affaire 18kg de cocaïne pure. Ce dossier est déjà jugé fin novembre 2016. Pourquoi ce rebondissement à l'approche des élections ? Face à ces situations qui ne cessent de se multiplier, que fait le BMP ? L'opposition est vue comme un grand ennemi de Talon. Celui qui dit la vérité n'est jamais écouté. Le chef de l'État, homme de vision devrait analyser ce qui se passe pour voir qui ne l'aime pas de qui l'aime. Le plutôt serait le mieux. Et si le BMP revoyait les lois votées pour soigner l'image du Bénin à l'international.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Parlement: BMP, le vrai ennemi de Talon à l'inverse de l'opposition ? Le chef de l'État pourrait penser que ses antagonistes se trouvent ailleurs, surtout dans l'opposition. Lorsque vous vivez avec des gens qui ne vous corrige pas lorsque vous êtes en erreur, ce sont vos vrais ennemis, dit-on. Les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) votent des lois qui vont plonger dans l'eau, tant le peuple béninois que Patrice Talon. Malgré cela, le BMP ne conseille pas l'homme fort d'aujourd'hui. Qui est alors le vrai ennemi de Talon ? Le peuple ? L'opposition ? Le BMP ? Par 3ATB, le 22 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Si on entoure un chef, quel rôle doit-on jouer ? Les jours passent et la douleur persiste et le BMP ne dit rien. Le BMP veut-il être source du malheur du peuple sous le règne du chantre de la Rupture ? Le président de la République, Patrice Talon n'a pas de bons conseillers dans son entourage et surtout dans l'Assemblée nationale. Ceux qui sont sensés aider le chantre de la Rupture le plonge davantage dans un champ de bataille. Lorsqu'une personne est en dérives quel que soit son tempérament, on essaye de lui dire la vérité par autres moyens de façon intelligente. Au lendemain de la création du BMP, le peuple avait confiance aux députés de la mouvance qui devraient avoir pour mission de contrôler l'action gouvernementale du régime Talon. Force est de constater que tout se gâte. Les 61 élus parlementaires font voter des lois qui ternissent l'image du Bénin ainsi que sa démocratie. Des votes du code du numérique à la Criet sans oublier le code électoral et en passant par d'autres, c'est des difficultés adoptées au profil du président Talon. Est-ce ça rendre service à un homme qu'on prétend follement aimer ? Le nouveau code électoral a prévu une caution de 249millions contre 8300000 dans l'ancien par liste aux législatives, ceci dès mai 2019 (prochaines législatives). Pour la présidentielle, chaque candidat qui payait 15millions payera à partir de 2021 la somme de 250 millions pour faire valider sa candidature. Pour toutes les élections, tout candidat qui n'aura pas le quitus fiscal sera recalé. Si cette loi est votée par le BMP dans le but de faire d'innovation, elle pourrait retourner contre ce Bloc. Selon le même code électoral, il faut au moins 10% de suffrages exprimés avant de disputer de sièges au parlement et 15% avant de retirer sa caution pour la présidence. Au cas où Talon perdait la Majorité, quel sera le sort du BMP ? Le pouvoir peut alors tomber dans son propre piège. Dans l'Afrique voire dans le monde, il est difficile de trouver un État dans lequel le coût des élections est élevé comme dans l'ex-Danxomey sous Patrice Talon. La Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) vient mettre en danger la démocratie béninoise qui faisait placer ce pays à une place importante vis-à-vis des autres États de la sous région. Pourquoi les criminels de sang ne seront pas jugés par la Criet ? S'il existait une Cour spéciale pour le crime de sang, les béninois seraient heureux. Si une Cour va juger en premier et en dernier ressort, ne constitue-t-elle pas un handicap pour la démocratie ? Aujourd'hui, pour plusieurs citoyens, cette Cour serait installée pour l'emprisonnement des opposants au président Talon. Est-ce vrai ou faux ? En août dernier, le BMP, contenant la majorité des députés, a fait adopter le projet sur la Criet autour d'une heure de matin. À moins de deux mois d'exercices, l'opposant ancien candidat, Sébastien Ajavon et ses coaccusés sont condamnés à 20 ans de prison ferme plus une amende de six millions chacun dans l'affaire 18kg de cocaïne pure. Ce dossier est déjà jugé fin novembre 2016. Pourquoi ce rebondissement à l'approche des élections ? Face à ces situations qui ne cessent de se multiplier, que fait le BMP ? L'opposition

est vue comme un grand ennemi de Talon. Celui qui dit la vérité n'est jamais écouté. Le chef de l'État, homme de vision devrait analyser ce qui se passe pour voir qui ne l'aime pas de qui l'aime. Le plutôt serait le mieux. Et si le BMP revoyait les lois votées pour soigner l'image du Bénin à l'international.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

À la Une de l'actualité au Monde, en Turquie, le président Tayyeip Erdogan annonce, ce mardi, devant les parlementaires, le résultat de l'enquête sur la mort du journaliste saoudien, Jamal Khashoggi disparu le 02 octobre dernier au consulat de l'Arabie Saoudite à Istanbul. Avant cette annonce du chef de l'État, on apprend que quinze personnes venues de l'Arabie Saoudite ont charcuté Jamal Khashoggi dans le consulat saoudien. Le nouveau fait attendu par le monde entier, est la révélation sur le lieu où se trouve le corps de l'illustre disparu. De la France en Allemagne et le Royaume-Uni sans oublier les États-Unis et les autres pays du monde, tout le monde veut connaître la vérité afin d'infliger de sanctions au Royaume de l'Arabie Saoudite et si possible au prince héritier, Mohamed Ben Salmane (MBS). Deux semaines après, Riyad a finalement reconnu dimanche passé la mort du journaliste opposant dans son consulat à Istanbul en Turquie. À cet effet, l'immunité royale de deux proches de MBS est levée samedi suivie de l'arrestation de 18 personnes tous soupçonnés d'être les tueurs de Jamal Khashoggi. Feu Khashoggi était un journaliste présentateur télé sur la chaîne nationale saoudienne. Ainsi, en juin 2017, suite à la nomination de MBS au poste de prince héritier, Jamal a commencé à avoir de problèmes. Opposant de MBS, le journaliste s'est exilé aux États-Unis et continue d'écrire de tribunes contre MBS. Âgé de 59 ans, Khashoggi est venu le 02 octobre au consulat saoudien à Istanbul en Turquie pour chercher un acte de mariage. Ce même jour, 15 personnes venues de Riyad l'ont suivi. Ainsi, le journaliste émérite serait tué et décapité en morceaux. L'Arabie Saoudite visée par plusieurs pays. -Au Bénin, suite au quatrième congrès de l'Union Démocratique du Bénin Nouveau (UDBN), le rêve de l'honorable Claudine Affiavi Prudencio est brisé. Elle voulait que l'UDBN soit dans l'un des deux blocs de la Majorité Présidentielle. Mais, les militants ont décidé de d'aller seuls en guerre. L'UDBN, malgré les 249millions pour chaque liste, va seule aux législatives de mai 2019. Elle soutient, néanmoins les actions de Talon. Suspension du journal "La Nouvelle Tribune", la preuve que les professionnels des médias du Bénin ne sont pas unis. Tous, devraient se lever, comme un seul homme, pour ramener la Haac à l'ordre. "La Haac a pour rôle de protéger et de promouvoir la liberté de presse et de communication", article 11 du CIC/B de mars 2015. -Au Cameroun, le conseil constitutionnel sous la direction de son président, Clément Atangana a proclamé ce lundi le candidat Paul Biya vainqueur de la présidentielle du 07 octobre dernier avec 71,28% de voix suivi de Maurice Kanto 14% et le journaliste Cabra libi 06% troisième. Ainsi, le président Paul Biya entame un septième mandat de sept ans après 36 ans au pouvoir. L'investiture du président Paul Biya aura lieu fin décembre 2018. Maurice Kanto conteste la réélection de Paul Biya. -Au Royaume-Uni, À quatre mois du jour j, les populations souhaitent un nouveau référendum sur le Brexit (sortie du Royaume-Uni de l'Europe). Elles estiment qu'elles n'avaient pas bien compris le projet Brexit. -Aux États-Unis, le candidat opposant à la présidentielle camerounaise, Maurice Kanto a obtenu seulement 02 voix. C'est la preuve que le milliardaire américain Soros n'a rien avoir dans la candidature de Kanto. -En Chine, le président Paul Biya a obtenu 100% des suffrages exprimés à la présidentielle camerounaise du 07 octobre dernier. Les chinois vont-ils envahir davantage le Cameroun pour la construction des infrastructures ? SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mardi 23 octobre 2018

-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos du monde"

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 254 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

dimanche 21 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Cameroun, les populations face à leur destin ce jour. Le Conseil Constitutionnel proclame ce lundi le résultat définitif officiel de la présidentielle du 07 octobre dernier qui a opposé 09 candidats dont l'actuel président, Paul Biya. Selon la grogne ces temps ci, Paul Biya, président sortant serait réélu avec 72% des voix pour un septième mandat de sept ans. Dans la capitale à Douala, les forces de l'ordre sont déjà déployées dans plusieurs rues pour empêcher les manifestations de l'opposition. Après cette proclamation, la Cour Constitutionnelle va confirmer ce résultat final dans les trois jours qui suivent l'annonce du Conseil Constitutionnel. Maurice Kamto, malgré qu'il ait perdu le procès du contentieux post-électoral jeudi passé, veut contester la réélection de Paul Biya, 86 ans qui est au pouvoir depuis 36 ans. Le chef de file des opposants, Kamto s'est déjà auto-proclamé vainqueur de cette présidentielle de 2018 au lendemain du scrutin électoral à un tour. Vers une crise post-électorale comme en Côte d'ivoire en 2010-2011. -Pendant ce temps, en Côte d'ivoire, le président Alassane Ouattara et l'ancien président Henri Bédié se sont divorcés pour guerre d'intérêt politique. Après que les deux hommes d'État ont créé un parti Unifié, Ouattara veut s'imposer comme candidat de ce parti à la présidentielle de 2020. Ainsi, Henri Konan Bedié, président dans les années 1995 a rejoint le Front Populaire Ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo actuellement à la CPI. -Au Bénin, les inscriptions ont débuté dans les universités publiques depuis une semaine. On constate une faible manifestation des nouveaux bacheliers. La Criet et le BMP, les principaux opposants du président Patrice Talon. Les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) devraient mieux conseiller le chef de l'État dans sa manière de gérer le pays au lieu de le plonger dans l'eau. Après la condamnation à 20 ans de prison de Sébastien Ajavon par la Criet, à qui le tour ? Huitième circonscription électorale, vers le maire Charles Toko en tête de liste de Talon aux législatives de mai 2019. Que va-t-il se passer avec l'honorable Rachidi Gbadamassi qui rêve d'être en tête ? Suspension du journal "La Nouvelle Tribune", la preuve que les professionnels des médias du Bénin ne sont pas unis. Tous, devraient se lever, comme un seul ordre, pour ramener la Haac à l'ordre. "La Haac a pour rôle de protéger et de promouvoir la liberté de presse et de communication", article 11 du CIC/B de mars 2015. -Au Tchad, le président Idriss Deby Itno et l'opposition à couteau tiré depuis sa réélection l'an passé. De jours en jours, le nombre d'exilés politique s'accroît. Les prisons sont remplies d'opposants et l'homme fort au pouvoir n'est pas prêt à ramener la balle à terre. -Aux Mali et Nigéria, Boko Haram continue de tuer de centaine de personnes dans les deux nord des deux États voisins avec douze paysans égorgés côté Nigéria ce samedi à quelques mètres de l'armée. -En Israël, le gouverneur de la Palestine à Jérusalem arrêté ce dimanche par les autorités israéliennes pour avoir refusé de reconnaître Jérusalem comme capitale des juifs. -Aux États-Unis, signé en octobre 1987, le président Donald Trump a annulé, ce dimanche, l'accord sur la prolifération des armes chimiques de la Russie. -En Arabie Saoudite, les autorités royales reconnaissent enfin la mort du journaliste Jamal Khashoggi dans leur ambassade à Istanbul, Turquie. Le prince héritier, Mohamed Ben Salmane est visé par une levée de son immunité. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 22 octobre 2018

-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos du monde"

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 254 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

mardi 16 octobre 2018

Bénin/Législatives 2019: Pourquoi Talon doit se séparer du BMP ?

Le mot "Rupture" doit s'appliquer à tous et sans discrimination de couche politique. Les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) sont élus sous la bannière de l'ancien régime dirigé par l'ex-président Boni Yayi. Si Talon a décidé de rompre avec les pratiques et la gouvernance de Yayi qualifiés de mauvais, pourquoi continue-t-il de collaborer avec les députés du BMP ? En 2016, Talon a prôné pour "La Rupture pour un Nouveau Départ". Logiquement, pour le positionnement de ses propres députés dans sept mois, le président Talon devrait éviter de ramener les mêmes députés et opter pour de nouvelles têtes. Delà, on dira que le Bénin est sous la "Vraie Rupture". Ramener les mêmes élus du peuple à la 8ème Législature, la Rupture devient-elle un vain mot insensé ? Après son élection, Patrice Talon semble s'écarter de ses militants de première heure au profil des yayistes qui peuvent le tromper à tout moment ?

Par 3ATB, le 16 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

À  qui appartient, normalement, les députés du BMP ? À Boni Yayi ou à Patrice Talon ? La majorité d'eux est élue sur la liste du parti de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (Fcbe). Sans oublier d'autres formations politiques auxquelles appartiennent quelques uns. La Rupture serait-elle à caractère sélectif ? À quand la Rupture avec les produits de l'Assemblée nationale ? Avant le premier tour de la présidentielle de 2016, qui sont ceux qui étaient les Talon ? Qui sont ceux qui sont devenus Talon à la veille du second tour ? Et qui sont les pros-Talon après l'investiture du 06 avril 2016 ? Dans ces trois catégories de Talon,  le chantre de la Rupture devrait prédire l'objectif de chacun dans son entourage. Il devrait pouvoir connaître ses vrais fans et amis au détriment des "hommes d'intérêts". Il devrait pouvoir séparer ses amis qui peuvent le lâcher une fois qu'ils auraient trouvé leur intérêt recherché de ceux qui l'aiment jusqu'au "tombeau", comme Valentin Djênontin, Komi Koutché, Eugène Azatassou, Abibath Dafia et autres sont très fidèles à Boni Yayi. Ramener intacte le BMP à la prochaine législature ne serait-il pas une trahison de Talon à l'endroit de son peuple qui l'a élu à plus de 66% afin qu'il puisse gouverner avec de nouveaux visages politiques ? Où est la jeunesse qui a opté à 100% pour contribuer à l'arrivée de Talon à la Marina afin que le Bénin change de visage dans les institutions de la République ? Est-elle écartée ? Sera-t-elle positionnée aux législatives prochaines ? 30 mois après au sommet de l'État, Patrice Talon continue de collaborer avec les soldats du régime Yayi. Où est alors la Rupture ? Qu'appelle-t-on Rupture sous Talon ? N'est-ce pas le moment de former sa vraie troupe pour la bataille de 2019 ? Plusieurs électeurs seraient prêts à voter pour les deux listes de la mouvance, sauf si les noms des candidats seraient de nouveaux visages. Positionner les députés de cette 7ème Législature qui ont aussi existé sous Boni Yayi traité de mauvais président en gestion, serait de tromper le mot "Rupture". Et le chef de l'État doit savoir que "les mêmes causes produisent les mêmes effets". S'il veut réussir son projet de société pour lequel il est élu, c'est le moment de savoir qui positionner en 2019 et qui il ne pas positionner. Si le chef de l'État fait la sourde oreille, il pourrait aussi être traité de mauvais président après son départ du pouvoir comme les anciens collaborateurs de Boni Yayi le traitent aujourd'hui. Le BMP étant fort comme on nous le dit, devrait former son bloc pour aller aux législatives de 2019 sans le soutien de Talon. C'est ça la vrai politique qui se fait dans les pays du Nord. La situation sociopolitique étant tendue, le patron de la Marina doit être vigilant pour ne pas se faire piéger. Certains députés, une fois élus ne tardent pas à attaquer et insulter leur chef. Et on nous dit souvent "jamais un sans deux". S'ils l'on fait avec d'autres, pourquoi pas Talon un jour ? Si Talon positionnait de nouvelles têtes sur ces listes, il pourrait rafler pour la majorité. Mais reconduire les mêmes personnes, bonjour l'échec face à l'opposition poids lourd de Boni Yayi. L'ancien président Yayi infatigable va bien battre campagne pour la Fcbe. C'est le moment pour Talon de porter sa ceinture. Mai 2019, législatives de tous les dangers.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Législatives 2019: Pourquoi Talon doit se séparer du BMP ? Le mot "Rupture" doit s'appliquer à tous et sans discrimination de couche politique. Les députés du Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP) sont élus sous la bannière de l'ancien régime dirigé par l'ex-président Boni Yayi. Si Talon a décidé de rompre avec les pratiques et la gouvernance de Yayi qualifiés de mauvais, pourquoi continue-t-il de collaborer avec les députés du BMP ? En 2016, Talon a prôné pour "La Rupture pour un Nouveau Départ". Logiquement, pour le positionnement de ses propres députés dans sept mois, le président Talon devrait éviter de ramener les mêmes députés et opter pour de nouvelles têtes. Delà, on dira que le Bénin est sous la "Vraie Rupture". Ramener les mêmes élus du peuple à la 8ème Législature, la Rupture devient-elle un vain mot insensé ? Après son élection, Patrice Talon semble s'écarter de ses militants de première heure au profil des yayistes qui peuvent le tromper à tout moment ? Par 3ATB, le 16 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE À qui appartient, normalement, les députés du BMP ? À Boni Yayi ou à Patrice Talon ? La majorité d'eux est élue sur la liste du parti de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (Fcbe). Sans oublier d'autres formations politiques auxquelles appartiennent quelques uns. La Rupture serait-elle à caractère sélectif ? À quand la Rupture avec les produits de l'Assemblée nationale ? Avant le premier tour de la présidentielle de 2016, qui sont ceux qui étaient les Talon ? Qui sont ceux qui sont devenus Talon à la veille du second tour ? Et qui sont les pros-Talon après l'investiture du 06 avril 2016 ? Dans ces trois catégories de Talon, le chantre de la Rupture devrait prédire l'objectif de chacun dans son entourage. Il devrait pouvoir connaître ses vrais fans et amis au détriment des "hommes d'intérêts". Il devrait pouvoir séparer ses amis qui peuvent le lâcher une fois qu'ils auraient trouvé leur intérêt recherché de ceux qui l'aiment jusqu'au "tombeau", comme Valentin Djênontin, Komi Koutché, Eugène Azatassou, Abibath Dafia et autres sont très fidèles à Boni Yayi. Ramener intacte le BMP à la prochaine législature ne serait-il pas une trahison de Talon à l'endroit de son peuple qui l'a élu à plus de 66% afin qu'il puisse gouverner avec de nouveaux visages politiques ? Où est la jeunesse qui a opté à 100% pour contribuer à l'arrivée de Talon à la Marina afin que le Bénin change de visage dans les institutions de la République ? Est-elle écartée ? Sera-t-elle positionnée aux législatives prochaines ? 30 mois après au sommet de l'État, Patrice Talon continue de collaborer avec les soldats du régime Yayi. Où est alors la Rupture ? Qu'appelle-t-on Rupture sous Talon ? N'est-ce pas le moment de former sa vraie troupe pour la bataille de 2019 ? Plusieurs électeurs seraient prêts à voter pour les deux listes de la mouvance, sauf si les noms des candidats seraient de nouveaux visages. Positionner les députés de cette 7ème Législature qui ont aussi existé sous Boni Yayi traité de mauvais président en gestion, serait de tromper le mot "Rupture". Et le chef de l'État doit savoir que "les mêmes causes produisent les mêmes effets". S'il veut réussir son projet de société pour lequel il est élu, c'est le moment de savoir qui positionner en 2019 et qui il ne pas positionner. Si le chef de l'État fait la sourde oreille, il pourrait aussi être traité de mauvais président après son départ du pouvoir comme les anciens collaborateurs de Boni Yayi le traitent aujourd'hui. Le BMP étant fort comme on nous le dit, devrait former son bloc pour aller aux législatives de 2019 sans le soutien de Talon. C'est ça la vrai politique qui se fait dans les pays du Nord. La situation sociopolitique étant tendue, le patron de la Marina doit être vigilant pour ne pas se faire piéger.

Certains députés, une fois élus ne tardent pas à attaquer et insulter leur chef. Et on nous dit souvent "jamais un sans deux". S'ils l'on fait avec d'autres, pourquoi pas Talon un jour ? Si Talon positionnait de nouvelles têtes sur ces listes, il pourrait rafler pour la majorité. Mais reconduire les mêmes personnes, bonjour l'échec face à l'opposition poids lourd de Boni Yayi. L'ancien président Yayi infatigable va bien battre campagne pour la Fcbe. C'est le moment pour Talon de porter sa ceinture. Mai 2019, législatives de tous les dangers.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

FRANCE-RÉMANIEMENT: Le nouveau gouvernement connu. Cotonou (Bénin), le mardi 16 octobre 2018, 20h45min (SIM)-Le nouveau gouvernement du président Emmanuel Macron est rendu public ce mardi matin depuis la présidence. Le gouvernement est (enfin) au complet. Depuis la démission de Gérard Collomb il y a deux semaines, un remaniement devait avoir lieu mais de nombreux reports ont retardé l'échéance, laissant se prolonger l'intérim d'Edouard Philippe au ministère de l'Intérieur et d'autres portefeuilles entre les mains de ministres sur le départ. Principal enseignement de ce remaniement : la place Beauvau revient donc à Christophe Castaner, auparavant chargé des relations avec le Parlement et dont la démission d'En Marche est intervenue immédiatement après la nomination. Il sera assisté par Laurent Nunez, secrétaire d'Etat rattaché à Beauvau et ancien patron de la Direction générale de la Sécurité intérieure. Le poste de ministre de la Culture revient au centriste Franck Riester, qui remplace donc Françoise Nyssen, dont le départ était pressenti depuis un certain temps déjà. Le sénateur socialiste Didier Guillaume a été nommé ministre de l'Agriculture et remplace donc Stéphane Travert, lui aussi annoncé sur le départ. Jacqueline Gourault, anciennement secrétaire d'Etat, est promue ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. Gouvernement : des nouveaux ministres et des nouveaux secrétaires d'Etat L'équipe gouvernementale évolue aussi avec de nouveaux secrétaires d'Etat : Emmanuelle Wargon est nommée secrétaire d'Etat à la Transition écologique, Christelle Dubos est nommée secrétaire d'Etat aux Solidarités et la Santé, Agnès Pannier-Runacher est nommée secrétaire d'Etat à Bercy. Deux secrétaires d'Etat ont des périmètres bien délimités au sein du ministère des Territoires : Julien Denormandie, en charge de la Ville et du Logement et Sébastien Lecornu, en charge des collectivités. Marc Fesneau récupère le poste de secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement. Composition gouvernement : la liste des ministres des ministres du gouvernement Macron est la suivante : Edouard Philippe, ministre de l'Intérieur ; Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur, François de Rugy, ministre de la Transition écologique ; Nicole Belloubet, ministre de la Justice ; Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères ; Florence Parly, ministre des Armées ; Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires ; Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé ; Bruno Le Maire, ministre de l'Economie ; Franck Riester, ministre de la Culture ; Murielle Pénicaud, ministre du Travail ; Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale ; Didier Guillaume, ministre de l'Agriculture ; Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des comptes publics (Budget) ; Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur ; Annick Girardin, ministre des Outre-me. 3ATB/BA/SIM/COR SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

lundi 15 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, la première promotion des étudiants de l'Institut Supérieur des Sciences de l'Information et de la Communication (ISSIC) sont dès ce lundi en compositions journalistiques de l'examen national de licence de 2018 au Ceg sainte Rita de Cotonou, tout comme les autres étudiants des universités privées. Dans ce collège où on peut compter plus d'une dizaine de filières niveau licence, la ministre de l'enseignement Supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Atanasso a officiellement lancé les épreuves écrites à 08h00. Après ce coup d'envoi, l'épreuve de tronc commun est composée suive de l'épreuve de spécialité dans l'après midi. La pratique pour la filière journalisme aura lieu samedi prochain dans les organes de presse du service public. L'examen national de licence de cette année est prévu de ce lundi 15 octobre au 03 novembre prochain. 2018 est la deuxième édition des examens nationaux de licence et master. Après la licence, les étudiants en master vont aussi être programmés. La rentrée universitaire débute ce lundi selon l'annonce de la ministre de l'enseignement Supérieur. Les propriétaires de motos ont de difficultés dans les directions des TP à se faire établir la plaque de moto bien que le délai moratoire du gouvernement est presqu'à terme. Et si le ministre de l'intérieur repoussait la date de répression pour six mois ? Au cours du 17ème Sommet de l'OIF à Erevan, en Arménie, jeudi vendredi derniers, Aurélien Adam Zoumarou est élue présidente du réseau des ministres de l'économie numérique. Législatives de 2018, et si Talon se séparait du BMP pour obtenir la majorité ? Animation de la vie politique, où est passé l'ancien candidat, Richard Sênou ? Après la présidentielle de 2016, l'ancien ministre est invisible et ne fait plus signe de vie. Que se passe-t-il ? -Présidentielle 2018 au Cameroun, le candidat, opposant, Maurice Kamto aurait le soutien de l'Amérique. Dans une note, les États-Unis ont instruit la commission électorale de publier les résultats bureau de vote par bureau de vote. -Au Nigéria, face à Atiku, le président Buhari perd ses soutiens de taille à l'approche de la présidentielle de février 2018. Le candidat Atiku Abubakari de l'opposition est le grand favori. Boko haram lance un ultimatum pour exiger de l'argent avant de libérer deux travailleuses de la CICR enlevées par lui. Si rien n'est versé jusqu'à la nuit de ce lundi, les deux dames seront tuées, déclare le porte-parole du groupe Boko Haram. La croix rouge demande pardon à Boko Haram. -Au Niger, la malnutrition sévit les enfants ces temps ci. Le gouvernement sollicite l'aide de la communauté internationale pour limiter les décès de bébés. -L'Arabie Saoudite rejette les menaces des USA, du Royaume-Uni et de la France suite à la disparition du journaliste Jamal Kashoggi à Istanbul. Riyad dit qu'il n'est impliqué de rien dans l'affaire Koshoggi. -En Syrie, les rebelles veulent que le combat à Idleb reprennent. Après la rencontre Poutine-Erdogan qui s'est soldée par un cessez-le-feu, l'opposition n'est pas d'accord de voir la fin de la guerre. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 15 et mardi 16 octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 *L'administrateur 97878347 remplace le 97524288 au poste d'administrateur principal dès ce dimanche pour un mois. *Des administrateurs vont perdre leur titre au profil de quelques membres dynamiques. À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège : Bénin, Cotonou. 251 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

samedi 13 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, les législatives de 2019 font déjà courir les hommes politiques. Près que chaque week-end, des meetings de soutien au président Patrice Talon se tiennent un peu partout dans le pays. Tout comme la mouvance, l'opposition ne croisent pas les bras. Chacun dans son camp est dans les calculs pour obtenir la majorité parlementaire à la huitième législature. À cet effet, et contrairement aux opposants qui pourraient présenter une liste en bloc, la mouvance va aux urnes avec deux listes. Le premier bloc dénommé "dynamique unitaire " va couvrir l'électorat du Nord Bénin et le bloc progressiste au Sud. Il faut aussi rappeler que la guerre de positionnements a débuté. Les futurs candidats à ces élections sont à la recherche de la première place. Soit la tête de liste. Dans la circonscription électorale de Djougou, voici les probables candidats de Patrice Talon sur la liste de "dynamique unitaire".En tête on aurait Malick Gomina, journaliste et Directeur général du groupe de presse Canal3 et l'honorable Nouhoum Bida des fcbe qui serait le deuxième et dernière position. Armée de terre, des dispositions sécuritaires sont prises pour renforcer la sécurité aux postes de contrôle suite aux présumées menaces d'attaques. Pour injures et diffamations à l'endroit du gouvernement Talon dans les réseaux sociaux malgré l'existence du code du numérique, le président du parti PVR, Loth Houénou est arrêté dans la soirée de ce samedi à la frontière d'hilacondji alors qu'il tentait de fuir du pays par une voiture de plaque nigériane. Il est actuellement au commissariat de police de Cotonou et serait présenté au procureur de la République de Cotonou lundi. -En Côte d'Ivoire, les élections locales se sont tenues hier sans perturbation sauf que le parti FPI de Laurent Gbagbo a appelé au boycott. Les résultats provisoires annoncés dès samedi prochain. -Au Gabon, le présumé président élu, l'opposant Jean Ping tient des audiences cette semaine dans son palais privé, chez lui à Libreville. Ping conteste la réélection de Ali Bongo en août 2016 pour un deuxième mandat de sept ans. -En RDC, le président Joseph Kabila ne veut plus organiser la présidentielle de décembre prochain sous prétexte que son pays n'a plus des moyens financiers. Kabila refuse le financement de l'Onu. En novembre 2016, le dernier mandat du président Kabila a expiré et il se maintient toujours au pouvoir. -Aux États-Unis, libéré vendredi par Erdogan après deux ans de prison en Turquie, le président Donald Trump a reçu le pasteur Andrew Brunson ce samedi à 15h00 à la Maison Blanche. Brunson est accusé d'être auteur du putsch manqué de juillet 2016 au président Tayep Erdogan. L'administration Trump salut cette libération turque. -En Arabie Saoudite, suite à la disparition du journaliste saoudien de l'opposition, Jammal Kashogi à Istanbul, plusieurs pays dont la France, les USA et le Royaume-Uni annoncent des sanctions fortes à Riyad. -En Allemagne, les populations dans les rues ce samedi matin à Berlin pour dénoncer la xénophobie à la veille des élections régionales et locales. -En Égypte, activiste, blogger et révolutionnaire, Ahmed Douma sera jugé ce lundi au tribunal du Caire. Condamné à mort, Il est poursuivi pour incitation à la révolte de 2011 des frères musulmans. Le blogger a été presque emprisonné sous tous les régimes. Entre autres, de Osseni Moubarak en passant par Mohamed Mossi sans oublier, Abdelfattar Al-Sissi, actuel président. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Dimanche 14 octobre 2018

-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos monde"

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

*L'administrateur 97878347 remplace le 97524288 au poste d'administrateur principal dès ce dimanche pour un mois.

*Des administrateurs vont perdre leur titre au profil de quelques membres dynamiques.

À suivre les Unes des journaux en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 251 membres dont 05 administrateurs et 01 AP

Communiqué n008 du 14/10/ 2018 Bonsoir chers administrateurs et chers membres du forum SIM. Après analyse et suite à l'expiration du mandat de l'ex-administrateur principal, le 97878347 membre et administrateur est désigné dès ce dimanche nouveau administrateur principal (AP) pour un mois. Ainsi, il remplace l'administrateur 97524288, désormais ancien AP. L'AP a le pouvoir de retirer un membre en faute après maintes avertissements sans l'avis des autres administrateurs. Mais, si un administrateur (non AP) veut retirer un membre en erreur, nous lui prions de discuter d'abord en inbox avec l'AP. Certains administrateurs non actifs pourraient devenir de simples membres très prochainement. Des membres dynamiques seront nommés administrateurs. Nous sommes tous invités à bien vérifier les informations avant de les publier. Aussi, nous devons éviter de publier les mêmes informations plusieurs fois dans le forum. NB: Le règlement intérieur révisé du forum sera connu de tous novembre prochain. Merci à nous pour la compréhension. Avec SIM, l'information sans frontières dans le monde. Administrateurs Cotonou, le dimanche 14 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

vendredi 12 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, en Côte d'ivoire, les partis du président Alassane Ouattara et de l'ex-président Henri Kona Bedié s'affrontent ce samedi aux urnes dans le cadre des élections municipales et régionales de 2018. Le parti Unifié en voie de disparaître avant la présidentielle de 2020. Divisés à la surprise générale, les partis Rhdp de Ouattara et Rdr de Bedié ont chacun présenté leur liste des candidats. Ce 13 octobre , plus de 6 millions d'Ivoiriens vont aller voter pour les élections municipales et régionales. Reportage à Gagnoa dans la région du Goh au centre-ouest du pays. La région est connue pour être l'épicentre de l'ethnie bété et également pour être celle de Laurent Gbagbo, l'ex-président ivoirien dont le parti le Front populaire ivoirien (FPI) boycotte ces élections. -Au Bénin, législatives de 2019, voici les probables candidats de l'opposition dans la huitième circonscription électorale avec le parti Fcbe. En tête de liste on aurait l'ex-président Boni Yayi suivi de l'honorable Amadou en deuxième place. L'ancien maire de Parakou Karim Souradjou pourrait être troisième et enfin L'actuel maire, Bio de Tchaorou serait en quatrième et dernière position. Législatives prochaines, les députés du BMP frapperaient à la porte de l'opposition pour négocier des positionnements. Législatives de 2019, Patrice Talon pourrait se séparer du Bloc de la Majorité Présidentielle Parlementaire (BMP) d'ici à janvier 2019. Après avoir assisté au 17ème Sommet de l'OIF à Erevan en Arménie, le président Patrice Talon rentre à Cotonou ce samedi. -En RDC, le virus ebola fait plus de 180 morts en cinq mois. Le gouvernement Kabila interpellé pour des solutions urgentes. -Au Mali, Boko Haram fait des dizaines de morts dans le Nord. Pendant ce temps, un mois après l'investiture du président Ibrahim Boubacar Keita (IBK), l'opposant candidat malheureux Soumaila Cissé conteste toujours la réélection d'IBK. -Au Rwanda, les populations en joie suite à l'élection ce vendredi à Erevan de la rwandaise Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire générale de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Face à la sg sortante Michaëlle Jean, Louise a été élue à la majorité au-cours de ce 17ème Sommet en Arménie. -Au Cameroun, si la commission électorale proclamait Paul Biya vainqueur de la présidentielle d'octobre 2018, vers un coup de force à l'actuel président en faveur de Maurice Kamto, candidat opposant qui s'est déjà autoproclamé élu. -En France, le nouveau gouvernement du président Emmanuel Macron connu ce samedi sans la démission du premier ministre Édouard Philippe. -À la Bande de Gaza, sept palestiniens tués par les soldats israéliens lors des mouvements de protestations. Les palestiniens ont décidé de marcher chaque vendredi depuis le jour où Trump a attribué Jérusalem à l'Israël. -Arabie Saoudite, suite à la disparition d'un journaliste de l'opposition, le torchon brûle entre les autorités saoudiennes et la Communauté internationale. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Samedi 13 octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 Un nouveau administrateur principal sera nommé ce dimanche À suivre les Unes des journaux en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège : Bénin, Cotonou. 249 membres dont 05 administrateurs

AFRIQUE DU SUD-DEUIL: Le ministre Pik est mort à 86 ans! Cotonou (Bénin), le vendredi 12 octobre 2018, 21h00min (SIM)- L’ancien ministre sud-africain Pik Botha est mort très tôt ce matin. Ministre des affaires étrangères de 1977 à 1994, Roelof « Pik » Botha est mort à l’âge de 86 ans à Pretoria. Le décès de cette figure de premier plan du gouvernement blanc, au plus fort de la lutte contre l’apartheid – régime ségrégationniste qui dura de 1913 à 1991 –, a été rendu public par les médias locaux et confirmé au groupe de presse News24 par son fils aîné, Piet Botha. L’homme est mort durant son sommeil dans la nuit de jeudi 11 à vendredi 12 octobre, « son épouse, Ina, à ses côtés ». Pik Botha « était malade depuis trois semaines », selon son fils, et avait d’ailleurs été hospitalisé à Pretoria en septembre. Roelof « Pik » Botha avait dirigé pendant dix-sept ans la diplomatie sud-africaine, de 1977 à 1994. Il avait ensuite intégré le gouvernement du premier président noir sud-africain démocratiquement élu, Nelson Mandela, où il était chargé du portefeuille des mines et de l’énergie. En 1996 et après dix-neuf ans de présence ministérielle ininterrompue, sa carrière politique avait pris fin quand sa formation, le Parti national (NP) qui avait durci l’apartheid en 1948, s’était retirée du gouvernement. Surnommé « Pik » (pingouin), Roelof Botha avait incité le président Frederik de Klerk à libérer en 1990 Nelson Mandela, le chef historique du Congrès national africain (ANC), après vingt-sept ans de prison. En 1986, il avait été sévèrement réprimandé par le président Pieter Willem Botha (aucun lien de parenté) pour avoir déclaré que l’Afrique du Sud pourrait, un jour, être dirigée par un Noir. 3ATB/BA/SIM SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège :Bénin, Cotonou

Le ministre PIK est mort ce vendredi des suites d'une courte maladie ! SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

L'ancien ministre de la diplomatie sud-africaine, Pik Botha a rendu l'âme ce jour au cours d'un sommeil profond à l'âge de 86 ans. C'est ce qu'a laissé entendre sa famille. L'Afrique du Sud vient de perdre un grand homme. Pour le moment, un deuil national n'est pas encore décrété par le président Cyril Ramaphosa.

Par 3ATB, le 12 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

L’ancien ministre sud-africain Pik Botha est mort très tôt ce matin. Ministre des affaires étrangères de 1977 à 1994, Roelof « Pik » Botha est mort à l’âge de 86 ans à Pretoria. Le décès de cette figure de premier plan du gouvernement blanc, au plus fort de la lutte contre l’apartheid – régime ségrégationniste qui dura de 1913 à 1991 –, a été rendu public par les médias locaux et confirmé au groupe de presse News24 par son fils aîné, Piet Botha. L’homme est mort durant son sommeil dans la nuit de jeudi 11 à vendredi 12 octobre, « son épouse, Ina, à ses côtés ». Pik Botha « était malade depuis trois semaines », selon son fils, et avait d’ailleurs été hospitalisé à Pretoria en septembre. Roelof « Pik » Botha avait dirigé pendant dix-sept ans la diplomatie sud-africaine, de 1977 à 1994. Il avait ensuite intégré le gouvernement du premier président noir sud-africain démocratiquement élu, Nelson Mandela, où il était chargé du portefeuille des mines et de l’énergie. En 1996 et après dix-neuf ans de présence ministérielle ininterrompue, sa carrière politique avait pris fin quand sa formation, le Parti national (NP) qui avait durci l’apartheid en 1948, s’était retirée du gouvernement. Surnommé « Pik » (pingouin), Roelof Botha avait incité le président Frederik de Klerk à libérer en 1990 Nelson Mandela, le chef historique du Congrès national africain (ANC), après vingt-sept ans de prison. En 1986, il avait été sévèrement réprimandé par le président Pieter Willem Botha (aucun lien de parenté) pour avoir déclaré que l’Afrique du Sud pourrait, un jour, être dirigée par un Noir.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

jeudi 11 octobre 2018

À la Une de l'actualité Internationale, en Arménie, à la tête de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), la rwandaise Louise Mushikiwabo succède ce vendredi à la canadienne, Michaëlle Jean, désormais ancienne secrétaire générale de l'OIF. C'est à travers un vote prévu entre plus de quarante représentants d'Etat que la ministre rwandaise des affaires étrangères, Louise Mushikiwabo serait élue pour un mandat de quatre avec une possibilité de renouvellement. Le président Patrice Talon du Bénin, présent à Erevan devrait voter pour la rwandaise Louise, soutenue par la France et l'Union africaine. Ce jour, la passation de charge aura bel et bien lieu à Erevan, capitale arménienne. Il faut noter que Michaëlle Jean est critiquée pour sa mauvaise gestion financière de l'OIF au point où son pays, le Canada lui a retirée sa confiance. Notons que la Francophonie tient son 17ème Sommet cette année 2018 à Erevan. Créée vers les années 1955 et logée dans l'ONU, l'OIF a pour mission de faire instaurer la langue de Molière "français" dans plusieurs États. Elle compte près de 80 pays. -Au Bénin, le président Patrice Talon rentre de l'Armenie à Cotonou au plus tard demain, samedi. Il est suivi des ministres des affaires étrangères, Aurélien Agbenonci, de l'Économie Numérique et de de la Communication, Aurélie Zoumarou Adam et Oswal Homeky des sports et tourismes. Législatives de 2019 dans la huitième circonscription électorale, voici les probables candidats de Talon et l'ordre du positionnement. En tête de liste on pourrait avoir, Charles Toko actuel maire de Parakou, suivi de Sacca Lafia ministre de l'Interieur, en troisième Rachidi Gbadamassi député fcbe et enfin soit en quatrième position Mariama Baba-Moussa ancienne DG des Impôts et domaines. Zou/Collines, l'ex-receveur des impôts bientôt en prison pour un présumé détournement de près de 125.000.000 francs cfa. Football, les écureuils affrontements l'Algérie ce vendredi à Alger. -Au Sénégal, les magistrats en grève pour défaut d'augmentation de salaire. Ils refusent un service minimum et annoncent la perturbation de la présidentielle qui aura lieu dans six mois. Le président Macky Sall candidat à sa propre succession. -Au Cameroun, suite à l'enregistrement au siège du Conseil constitutionnel de 21 recours, les candidats de l'opposition demandent l'annulation de cette présidentielle d'octobre 2018. -En Syrie, l'administration Trump refuse de contribuer à la reconstruction syrienne au cas où l'Iran sera toujours présente sur ce sol. -Royaume-Uni, le Brexit prévu dans cinq mois. Que va-t-il se passer ? La première ministre Theresa May va-t-elle démissionner de son poste ? -Suite à la disparition à Istanbul d'un journaliste saoudien de l'opposition, vers le limogeage du prince héritier, Mohamed Ben Salmane (MBS). SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Vendredi 12 octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" -Forum Islamic existe pour scoop infos monde. Rejoindre par 96343498 Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège : Bénin, Cotonou. 248 membres dont 05 administrateurs

Arménie/Élection au SG de l'OIF: Michaëlle Jean en passe de perdre face à Louise Mushikiwabo. À Erevan ce vendredi 12 octobre lors du 17ème Sommet de la Francophonie, la rwandaise Louise Mushikiwabo serait élue secrétaire générale de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) contre la secrétaire générale sortante, la canadienne Michaëlle Jean. 31 chefs d'État s'apprêtent à voter pour l'élection de la rwandaise. Rappelons que depuis hier, jeudi Mme Jean est fragilisée et voit un coup politique. L'identité de ces deux dames dans la suite. Par 3ATB, le 12 octobre 2018 Après quatre années à la tête de l'OIF, Michaëlle Jean, ancienne ministre canadienne des affaires étrangères s'en va dans la douleur pour laisser, malgré elle, place à Louise Mushikiwabo. Plus de trente représentants d'État dont Patrice Talon du Bénin vont voter la candidature de Louise. Louise et Michaëlle, qui sont-elles ? Michaëlle Jean, née le 6 septembre 1957 à Port-au-Prince (Haïti)[1], est une femme d'État, diplomate, animatrice de télévision et journaliste canadienne. De septembre 2005 à septembre 2010, elle est la vingt-septième gouverneure générale du Canada, la troisième femme à occuper ce poste après Jeanne Sauvé et Adrienne Clarkson. Polyglotte, elle parle cinq langues : français, anglais, espagnol, italien et créole haïtien. Michaëlle Jean est désignée par consensus secrétaire générale de la Francophonie le 30 novembre 2014 lors du XVe Sommet de la francophonie à Dakar, devenant ainsi la première femme nommée à ce poste. Elle rêvait être réélue en octobre 2018. Louise Mushikiwabo naît à Kigali en 1961 ; elle y vit jusqu’en 1981, quand elle part étudier à l'université nationale du Rwanda à Butare. Elle y obtient un diplôme d'anglais en 1984. Elle quitte le Rwanda en 1990 pour les États-Unis. Bilingue, mariée à un Américain, elle ne revient au Rwanda qu'en 2008. Elle est nommée ministre de l'Information par Paul Kagame avant de décrocher le porte-feuille des Affaires étrangères en décembre 2009. En 2018, Louise Mushikiwabo se porte candidate à la fonction de secrétaire générale de l'OIF lors du XVIIe sommet de la Francophonie qui doit se tenir en octobre à Erevan en Arménie. Le Sommet prend fin ce vendredi avec le retrait de l'OIF de la candidature de l'Arabie saoudite. SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾DE


Siège, Cotonou, Bénin

mercredi 10 octobre 2018

À la Une de l'actualité internationale, le 17ème Sommet de la Francophonie s'ouvre ce jeudi 11 octobre à Erevan en Arménie en présence du président Patrice Talon, représentant le Bénin. Ce sommet se tient en deux jours. Près de 80 représentants d'État sont attendus à cette rencontre annuelle. Ajoutons que l'Arabie saoudite, État islamic sacré avec 100% l'arabe annonce son adhésion à l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Son dossier sera au coeur des échanges de même que la disparition du journaliste saoudien Khamal Khassoggi au consulat de l'Arabie saoudite à Istanbul mardi de la semaine dernière. Demain, vendredi, le vote du prochain secrétaire de l'OIF aura lieu. La rwandaise Louise Mushikiwabo et la secrétaire sortante Michaëlle Jean sont les deux candidates en lice. Le président Patrice Talon choisira entre ces deux dames. Selon une rumeur, la rwandaise Louise Mushikiwabo, ancienne ministre des affaires étrangères serait la favorite, car sa candidature est soutenue par la France et l'Union africaine (Ua) même si le Rwanda a pour langue officielle l'anglais. Le Bénin étant de l'Ua, Talon votera alors pour Louise. La secrétaire sortante, la canadienne Michaëlle Jean est critiquée pour sa mauvaise gestion financière de l'OIF. Le français est la cinquième langue parlée au monde. La francophonie compte plus de 30 pays pour le moment et son secrétaire est nommé pour un mandat de quatre ans renouvelable. Les demandes d'adhésion à l'OIF sont énormes. Pendant ce temps, six mois après son investiture, Nikol Pachinian, le premier ministre de l'Armenie démissionne à la tête du gouvernement mardi prochain pour se présenter sa candidature aux législatives du 10 décembre prochain. -Au Cameroun, comme en Côte d'ivoire en 2010-2011, une crise post-électorale pourrait s'installer après la proclamation 22 octobre du résultat de la présidentielle du dimanche passé. L'opposant Maurice Kamto serait financé par le milliardaire américain Soros pour déstabiliser le pays. Kamto s'est déjà autoproclamé vainqueur face à Paul Biya, qui est au pouvoir depuis 36 ans. Maurice Kamto se dit être prêt à tout pour que la passation de pouvoir ait lieu à bonne date. -Au Burkina Faso, pendant que Boko haram tue les soldats et les civils, c'est la révision de la Constitution qui préoccupent le président Rock Marc Christian Kaboré et sa majorité. Le président veut un nouveau mandat de cinq ans malgré son échec sur le plan sécuritaire. -Au Niger, à quand la libération des autres membres de la Société civile emprisonnés lors de leur contestation à la loi des finances de 2018 ? -En France, le maniement ministériel n'aura pas lieu avant vendredi soir, date du retour du président Emmanuel Macron d'Erevan où se tient le 17ème Sommet de l'OIF. l'Élysée annonce le limogeage de plusieurs ministres. -Au Royaume-Uni, les affaires financières entre la Grande Bretagne et l'Irlande du Nord bloquent le Brexit. À cet effet, un contrôle est en cours. Le Brexit est la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. -En Turquie, l'enquête au consulat saoudien après la disparition du journaliste Khamal a débuté hier à Istanbul. Selon une rumeur, le journaliste critique du régime MBS serait déjà tué. -Au Brésil, à peine qualifié au second tour de la présidentielle qui aura lieu le 28 octobre, le conseiller économique du candidat Boslonaro visé par la justice pour corruption. Vers l'échec du candidat face à Fernado Haddad de l'opposition. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Jeudi 11 octobre 2018


-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos monde"
-Forum Islamic existe pour scoop infos monde.  Rejoindre par 96343498

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288
Un nouveau administrateur principal sera bientôt nommé.

À suivre les Unes des  journaux au Bénin,  en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 248 membres dont 05 administrateurs

mardi 9 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, quatre présidents de la République pourraient ne pas finir leur mandat en Beauté comme Mugabe du Zimbabwe en novembre 2017. En premier, le président Faure Eyadema du Togo n'est pas loin d'un départ forcé après 14 ans au pouvoir. L'opposition revient bientôt sur la crise politique qui secoue le pays depuis août 2017. Pour la coalition des 14 partis d'opposition, la famille Eyadema est en tête du Togo sans partage depuis 50 ans. Le mandat de Faure expire en 2020. Mais il risque d'être éjecté de manière anticipée. En RDC, Joseph Kabila sera renversé dès début de 2019 s'il n'organisait pas la présidentielle de décembre prochain. Notons que l'actuel mandat de Kabila a expiré depuis novembre 2016. Il refuse d'organiser la présidentielle pour sa succession. Ce qui est grave, le président Joseph Kabila, 18 ans aux commandes annonce que le Congo n'a plus de moyens financiers pour l'organisation de la présidentielle de décembre 2018. Il refuse l'aide internationale. À cet effet, dès janvier 2019, Kabila pourrait être humilié et délogé du pouvoir. Au Gabon, Ali Bongo peut aussi perdre son fauteuil présidentiel avant 2021, fin de son deuxième mandat de sept ans. À la présidentielle d'août 2016, le candidat opposant Jean Ping soutenu par la France aurait gagné le scrutin au second tour. La commission électorale gabonaise avait déclaré Bongo d'être le vainqueur. Ce que Ping rejette et il a aussi prêté serment. Depuis lundi passé, le processus pour le départ du président Bongo serait en cours dans le camp opposé. Ali Bongo est entrain de passer sa neuvième année à la présidence. Et enfin, Paul Biya du Cameroun au cas où il est réélu à la présidentielle du dimanche dernier. L'opposant Maurice Kamto a déjà annoncé sa victoire et promet une insurrection populaire pour chasser Biya du pouvoir. Paul Biya est au pouvoir depuis 36 ans. Kamto et Biya, rendez-vous le 22 octobre 2018. L'Union Africaine fera-t-elle la sourde oreille ? -Au Bénin, comparu ce mardi dans l'affaire fraude douanière, le procès du député Atao Hinnouho renvoyé au 23 octobre prochain pour absence du juge Azo. Conseil des ministres de ce mercredi, de nombreuses décisions attendues si la rencontre se tenait. Enseignement secondaire, le renoncement des fondés d'établissements privés se poursuit malgré les mises en garde du gouvernement. 17eme Sommet de la Francophonie 2018 en Arménie, le président Patrice Talon quitte Cotonou ce mercredi pour la capitale arménienne. Présidence de la francophonie, entre les deux candidates la rwandaise Louise Mushikiwabo et la canadienne Michaël Jean, pour qui Talon veut voter ? -En Côte d'ivoire, au Rdph, le président Alassane Ouattara et Henri Kona Bedié se séparent. La présidentielle de 2020 est la cause de ce divorce. Le camp Gbagbo observe le théâtre et rit. -Au Brésil, après le premier tour de la présidentielle dimanche dernier, le candidat Boslonaro de la majorité, premier affronte Haddad de le l'opposition sorti deuxième. Le scrutin du second tour prévu le 20 octobre. Le sort de Lula da Silva dans les mains de Fernado Haddad. -En France, malgré le refus de la démission du premier ministre, Édouard Philippe hier, le président Emmanuel Macron tient son conseil des ministres ce jour avant de voyager sur l'Arménie où se tient jeudi vendredi le sommet de la francophonie. À quand le remaniement ministériel attendu ? -USA, l'ambassadrice américaine à l'Onu Nikki Haley a démissionné après que Trump a accepté hier son départ. Elle quitte définitivement le siège des Nations-Unies le 31décembre 2018. -En Syrie, rebelles et armées déposent leurs armes lourdes dès ce jour suite à l'accord signé entre les présidents turque Tayep Erdogan et Vladimir Poutine de la Russie. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mercredi 10 octobre 2018


-L'information  de dernière seconde,  c'est  ici.
-Lire sur blog "Scoop infos monde"
-Forum Islamic existe pour scoop infos monde.  Rejoindre par 96343498

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

À suivre les Unes des  journaux au Bénin,  en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 243 membres dont 05 administrateurs

Bénin/Enquête sur le meeting de Talon à Parakou: Toko, Adambi et Gbadamassi ont-il, réellement, réuni les populations à crédit ? Jusqu'à ce mardi 09 octobre 2018, les participants à la réunion politique de "Dynamique Unitaire" à Parakou n'auraient toujours pas reçu leurs frais de déplacement. D'après une enquête expresse réalisée du dimanche au mardi dans les trois arrondissements de la cité des Koburu, les citoyens qui ont pris part à ce rassemblement du samedi passé se plaignent et grognent. La question est de savoir si le maire Abdoulaye Charles Toko, le ministre Samou Seidou Adambi et le député Rachidi Gbadamassi ont versé de l'argent aux organisateurs délégués ? Si oui, à quel niveau l'argent est bloqué ? Si non, pourquoi et c'est pour quand ? Est-ce un meeting gratuit ? La réforme du système partisan qui veut que ce soit les militants qui cotisent pour leurs leaders est-elle déjà en vigueur à Parakou ? Par 3ATB, le 09 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Quatre jours après le meeting du trio Toko-Adambi-Gbadamassi, Parakou veut lâcher le président Patrice Talon. "L'argent divise", dit-on. Et les principaux organisateurs peuvent fouiller et savoir ce qui se passe. Si le trio a déjà versé les sous de déplacement des militants, il doit chercher à voir comment les populations sont manipuler. Où est passé l'argent ? Savoir si tous les participants ont reçu leur part ? Témoignages à l'appui, le forum "scoop-infos monde" a fouillé pour savoir si réellement les gens n'ont pas été payés. Et on a eu des confirmations directes de sources crédibles, sûres concordantes et dignes de foi. À cet effet, nous avions en vain cherché à connaître les organisateurs délégués pour voir clair. On ne sait même pas s'ils existent. Certaines personnes comparent même cette sortie du trio à celle de Boni Yayi le 17 février dernier (naissance du parti Fcbe) où elles estiment que les participants de l'opposition ont automatiquement reçu des miettes de déplacement. Comparer cela à un meeting d'un président riche au pouvoir est énervant, même si on a pas la confirmation que ce meeting de Parakou ne concerne en rien Patrice Talon, selon un participant. Ajoutons qu'on a rencontré des conseillers locaux et chefs quartier pour aussi savoir comment la mobilisation a été faite. Ils ont affirmé que chaque élu local a eu droit de faire venir au plus dix vrais militants Talon et à la fin les listes ont été envoyées par les CQ dans les arrondissements respectifs. Mais rien n'est payé jusqu'à ce jour. Plus loin, un militant nous ajoute, comme rappel, que c'est le même scénario qui s'est passé en janvier 2016, date à laquelle Patrice Talon a tenu son premier meeting à Guèma à Parakou, après qu'il a déposé sa candidature à la Cena. En son temps, les responsables de campagne de Talon à Parakou ont eu chaud dans la grogne matinale avant de payer les participants deux semaines après et difficilement. Depuis hier, les partisans de Talon à Parakou voire dans la huitième circonscription électorale entrent déjà en désespoir à l'approche des législatives de 2019. Si l'on veut organiser un meeting à zéro franc, il vaut mieux avertir dès le départ les participants. Ne rien dire est une trahison, à en croire un militant révolté. Nous savons que Toko, Adambi et Gbadamassi ne peuvent pas réunir les populations sans leurs payer les miettes de déplacement. Ce qu'ils n'ont jamais d'ailleurs fait. Mais, l'homme n'est pas parfait à 100%. Et si ce trio fouillait pour voir que notre enquête est confirmée et prendre ses dispositions. Nous avons reçu quelques militants dans le troisième arrondissement ce mardi matin qui nous ont confié qu'ils connaissent

des participants qui ont été déjà payés. On a insisté qu'ils nous face les rencontrer pour confirmation. Ce qu'ils n'ont toujours pas fait. Le trio Toko-Adambi-Gbadamassi devrait vérifier ce qui se passe à Parakou après ce meeting. À quel niveau l'argent est bloqué ? Car, "On bat le fer quand il est chaud". En tout cas, nous avons fini l'enquête, à vous la balle désormais.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Enquête sur le meeting de Talon à Parakou: Toko, Adambi et Gbadamassi ont-il, réellement, réuni les populations à crédit ?


Jusqu'à ce mardi 09 octobre 2018, les participants à la réunion politique de "Dynamique Unitaire" à Parakou n'auraient toujours pas reçu leurs frais de déplacement. D'après une enquête expresse réalisée du dimanche au mardi dans les trois arrondissements de la cité des Koburu, les citoyens qui ont pris part à ce rassemblement du samedi passé se plaignent et grognent. La question est de savoir si le maire Abdoulaye Charles Toko, le ministre Samou Seidou Adambi et le député Rachidi Gbadamassi ont versé de l'argent aux organisateurs délégués ?  Si oui, à quel niveau l'argent est bloqué ? Si non, pourquoi et c'est pour quand ? Est-ce un meeting gratuit ? La réforme du système partisan qui veut que ce soit les militants qui cotisent pour leurs leaders est-elle déjà en vigueur à Parakou ?

Par 3ATB, le 09 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Quatre jours après le meeting du trio Toko-Adambi-Gbadamassi, Parakou veut lâcher le président Patrice Talon. "L'argent divise", dit-on. Et les principaux organisateurs peuvent fouiller et savoir ce qui se passe. Si le trio a déjà versé les sous de déplacement des militants, il doit chercher à voir comment les populations sont manipuler. Où est passé l'argent ? Savoir si tous les participants ont reçu leur part ? Témoignages à l'appui, le forum "scoop-infos monde" a fouillé pour savoir si réellement les gens n'ont pas été payés. Et on a eu des confirmations directes de sources crédibles, sûres concordantes et dignes de foi. À cet effet,  nous avions en vain cherché à connaître les organisateurs délégués pour voir clair. On ne sait même pas s'ils existent. Certaines personnes comparent même cette sortie du trio à celle de Boni Yayi le 17 février dernier (naissance du parti Fcbe) où elles estiment que les participants de l'opposition ont automatiquement reçu des miettes de déplacement. Comparer cela à un meeting d'un président riche au pouvoir est énervant, même si on a pas la confirmation que ce meeting de Parakou ne concerne en rien Patrice Talon, selon un participant. Ajoutons qu'on a rencontré des conseillers locaux et chefs quartier pour aussi savoir comment la mobilisation a été faite. Ils ont affirmé que chaque élu local a eu droit de faire venir au plus dix vrais militants Talon et à la fin les listes ont été envoyées par les CQ dans les arrondissements respectifs. Mais rien n'est payé jusqu'à ce jour. Plus loin, un militant nous ajoute, comme rappel, que c'est le même scénario qui s'est passé en janvier 2016, date à laquelle Patrice Talon a tenu son premier meeting à Guèma à Parakou, après qu'il a déposé sa candidature à la Cena. En son temps, les responsables de campagne de Talon à Parakou ont eu chaud dans la grogne matinale avant de payer les participants deux semaines après et difficilement. Depuis hier,  les partisans de Talon à Parakou voire dans la huitième circonscription électorale entrent déjà en désespoir à l'approche des législatives de 2019. Si l'on veut organiser un meeting à zéro franc, il vaut mieux avertir dès le départ les participants. Ne rien dire est une trahison, à en croire un militant révolté. Nous savons que Toko, Adambi et Gbadamassi ne peuvent pas réunir les populations sans leurs payer les miettes de déplacement. Ce qu'ils n'ont jamais d'ailleurs fait. Mais, l'homme n'est pas parfait à 100%. Et si ce trio fouillait pour voir que notre enquête est confirmée et prendre ses dispositions. Nous avons reçu quelques militants dans le troisième arrondissement ce mardi matin qui nous ont confié qu'ils connaissent des participants qui ont été déjà payés. On a insisté qu'ils nous face les rencontrer pour confirmation. Ce qu'ils n'ont toujours pas fait. Le trio Toko-Adambi-Gbadamassi devrait vérifier ce qui se passe à Parakou après ce meeting. À quel niveau l'argent est bloqué ? Car, "On bat le fer quand il est chaud". En tout cas, nous avons fini l'enquête, à vous la balle désormais.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

lundi 8 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, au grand étonnement des citoyens, le chef de l'État a rendu gratuit les frais de formations dans toutes les universités publiques pour la rentrée 2018-2019. Que cache cette décision rare ? Le président Patrice Talon commence à desserrer la ceinture au Béninois en commençant par les étudiants. Contrairement annoncés, les frais d'inscription dans les universités publiques du Bénin sont gratuits et bientôt tous les boursiers seront payés. Information rendue publique ce dimanche, par Marie-Odile Atanasso, ministre de l'enseignement supérieur. Décision valable pour 2018-2019 seule. Pourquoi une telle décision à l'approche des législatives de 2019 ? Est-ce qu'une faveur pour des fins politiques ? La Rupture est-elle en campagne ? Sinon, et si Talon annulait la taxe-impôt de voitures ? Baisser le prix de plaque moto et autres. Là il aurait desserrer la ceinture à presque tous les citoyens Béninois. Création de deux blocs politiques à l'approche des législatives de 2019, le Bloc de la Majorité Présidentielle et Parlementaire (BMP) au bord de l'explosion. Législatives dans la huitième circonscription électorale, et si Rachidi Gbadamassi refusait d'être positionné pour éviter l'échec à Talon ? -Au Cameroun, le candidat de l'opposition, Maurice Kamto se proclame vainqueur de la présidentielle du dimanche dernier et annonce la guerre au cas où Paul Biya va refuser de quitter le pouvoir. Huit candidats étaient en lice ce 07 octobre. -En Côte d'ivoire, le président Alassane Ouattara et l'ancien président Henri Bedié s'opposent à l'approche de la présidentielle de 2020. Les deux veulent être candidats du même parti. Leur parti est en congrès actuellement. Pour tout dialogue avec le camp Ouattara, le Front Populaire Ivoirien (FPI) exige la libération de Laurent Gbagbo de la CPI. -Au Rwanda, une candidate à la tête de la francophonie affronte vendredi prochain à Erevan Michaëlle Jean, candidate à sa propre succession. -Au Togo, la réconciliation ne serait pas pour aujourd'hui. Des fraudes massives détectées au cours de la confession des cartes d'électeurs. L'opposition très vigilante. -Au Nigéria, l'actuel président Muhammadou Buhari affrontera à la présidentielle de février 2019 un candidat de taille de l'opposition. Il s'agit de l'ancien président Abubakar. Buhari dans le tournant de l'échec. -Au Brésil, le candidat de la majorité au pouvoir et le candidat de l'opposition s'affrontent au second tour de la présidentielle de 2018. Le vote prévu le 20 octobre prochain. -En Arménie, le sommet international de la francophonie aura lieu jeudi et vendredi de cette semaine à Erevan, capitale arménienne. Plus de 30 chefs d'État attendus dont le président Patrice Talon du Bénin. -Au Royaume-Uni, le brexit pourrait faire tomber la première ministre Theresa May de son poste. Le principal parti de l'opposition en meeting. -En Turquie, le journaliste saoudien Kamal qui critique le régime de MBS serait tué au consulat de l'Arabie saoudite à Istanbul. Une enquête est ouverte à cet effet. -Arabie saoudite, décès de journaliste saoudien à Istanbul, le gouvernement royal rejette les accusations. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Mardi 09 octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" -Forum Islamic existe pour scoop infos monde. Rejoindre par 96343498 Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE


Siège : Bénin, Cotonou. 235 membres dont 05 administrateurs

CAMEROUN-PRÉSIDENTIELLE: Kamto sur les traces de Jean Ping

Cotonou, le lundi 08 octobre 2018, 20h30min (SIM)-L'opposant, candidat, Maurice Kamto est entrain de faire le même scénario qu'avait fait l'opposant gabonais, Jean Ping en août 2016 lorsqu'il a perdu la présidentielle face au président Ali Bongo. Ce lundi, sans attendre la commission électorale, Maurice Kamto, l'un des principaux candidats à la présidentielle de dimanche 7 octobre au Cameroun, a revendiqué lundi 8 à Yaoundé sa victoire face au président sortant Paul Biya. "J'ai reçu mission de tirer le penalty, je l'ai tiré et je l'ai marqué", a déclaré l'ancien ministre de la Justice lors d'une conférence de presse. "J'ai reçu du peuple un mandat clair que j'entends défendre jusqu'au bout". Ancien ministre délégué à la Justice et avocat, Maurice Kamto, 64 ans, est président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Deux jours avant le scrutin, un autre opposant, Akere Muna, avait retiré sa candidature en sa faveur afin de barrer la route à Paul Biya, au pouvoir depuis près de trente-six ans. Arrivé en tête dans plusieurs bureaux de vote de Yaoundé et Douala, selon des premiers décomptes partiels relayés par des militants d'opposition sur les réseaux sociaux, Maurice Kamto a dénoncé de "multiples cas de fraude orchestrée par le pouvoir", auquel il a néanmoins tendu la main. "Mes bras leur restent ouverts pour qu'on œuvre ensemble à la renaissance nationale", a-t-il déclaré.  Issa Tchiroma Bacary, ministre camerounais de la Communication, a affirmé que la déclaration de Maurice Kamto ne valait "rien". "On ne peut pas vouloir gouverner le Cameroun et se mettre en travers des lois qui régissent ce pays", a-t-il ajouté, évoquant l'œuvre d'"officines" dont l'objet serait "de déstabiliser le Cameroun". Le ministre a, par ailleurs, déclaré que Maurice Kamto s'était mis "hors-la-loi" par sa déclaration. "Quiconque se met en travers [des institutions nationales] rencontrera naturellement la rigueur de la loi, parce que la force appartient à la loi", a-t-il précisé. Les résultats de l'élection n'ont pas encore été rendus publics. Le Conseil constitutionnel, composé de proches du président Biya, a deux semaines pour les proclamer. Durant la campagne officielle, Maurice Kamto a tenu pas moins de douze meetings dans tout le pays qu'il a sillonné sans relâche depuis le lancement de son parti en 2012. Tous les regards vers les institutions compétentes dans deux semaines, selon la loi électorale.

3ATB/BA/SIM

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

CAMEROUN-PRÉSIDENTIELLE: Kamto sur les traces de Jean Ping

Cotonou, le lundi 08 octobre 2018, 20h30min (SIM)-L'opposant, candidat, Maurice Kamto est entrain de faire le même scénario qu'avait fait l'opposant gabonais, Jean Ping en août 2016 lorsqu'il a perdu la présidentielle face au président Ali Bongo. Ce lundi, sans attendre la commission électorale, Maurice Kamto, l'un des principaux candidats à la présidentielle de dimanche 7 octobre au Cameroun, a revendiqué lundi 8 à Yaoundé sa victoire face au président sortant Paul Biya. "J'ai reçu mission de tirer le penalty, je l'ai tiré et je l'ai marqué", a déclaré l'ancien ministre de la Justice lors d'une conférence de presse. "J'ai reçu du peuple un mandat clair que j'entends défendre jusqu'au bout". Ancien ministre délégué à la Justice et avocat, Maurice Kamto, 64 ans, est président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Deux jours avant le scrutin, un autre opposant, Akere Muna, avait retiré sa candidature en sa faveur afin de barrer la route à Paul Biya, au pouvoir depuis près de trente-six ans. Arrivé en tête dans plusieurs bureaux de vote de Yaoundé et Douala, selon des premiers décomptes partiels relayés par des militants d'opposition sur les réseaux sociaux, Maurice Kamto a dénoncé de "multiples cas de fraude orchestrée par le pouvoir", auquel il a néanmoins tendu la main. "Mes bras leur restent ouverts pour qu'on œuvre ensemble à la renaissance nationale", a-t-il déclaré.  Issa Tchiroma Bacary, ministre camerounais de la Communication, a affirmé que la déclaration de Maurice Kamto ne valait "rien". "On ne peut pas vouloir gouverner le Cameroun et se mettre en travers des lois qui régissent ce pays", a-t-il ajouté, évoquant l'œuvre d'"officines" dont l'objet serait "de déstabiliser le Cameroun". Le ministre a, par ailleurs, déclaré que Maurice Kamto s'était mis "hors-la-loi" par sa déclaration. "Quiconque se met en travers [des institutions nationales] rencontrera naturellement la rigueur de la loi, parce que la force appartient à la loi", a-t-il précisé. Les résultats de l'élection n'ont pas encore été rendus publics. Le Conseil constitutionnel, composé de proches du président Biya, a deux semaines pour les proclamer. Durant la campagne officielle, Maurice Kamto a tenu pas moins de douze meetings dans tout le pays qu'il a sillonné sans relâche depuis le lancement de son parti en 2012. Tous les regards vers les institutions compétentes dans deux semaines, selon la loi électorale.

3ATB/BA/SIM

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

CAMEROUN-PRÉSIDENTIELLE: Kamto sur les traces de Jean Ping Cotonou, le lundi 08 octobre 2018, 20h30min (SIM)-L'opposant, candidat, Maurice Kamto est entrain de faire le même scénario qu'avait fait l'opposant gabonais, Jean Ping en août 2016 lorsqu'il a perdu la présidentielle face au président Ali Bongo. Ce lundi, sans attendre la commission électorale, Maurice Kamto, l'un des principaux candidats à la présidentielle de dimanche 7 octobre au Cameroun, a revendiqué lundi 8 à Yaoundé sa victoire face au président sortant Paul Biya. "J'ai reçu mission de tirer le penalty, je l'ai tiré et je l'ai marqué", a déclaré l'ancien ministre de la Justice lors d'une conférence de presse. "J'ai reçu du peuple un mandat clair que j'entends défendre jusqu'au bout". Ancien ministre délégué à la Justice et avocat, Maurice Kamto, 64 ans, est président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Deux jours avant le scrutin, un autre opposant, Akere Muna, avait retiré sa candidature en sa faveur afin de barrer la route à Paul Biya, au pouvoir depuis près de trente-six ans. Arrivé en tête dans plusieurs bureaux de vote de Yaoundé et Douala, selon des premiers décomptes partiels relayés par des militants d'opposition sur les réseaux sociaux, Maurice Kamto a dénoncé de "multiples cas de fraude orchestrée par le pouvoir", auquel il a néanmoins tendu la main. "Mes bras leur restent ouverts pour qu'on œuvre ensemble à la renaissance nationale", a-t-il déclaré. Issa Tchiroma Bacary, ministre camerounais de la Communication, a affirmé que la déclaration de Maurice Kamto ne valait "rien". "On ne peut pas vouloir gouverner le Cameroun et se mettre en travers des lois qui régissent ce pays", a-t-il ajouté, évoquant l'œuvre d'"officines" dont l'objet serait "de déstabiliser le Cameroun". Le ministre a, par ailleurs, déclaré que Maurice Kamto s'était mis "hors-la-loi" par sa déclaration. "Quiconque se met en travers [des institutions nationales] rencontrera naturellement la rigueur de la loi, parce que la force appartient à la loi", a-t-il précisé. Les résultats de l'élection n'ont pas encore été rendus publics. Le Conseil constitutionnel, composé de proches du président Biya, a deux semaines pour les proclamer. Durant la campagne officielle, Maurice Kamto a tenu pas moins de douze meetings dans tout le pays qu'il a sillonné sans relâche depuis le lancement de son parti en 2012. Tous les regards vers les institutions compétentes dans deux semaines, selon la loi électorale. 3ATB/BA/SIM SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Gratuité des frais d'inscription dans les Universités Publiques pour cette rentrée seule: Talon desserre la ceinture aux étudiants à l'approche des législatives de 2019.

Le président Patrice Talon commence à desserrer la ceinture au Béninois en commençant par les étudiants. Contrairement annoncés, les frais d'inscription dans les universités publiques du Bénin sont gratuits et bientôt tous les boursiers seront payés. Information rendue publique ce dimanche,  par Marie-Odile Atanasso, ministre de l'enseignement supérieur.  Décision valable pour 2018-2019 seule. Pourquoi une telle décision à l'approche des législatives de 2019 ? Est-ce qu'une faveur pour des fins politiques ? La Rupture en campagne ?  Sinon,  et si Talon annulait la taxe-impôt de voitures ? Baisser le prix de plaque moto et autres. Là il aurait desserrer la ceinture à presque tous les citoyens Béninois.

Par 3ATB, le 08 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Les étudiants des universités publiques pourront ne plus porter de ceinture pour cette rentrée. Ou bien ils peuvent la porter sans serrer et ils ne verront pas leur pantalon tomber ou descendre. Le président Patrice Talon a décidé pour la rentrée 2018-2019 seule, soit à sept mois dès législatives, de faciliter l'étude aux étudiants. Extrait du message du Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. «En 2008, en l’absence de toute étude prospective visant à garantir l’équilibre financier des budgets des universités, la suppression des frais d’inscription dans les universités publiques a été annoncée.  Par suite, le décret n°2008-802 du 31 décembre 2008 portant prise en charge par l’Etat, des frais d’inscription des étudiants béninois non boursiers, non secourus et non-salariés dans les universités nationales du Bénin (UNB) a été adopté. Pis, aucune mesure d’accompagnement n’a été prise pour compenser le déficit occasionné par cette décision. Par exemple, durant la période allant de 2013 à 2016, en moyenne 70% des étudiants de l’Université d’Abomey-Calavi (étudiants non boursiers, non secourus et non-salariés) ont bénéficié de la gratuité des droits d’inscription. Mais seulement 40% des besoins de subventions annuelles ont été pris en charge par l’Etat. Cette situation occasionne chaque année un déficit de financement évalué en moyenne à 2 milliards de FCFA. Aussi, pour compenser le déficit important, les responsables de nos Universités publiques ont-ils demandé la réinstauration des frais d’inscription, voire leur augmentation. Mais, tenant compte du contexte social national, et en attendant la réflexion prospective sur l’avenir de nos universités et leur gouvernance, sous l’impulsion du Conseil National de l’Education dont le processus d’installation est en voie d’achèvement, le Gouvernement a retenu que les efforts d’investissements de l’Etat seront maintenus et soutenus, pour améliorer le cadre de vie et d’études des apprenants dans lesdites universités. De même, le Gouvernement a décidé de maintenir le statu quo sur les droits d’inscription et de formation dans les universités nationales. Par conséquent, il n’y a ni retour des frais d’inscription, ni augmentation des frais de formation dans les universités nationales au titre de l’année académique 2018-2019.
C’est pourquoi, les subventions seront accordées aux Universités nationales dans les mêmes conditions que l’année précédente, avec une possibilité d’augmentation, si les demandes exprimées par les rectorats sont justifiées.» D'après la ministre. Cette décision aurait-elle un impact sur les législatives de 2019 ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Gratuité des frais d'inscription dans les Universités Publiques pour cette rentrée seule: Talon desserre la ceinture aux étudiants à l'approche des législatives de 2019. Le président Patrice Talon commence pas desserrer la ceinture au Béninois en commençant par les étudiants. Contrairement annoncés, les frais d'inscription dans les universités publiques du Bénin sont gratuits et bientôt tous les boursiers seront payés. Information rendue publique ce dimanche, par Marie-Odile Atanasso, ministre de l'enseignement supérieur. Décision valable pour 2018-2019 seule. Pourquoi une telle décision à l'approche des législatives de 2019 ? Est-ce qu'une faveur pour des fins politiques ? La Rupture en campagne ? Sinon, et si Talon annulait la taxe-impôt de voitures ? Baisser le prix de plaque moto et autres. Là il aurait desserrer la ceinture à presque tous les citoyens Béninois. Par 3ATB, le 08 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE Les étudiants des universités publiques pourront ne plus porter de ceinture pour cette rentrée. Ou bien ils peuvent la porter sans serrer et ils ne verront pas leur pantalon tomber ou descendre. Le président Patrice Talon a décidé pour la rentrée 2018-2019 seule, soit à sept mois dès législatives, de faciliter l'étude aux étudiants. Extrait du message du Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. «En 2008, en l’absence de toute étude prospective visant à garantir l’équilibre financier des budgets des universités, la suppression des frais d’inscription dans les universités publiques a été annoncée. Par suite, le décret n°2008-802 du 31 décembre 2008 portant prise en charge par l’Etat, des frais d’inscription des étudiants béninois non boursiers, non secourus et non-salariés dans les universités nationales du Bénin (UNB) a été adopté. Pis, aucune mesure d’accompagnement n’a été prise pour compenser le déficit occasionné par cette décision. Par exemple, durant la période allant de 2013 à 2016, en moyenne 70% des étudiants de l’Université d’Abomey-Calavi (étudiants non boursiers, non secourus et non-salariés) ont bénéficié de la gratuité des droits d’inscription. Mais seulement 40% des besoins de subventions annuelles ont été pris en charge par l’Etat. Cette situation occasionne chaque année un déficit de financement évalué en moyenne à 2 milliards de FCFA. Aussi, pour compenser le déficit important, les responsables de nos Universités publiques ont-ils demandé la réinstauration des frais d’inscription, voire leur augmentation. Mais, tenant compte du contexte social national, et en attendant la réflexion prospective sur l’avenir de nos universités et leur gouvernance, sous l’impulsion du Conseil National de l’Education dont le processus d’installation est en voie d’achèvement, le Gouvernement a retenu que les efforts d’investissements de l’Etat seront maintenus et soutenus, pour améliorer le cadre de vie et d’études des apprenants dans lesdites universités. De même, le Gouvernement a décidé de maintenir le statu quo sur les droits d’inscription et de formation dans les universités nationales. Par conséquent, il n’y a ni retour des frais d’inscription, ni augmentation des frais de formation dans les universités nationales au titre de l’année académique 2018-2019. C’est pourquoi, les subventions seront accordées aux Universités nationales dans les mêmes conditions que l’année précédente, avec une possibilité d’augmentation, si les demandes exprimées par les rectorats sont justifiées.» D'après la ministre. Cette décision aurait-elle un impact sur les législatives de 2019 ? SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/De l'exil à la Présidence: Ajavon, le successeur de Talon ? En Chimie, on nous affirme ce qui suit: "les mêmes causes produisent les mêmes effets ". Et si nous allons nous en tenir compte des conditions dans lesquelles l'actuel président Patrice Talon s'est exilé avant d'atterrir à la présidence et voir ce qui se passe avec ASG aujourd'hui , on pourrait se demander si Sébastien Ajavon est le remplaçant de Talon ? Puisqu'actuellement, l'homme d'affaires et candidat malheureux serait en exil suite à une présumée affaire des 18kg de cocaïne. Le nouveau code électoral permet à ASG d'être candidat indépendant. Si Ajavon serait le successeur de Talon, c'est pour quand ? 06 avril 2021 ? Ou 06 avril 2026 ? Réponse avec Dieu. Par 3ABT, le 08 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE L'actuel chef de l'Etat, Patrice Talon ne devrait pas s'être étonné un jour de passer le pouvoir à son ennemi juré Sébastien Ajavon comme lui a fait Boni Yayi en avril 2016. "Jamais un sans deux", dit-on. Malgré lui, l'ex-président, Thomas Boni Yayi a cédé, après la présidentielle de mars 2016, le fauteuil présidentiel à Patrice Talon, son ennemi très juré d'alors. Talon a soutenu deux fois la candidature de Boni Yayi. Soient en 2006 et 2011. Six mois après son investiture du 06 avril 2011, Boni Yayi est rentré en guerre froide avec Patrice Talon dans une affaire de coton. Aussitôt, Talon fuit arrêté par le commissariat central de Cotonou et fuit gardé à vue pour quelques heures (une journée et demie environ) avant d'être libéré. En 2012, une affaire de tentative d'empoisonnement de Boni Yayi survient. Entendant qu'il sera arrêté de nouveau, Patrice Talon s'est exilé à Paris, en France pour échapper à la prison. Le procès de Talon a eu lieu pendant plusieurs mois et années. Étant absent, Talon se fait chaque fois représenter par ses avocats dont Joseph Djogbenou, aujourd'hui président de la Cour Constitutionnelle. Voyant qu'il n'est pas loin de perdre le procès face à Yayi, Patrice Talon associe un avocat français en la personne de Robert Bougie (l'homme de la France-Afrique). Ainsi, vers 2014, Talon gagne le procès au tribunal de Cotonou après un "non lieu". En septembre 2015, l'entourage de Boni Yayi lui demande de pardonner Talon et de le laisser rentrer au pays. Jour après jour, nuit après nuit, de réflexion en réflexion, Boni Yayi accepte, malgré lui, le retour au bercail de Patrice Talon. Il a aussi accepté le dépôt de sa candidature à la présidentielle de 2016. Talon rentre en octobre 2015 et dépose sa candidature à la Cena. Après le vote du premier tour, Talon sort deuxième suivi d'ASG troisième face à Lionel Zinsou premier ( candidat de Boni Yayi). Étant membre de la coalition de la "Rupture" Sébastien Ajavon a invité ses partisans à voter pour Talon au second tour. En mars 2016, Lionel Zinsou perd en faveur de Talon. 06 avril 2016, Boni Yayi remet le pouvoir à Talon avec une Bible. Six mois après, Talon et Ajavon commencent la séparation et entrent en guerre froide jusqu'à ce jour. Ajavon comme Talon ? Sébastien Ajavon sur les traces de Patrice Talon. En novembre 2016, ASG reçoit un coup de fil lui notifiant que "18kg de cocaïne pure" seraient retrouvées dans l'un de ses conteners provenant de Brésil et contenant de gésiers de dindes. Au soir de ce vendredi noir, le candidat malheureux, Sébastien Ajavon tient une conférence de presse pour éclairer l'opinion publique nationale et internationale de ce qui lui arrive au port autonome de Cotonou (PAC). Autour de 18heures du même vendredi, Ajavon est arrêté par la brigade territoriale de Cotonou. 72h après, la garde à vue d'ASG est prolongée.

Elle passe à une semaine un vendredi. Ce jour, un procès de 09h a eu lieu au tribunal de Cotonou. Vers 20h, Sébastien Ajavon est relâché au "bénéfice du doute ". Après la création de son parti Union Sociale Libérale (USL), Ajavon n'obtient toujours pas le récépissé de l'USL au ministère de l'Intérieur. Mais le nouveau code électoral lui permet de briguer la présidence sans son parti politique. Ainsi, trois mois après, la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) est créée fin août 2018. Gilbert Togbonon, le même procureur qui a jugé Ajavon en novembre 2016 dans la présumée affaire des "18kg de cocaïne pure" est nommé procureur de la Criet. Ainsi, il convoque Ajavon et ses coaccusés pour jeudi passé. Ajavon s'est aussi fait représenter, à Porto-Novo, par une dizaine d'avocats dont deux français avant de prendre la fuite pour l'exil en France (selon une rumeur). Mais, la Criet l'a encore à nouveau convoqué pour le 18 octobre prochain avec comparution en personne. Si nous analysons le parcours et l'histoire de Patrice Talon et Sébastien Ajavon,  tous deux hommes d'affaires, on pourrait dire que Dieu nous montre déjà le successeur de Patrice Talon. Sébastien Ajavon au pouvoir un jour, que va-t-il se passer entre lui et Talon ? Seul Dieu saura. À une surprise générale, ASG pourrait nommer Talon comme son "premier ministre". "On ne paye pas le mal par le mal, mais par le bien", dit-on. La politique et la Marina un danger pour les opérateurs économiques du Bénin ? Et si Talon faisait la paix avec Ajavon pour le bonheur de tous les beninois ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/De l'exil à la Présidence: Ajavon, le successeur de Talon ?

En Chimie,  on nous affirme ce qui suit: "les mêmes causes produisent les mêmes effets ". Et si nous allons nous en tenir compte des conditions dans lesquelles l'actuel président Patrice Talon s'est exilé avant d'atterrir à la présidence et voir ce qui se passe avec ASG aujourd'hui , on pourrait se demander si Sébastien Ajavon est le remplaçant de Talon ? Puisqu'actuellement, l'homme d'affaires et candidat malheureux serait en exil suite à une présumée affaire des 18kg de cocaïne. Le nouveau code électoral permet à ASG d'être candidat indépendant. Si Ajavon serait le successeur de Talon,  c'est pour quand ?  06 avril 2021 ? Ou 06 avril 2026 ? Réponse avec Dieu.

Par 3ABT, le 08 octobre 2018
SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

L'actuel chef de l'Etat, Patrice Talon ne devrait pas s'être étonné un jour de passer le pouvoir à  son ennemi juré Sébastien Ajavon comme lui a fait Boni Yayi en avril 2016. "Jamais un sans deux", dit-on. Malgré  lui, l'ex-président, Thomas Boni Yayi a cédé, après la présidentielle de mars 2016, le fauteuil présidentiel à Patrice Talon, son ennemi très juré d'alors. Talon a soutenu deux fois la candidature de Boni Yayi. Soient en 2006 et 2011. Six mois après son investiture du 06 avril 2011, Boni Yayi est rentré en guerre froide avec Patrice Talon dans une affaire de coton. Aussitôt, Talon fuit arrêté par le commissariat central de Cotonou et fuit gardé à vue pour quelques heures (une journée et demie environ) avant d'être libéré. En 2012, une affaire de tentative d'empoisonnement de Boni Yayi survient. Entendant qu'il sera arrêté de nouveau, Patrice Talon s'est exilé à Paris, en France pour échapper à la prison. Le procès de Talon a eu lieu pendant plusieurs mois et années. Étant absent,  Talon se fait chaque fois représenter par ses avocats dont Joseph Djogbenou, aujourd'hui président de la Cour Constitutionnelle. Voyant qu'il n'est pas loin de perdre le procès face à Yayi, Patrice Talon associe un avocat français  en la personne de Robert Bougie (l'homme de la France-Afrique). Ainsi, vers 2014, Talon gagne le procès au tribunal de Cotonou après un "non lieu". En septembre 2015, l'entourage de Boni Yayi lui demande de pardonner Talon et de le laisser rentrer au pays. Jour après jour, nuit après  nuit, de réflexion en réflexion, Boni Yayi accepte, malgré lui, le retour au bercail de Patrice Talon. Il a aussi accepté le dépôt de sa candidature à la présidentielle de 2016. Talon rentre en octobre 2015 et dépose sa candidature à la Cena. Après le vote du premier tour, Talon sort deuxième suivi d'ASG troisième face à Lionel Zinsou premier ( candidat de Boni Yayi). Étant membre de la coalition de la "Rupture" Sébastien Ajavon a invité ses partisans à voter pour Talon au second tour. En mars 2016, Lionel Zinsou perd en faveur de Talon.
06 avril 2016, Boni Yayi remet le pouvoir à Talon avec une Bible. Six mois après, Talon et Ajavon commencent la séparation et entrent en guerre froide jusqu'à ce jour.

Ajavon comme Talon ?

Sébastien Ajavon sur les traces de Patrice Talon. En novembre 2016, ASG reçoit un coup de fil lui notifiant que "18kg de cocaïne pure" seraient retrouvées dans l'un de ses conteners provenant de Brésil et contenant de gésiers de dindes. Au soir de ce vendredi noir,  le candidat malheureux,  Sébastien Ajavon tient une conférence de presse pour éclairer l'opinion publique nationale et internationale de ce qui lui arrive au  port autonome de Cotonou (PAC). Autour de 18heures du même vendredi, Ajavon est arrêté par la brigade territoriale de Cotonou. 72h après, la garde à vue d'ASG est prolongée. Elle passe à une semaine un vendredi. Ce jour, un procès de 09h a eu lieu au tribunal de Cotonou. Vers 20h, Sébastien Ajavon est relâché au "bénéfice du doute ". Après la création de son parti Union Sociale Libérale (USL), Ajavon n'obtient toujours pas le récépissé de l'USL au ministère de l'Intérieur. Mais le nouveau code électoral lui permet de briguer la présidence sans son parti politique. Ainsi, trois mois après, la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) est créée fin août 2018. Gilbert Togbonon, le même procureur qui a jugé Ajavon en novembre 2016 dans la présumée affaire des "18kg de cocaïne pure" est nommé procureur de la Criet. Ainsi, il convoque Ajavon et ses coaccusés pour jeudi passé. Ajavon s'est aussi fait représenter, à Porto-Novo, par une dizaine d'avocats dont deux français avant de prendre la fuite pour l'exil en France (selon une rumeur). Mais, la Criet l'a encore à nouveau convoqué pour le 18 octobre prochain avec comparution en personne. Si nous analysons le parcours et l'histoire de Patrice Talon et Sébastien Ajavon,  tous deux hommes d'affaires, on pourrait dire que Dieu nous montre déjà le successeur de Patrice Talon. Sébastien Ajavon au pouvoir un jour, que va-t-il se passer entre lui et Talon ? Seul Dieu saura. À une surprise générale, ASG pourrait nommer Talon comme son "premier ministre". "On ne paye pas le mal par le mal, mais par le bien", dit-on. La politique et la Marina un danger pour les opérateurs économiques du Bénin ? Et si Talon faisait la paix avec Ajavon pour le bonheur de tous les beninois ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/De l'exil à la Présidence: Ajavon, le successeur de Talon ? En Chimie, on nous affirme ce qui suit: "les mêmes causes produisent les mêmes effets ". Et si nous allons nous en tenir compte des conditions dans lesquelles l'actuel président Patrice Talon s'est exilé avant d'atterrir à la présidence et voir ce qui se passe avec ASG aujourd'hui , on pourrait se demander si Sébastien Ajavon est le remplaçant de Talon ? Puisqu'actuellement, l'homme d'affaires et candidat malheureux serait en exil suite à une présumée affaire des 18kg de cocaïne. Le nouveau code électoral permet à ASG d'être candidat indépendant. Si Ajavon serait le successeur de Talon, c'est pour quand ? 06 avril 2021 ? Ou 06 avril 2026 ? Réponse avec Dieu. Par 3ABT, le 08 octobre 2018 SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE L'actuel chef de l'Etat, Patrice Talon ne devrait pas s'être étonné un jour de passer le pouvoir à son ennemi juré Sébastien Ajavon comme lui a fait Boni Yayi en avril 2016. "Jamais un sans deux", dit-on. Malgré lui, l'ex-président, Thomas Boni Yayi a cédé, après la présidentielle de mars 2016, le fauteuil présidentiel à Patrice Talon, son ennemi très juré d'alors. Talon a soutenu deux fois la candidature de Boni Yayi. Soient en 2006 et 2011. Six mois après son investiture du 06 avril 2011, Boni Yayi est rentré en guerre froide avec Patrice Talon dans une affaire de coton. Aussitôt, Talon fuit arrêté par le commissariat central de Cotonou et fuit gardé à vue pour quelques heures (une journée et demie environ) avant d'être libéré. En 2012, une affaire de tentative d'empoisonnement de Boni Yayi survient. Entendant qu'il sera arrêté de nouveau, Patrice Talon s'est exilé à Paris, en France pour échapper à la prison. Le procès de Talon a eu lieu pendant plusieurs mois et années. Étant absent, Talon se fait chaque fois représenter par ses avocats dont Joseph Djogbenou, aujourd'hui président de la Cour Constitutionnelle. Voyant qu'il n'est pas loin de perdre le procès face à Yayi, Patrice Talon associe un avocat français en la personne de Robert Bougie (l'homme de la France-Afrique). Ainsi, vers 2014, Talon gagne le procès au tribunal de Cotonou après un "non lieu". En septembre 2015, l'entourage de Boni Yayi lui demande de pardonner Talon et de le laisser rentrer au pays. Jour après jour, nuit après nuit, de réflexion en réflexion, Boni Yayi accepte, malgré lui, le retour au bercail de Patrice Talon. Il a aussi accepté le dépôt de sa candidature à la présidentielle de 2016. Talon rentre en octobre 2015 et dépose sa candidature à la Cena. Après le vote du premier tour, Talon sort deuxième suivi d'ASG troisième face à Lionel Zinsou premier ( candidat de Boni Yayi). Étant membre de la coalition de la "Rupture" Sébastien Ajavon a invité ses partisans à voter pour Talon au second tour. En mars 2016, Lionel Zinsou perd en faveur de Talon. 06 avril 2016, Boni Yayi remet le pouvoir à Talon avec une Bible. Six mois après, Talon et Ajavon commencent la séparation et entrent en guerre froide jusqu'à ce jour. Ajavon comme Talon ? Sébastien Ajavon sur les traces de Patrice Talon. En novembre 2016, ASG reçoit un coup de fil lui notifiant que "18kg de cocaïne pure" seraient retrouvées dans l'un de ses conteners provenant de Brésil et contenant de gésiers de dindes. Au soir de ce vendredi noir, le candidat malheureux, Sébastien Ajavon tient une conférence de presse pour éclairer l'opinion publique nationale et internationale de ce qui lui arrive au port autonome de Cotonou (PAC). Autour de 18heures du même vendredi, Ajavon est arrêté par la brigade territoriale de Cotonou. 72h après, la garde à vue d'ASG est prolongée. Elle passe à une semaine un vendredi. Ce jour, un procès de 09h a eu lieu au tribunal de Cotonou. Vers 20h, Sébastien Ajavon est relâché au "bénéfice du doute ". Après la création de son parti Union Sociale Libérale (USL), Ajavon n'obtient toujours pas le récépissé de l'USL au ministère de l'Intérieur. Mais le nouveau code électoral lui permet de briguer la présidence sans son parti politique. Ainsi, trois mois après, la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet) est créée fin août 2018. Gilbert Togbonon, le même procureur qui a jugé Ajavon en novembre 2016 dans la présumée affaire des "18kg de cocaïne pure" est nommé procureur de la Criet. Ainsi, il convoque Ajavon et ses coaccusés pour jeudi passé. Ajavon s'est aussi fait représenter, à Porto-Novo, par une dizaine d'avocats dont deux français avant de prendre la fuite pour l'exil en France (selon une rumeur). Mais, la Criet l'a encore à nouveau convoqué pour le 18 octobre prochain avec comparution en personne. Si nous analysons le parcours et l'histoire de Patrice Talon et Sébastien Ajavon, tous deux hommes d'affaires, on pourrait dire que Dieu nous montre déjà le successeur de Patrice Talon. Sébastien Ajavon au pouvoir un jour, que va-t-il se passer entre lui et Talon ? Seul Dieu saura. À une surprise générale, ASG pourrait nommer Talon comme son "premier ministre". "On ne paye pas le mal par le mal, mais par le bien", dit-on. La politique et la Marina un danger pour les opérateurs économiques du Bénin ? Et si Talon faisait la paix avec Ajavon pour le bonheur de tous les beninois ? SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

dimanche 7 octobre 2018

À la Une de l'actualité politique africaine, au Cameroun, en marge de la présidentielle de ce dimanche, deux candidats revendiquent déjà la victoire. Il s'agit des partisans de Paul Biya, actuel président et Maurice Kamto un candidat de l'opposition. Le président Biya est silencieux et attend deux semaines imposées par la commission électorale. Pour Maurice Kamto, Paul Biya veut frauder car, selon lui, la majorité au pouvoir a réduit le nombre de bulletins comportants le nom de Kamto dans les bureaux de vote. Il ajoute que ses partisans ont manqué de bulletins pour voter en sa faveur. Kamto estime qu'il est élu. Si le contraire arrivait, il annonce une insurrection populaire pour chasser du pouvoir Biya qui brigue un septième mandat de sept ans. Rappelons que 6,5 millions d'électeurs départagent huit candidats. Le vote à un tour s'est déroulé hier,dimanche. Les résultats officiels prévus dès le 22 octobre prochain. Les camerounais pourraient entrer dans une crise post-électorale comme la Côte d'ivoire en 2010-2011. -Au Gabon, le président Ali Bingo pourrait perdre la majorité parlementaire aux législatives de samedi passé face à l'opposition de Jean Pont. À la surprise générale, la camarade Malika Bongo Ondimba, sera bel et bien présente à l'hémicycle. Elle est élu avec 99,02 % des voix face à Brigitte Ossibi et Saturnin Odouma (qui s'est désisté à la dernière minute), au 1er siège de la Ndjouori-Agnili. -Au Nigéria, l'ancien président Aboubakar investi ce samedi candidat de l'opposition à la présidentielle de février 2019. Pendant ce temps, le président, candidat Mouhammadou Buhari est aussi choisi par la majorité présidentielle. -Au Brésil, vers la libération de Lula da Silva après la présidentielle de ce dimanche. Son candidat, sorti premier, serait aux portes du pouvoir face à Fernado Adad, candidat de l'extrême droite. -En RDC, le président, dictateur Joseph Kabila ne veut plus quitter le pouvoir en décembre prochain. Pour Kabila, le Congo n'a plus de moyens pour organiser la présidentielle de 2018. Kabila refuse toute aide financière internationale. En novembre 2016, le second et dernier mandat de Kabila est arrivé à terme. Mais il a refusé d'organiser la présidentielle. -Au Bénin pour finir, après l'annonce ce dimanche de la ministre de l'enseignement Supérieur sur les réformes universitaires dès cette rentrée, Patrice Talon desserre enfin la ceinture aux étudiants. Les allocations bientôt payées et les inscriptions seront presque gratuites. Dans les prochains jours, le président Talon pourrait desserre la ceinture à tous les béninois. La Criet, une cour spéciale pour l'opposition ? SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Lundi 08 octobre 2018 -L'information de dernière seconde, c'est ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" -Forum Islamic existe pour scoop infos monde. Rejoindre par 96343498 Rejoignez le forum en écrivant aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 À suivre les Unes des journaux au Bénin, en Afrique et à l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 235 membres dont 05 administrateurs

samedi 6 octobre 2018

À  la Une de l'actualité mondiale, au Cameroun,  6,5 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire leur président de la République parmi huit candidats dont l'actuel président Paul Biya. Ce vote se déroule pour un seul tour. Le vainqueur dans les urnes prend le pouvoir. Les résultats provisoires sont prévus dès jeudi prochain. Avant le vote,  la campagne électorale a été serrée et tendue. À  part le président Paul Biya, les sept autres sont de l'opposition. Rappelons que Biya veut briguer un septième mandat de sept ans. À jour mois un du scrutin présidentiel,  les candidats de l'opposition commencent par s'unir pour la victoire face à Paul Biya, président et candidat à sa propre succession. Déjà, deux candidats se sont déjà mis ensemble. Muna se désiste pour former une coalition avec Kamto. -Au Brésil, près de 200 millions d'électeurs sont aussi attendus aux urnes ce dimanche pour le compte de la présidentielle de 2018. Deux candidats frappent aux yeux. Fernado Adad, candidat de l'extrême droite parti au pouvoir actuellement et le maire de Sao-polo candidat de l'ex-président Lula da Silva. Il sera le deuxième selon un sondage. Lula est en prison pour corruption dans l'affaire petroba. -Au Gabon, les élections législatives, communales, locales et régionales ont eu lieu hier,  samedi dans un climat très tendu entre mouvance et opposition.  L'opposant Jean Ping a appelé ses partisans au boycott. Le camp Bongo en voie d'obtenir la majorité. -Aux États-Unis, le candidat de Trump à la Cour suprême est nommé par 51 sénateurs républicains contre 49 démocrates ce samedi. Malgré les accusations de quatre femmes pour agressions sexuelles, Brett Cavanauch désormais juge de la plus grande Cour. L'actuelle Cour comportera 05 conservateurs et quatre progressistes. Ce qui ne rassure pas un bon fonctionnement. -Au Bénin, le maire Abdoulaye Charles Toko, le député Rachidi Gbadamassi et le ministre Samou Seidou Adambi ont rallié tous les électeurs de la huitième circonscription électorale derrière Patrice Talon. C'était hier lors d'un géant meeting de Dynamique Unitaire.        Hier, samedi, un accident de bus nigérian fait deux morts et plusieurs blessés au carrefour uniafrika Cotonou. -En Israël,  quatre palestiniens tués ce vendredi lors des affrontements entre l'armée israélienne et les populations gazawi. Environ deux palestiniens tués à  Gaza par les juifs en sept mois pour affaire Jérusalem selon Trump. -Au Niger, quelques membres de la Société civile, qui contestent la loi des finances de 2018, sont libérés ce samedi matin. Les autres toujours en prison. -Juventus: Cristiano Ronaldo est accusé de viol. Quelle main invisible ? SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Dimanche 07 octobre  2018 -L'information  de dernière seconde,  c'est  ici. -Lire sur blog "Scoop infos monde" -Forum Islamic existe pour scoop infos monde.  Rejoindre par 96343498 Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288 À suivre les Unes des  journaux au Bénin,  en Afrique  et à  l'International.... SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 232 membres dont 05 administrateurs

Bénin/Meeting Dynamique Unitaire à Parakou: Toko, Gdadamassi et Adambi ont effectivement mobilisé plus de 100.000 militants à Talon.

Pour l'opposition, seule le président Boni Yayi est aimé à  Parakou et dans la huitième circonscription électorale. Lorsque le trio Toko-Gbadamassi-Adambi a annoncé  ce meeting politique pour ce samedi, les opposants disaient qu'on retrouvera des chaises vides. Mais,  ce trio a sorti plus de 100.000 personnes sur la place Bio Guerra de Parakou en faveur du président Patrice Talon contre Boni Yayi, chef de file de l'opposition .

Par 3ATB, le 06 octobre 2018

Plus de 100.000 militants Talon sont massivement sortis dans les Koburu ce jour pour assister à la réunion politique organisée par le maire Abdoulaye Charles Toko, le député Rachidi Gbadamassi et le ministre Samou Seidou Adambi. Le rendez-vous historique a eu lieu à la place Bio Guerra, où Boni Yayi avait présidé en février 2018 la réunion de la naissance de la Fcbe à Parakou. Si l'ex-président Boni Yayi avait réuni environ 35.000 têtes, les trois généraux de Patrice Talon, eux, ont mobilisé plus de 100.000 vrais militants de Dynamique Unitaire (DU), bloc soutenant le chef de l'État. Sur cette place de réunions, autorités d'autres religions, Imams centraux, têtes couronnées, rois,sages et notables n'ont pas voulu se faire raconter l'événement, ni se faire représenter. Présents en personne, ils ont, à tour de rôle, béni le président Patrice Talon et son gouvernement et ont encouragé les réformes en cours. Elhadj Aboudoulaye Tegnami, imam central Parakou-Dépõt plus vieux imam au trône au Bénin s'est spécialement déplacé sur Bio Guerra pour son amour au président Talon. La circulation est bloquée aux alentours de Bio Guerra pendant ce rassemblement. Les associations de jeunes de Parakou, de femmes, de conducteurs de taximoto et véhicule, de cultivateurs et autres ont honoré à la rencontre. Chaque responsable d'association a tenu une allocution. Mais, tous ont réaffirmé leur soutien à Talon. Les organisateurs,  Toko, Gbadamassi et Adambi ont tenu chacun un discours qui tourne autour du mandat de Talon de avril 2016 à octobre 2018. Ils ont aussi parlé de ce queTalon va faire à Parakou sur le plan d'assainissement. Ce meeting est organisé en vue des préparatifs des législatives de 2019. Avec ce qui s'est passé à Parakou, on peut affirmer que Talon a déjà gagné la bataille face à l'opposition. En février, c'était Boni Yayi même qui était présent, d'où il avait obtenu une foule minoritaire louée. Ce samedi, c'est le trio Gbadamassi Toko et Adambi. Et si Talon même était à Parakou, c'était alors une foule illimitée. Législatives prochaines, Talon et Yayi,  à qui la huitième ?

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Bénin/Meeting Dynamique Unitaire à Parakou: Toko, Gdadamassi et Adambi ont effectivement mobilisé plus de 100.000 militants à Talon. Pour l'opposition, seule le président Boni Yayi est aimé à Parakou et dans la huitième circonscription électorale. Lorsque le trio Toko-Gbadamassi-Adambi a annoncé ce meeting politique pour ce samedi, les opposants disaient qu'on retrouvera des chaises vides. Mais, ce trio a sorti plus de 100.000 personnes sur la place Bio Guerra de Parakou en faveur du président Patrice Talon contre Boni Yayi, chef de file de l'opposition . Par 3ATB, le 06 octobre 2018 Plus de 100.000 militants Talon sont massivement sortis dans les Koburu ce jour pour assister à la réunion politique organisée par le maire Abdoulaye Charles Toko, le député Rachidi Gbadamassi et le ministre Samou Seidou Adambi. Le rendez-vous historique a eu lieu à la place Bio Guerra, où Boni Yayi avait présidé en février 2018 la réunion de la naissance de la Fcbe à Parakou. Si l'ex-président Boni Yayi avait réuni environ 35.000 têtes, les trois généraux de Patrice Talon, eux, ont mobilisé plus de 100.000 vrais militants de Dynamique Unitaire (DU), bloc soutenant le chef de l'État. Sur cette place de réunions, autorités d'autres religions, Imams centraux, têtes couronnées, rois,sages et notables n'ont pas voulu se faire raconter l'événement, ni se faire représenter. Présents en personne, ils ont, à tour de rôle, béni le président Patrice Talon et son gouvernement et ont encouragé les réformes en cours. Elhadj Aboudoulaye Tegnami, imam central Parakou-Dépõt plus vieux imam au trône au Bénin s'est spécialement déplacé sur Bio Guerra pour son amour au président Talon. La circulation est bloquée aux alentours de Bio Guerra pendant ce rassemblement. Les associations de jeunes de Parakou, de femmes, de conducteurs de taximoto et véhicule, de cultivateurs et autres ont honoré à la rencontre. Chaque responsable d'association a tenu une allocution. Mais, tous ont réaffirmé leur soutien à Talon. Les organisateurs, Toko, Gbadamassi et Adambi ont tenu chacun un discours qui tourne autour du mandat de Talon de avril 2016 à octobre 2018. Ils ont aussi parlé de ce queTalon va faire à Parakou sur le plan d'assainissement. Ce meeting est organisé en vue des préparatifs des législatives de 2019. Avec ce qui s'est passé à Parakou, on peut affirmer que Talon a déjà gagné la bataille face à l'opposition. En février, c'était Boni Yayi même qui était présent, d'où il avait obtenu une foule minoritaire louée. Ce samedi, c'est le trio Gbadamassi Toko et Adambi. Et si Talon même était à Parakou, c'était alors une foule illimitée. Législatives prochaines, Talon et Yayi, à qui la huitième ? SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Cameroun/Présidentielle 2018: À la veille du vote, l'opposition forme une coalition ce samedi contre Biya .

À  jour mois un du scrutin présidentiel,  les candidats de l'opposition commencent par s'unir pour la victoire face à Paul Biya, président et candidat à sa propre succession. Déjà, deux candidats se sont déjà mis ensemble. Muna se désiste pour former une coalition avec Kamto

Par 3ATB, le 06 octobre 2018

L'ancien bâtonnier camerounais Akere Muna (G) a annoncé son ralliement à Maurice Kamto, vendredi 5 octobre 2018. A la veille de l’élection présidentielle de dimanche au Cameroun, il ne reste plus que huit candidats en lice. Akere Muna s’est désisté pour former une coalition avec Maurice Kamto, a annoncé un porte-parole de l’ancien bâtonnier vendredi soir 5 octobre. « Je crois fermement que l'avenir du Cameroun est la priorité absolue et vaut tous les sacrifices personnels », expliquait Akere Muna dans un tweet vendredi soir. A deux jours de l'élection, Akere Muna a donc annoncé qu'il renonçait pour se rallier à un autre avocat, Maurice Kamto du RMC. Me Akere Muna explique avoir simplement mis ses idées en application pour que l'opposition puisse remporter le scrutin face au président en poste depuis 36 ans. Notons que d'autres candidats de l'opposition ne sont pas loin de rallier la coalition dans quelques minutes. Ainsi, toute l'opposition aurait former un bloc unique. Pour l'heure, huit candidatures existent. Rappelons aussi que kanto annonce qu'il ne reconnaîtra pas sa défaite en cas d'échec. Pour lui,  Paul Biya veut frauder. Le vote à un tour prévu pour demain, dimanche comme au Brésil où deux candidats de taille sont favoris. Il s'agit de Fernando Adad de l'extrême droite et le maire de Sao Paulo, remplaçant de Lula daSilva en prison actuellement.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

vendredi 5 octobre 2018

À la Une de l'actualité africaine, au Bénin, le maire Abdoulaye Charles Toko, le député Rachidi Gbadamassi et le ministre de l'Eau Samou Seidou Adambi rallient tous les électeurs de la huitième circonscription électorale derrière Patrice Talon. À cet effet, ils organisent, ce samedi, un géant meeting politique au nom du bloc "Dynamique Unitaire" à la place Bio Guerra de Parakou. Près de 100.000 fans de Talon prennent part à ce rassemblement historique. Ainsi à l'approche des législatives de 2019, les généraux du président Patrice Talon dans le septentrion se mettent déjà en ordre de bataille pour la conquête de la majorité parlementaire. Il faut rappeler que c'est la première réunion qu'organise Dynamique Unitaire. Le trio Toko-Gbadamassi-Adambi, populaire est déjà prêt pour mouiller le maillot. Ces trois personnalités, auront de l'insomnie avec les sorties de Boni Yayi, ex-président de la République. Preuve, en février 2018, Yayi avait fait vibrer Parakou lors de la naissance du parti Fcbe. Université de Parakou, la liste des frais de formation qui circule dans les réseaux sociaux n'est pas encore certifiée. À en croire le recteur Ghandaho sur frisson radio, cette liste est erronée. ISSIC, une journée porte ouverte est prévue vendredi 12 octobre prochain à Caboma Cotonou. -Au Cameroun, l'opposition vient de détecter ce vendredi nuit des bulletins déjà tamponnés Biya par la Commission électorale. Le vote pour la présidentielle de 2018 est pour demain, dimanche. 6,5 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour départager 09 candidats dont Paul Biya, actuel président. -En RDC, le gynécologue Denis Mukwege élu prix Nobel de la paix hier. Les congolais ont célébré ce prestigieux prix un peu partout dans le pays. -Au Burkina Faso, le président Rock Kaboré veut à tout prix réviser la Constitution. L'opposition s'oppose à ce projet. Le projet de loi bientôt à nouveau sur la table des députés. -Au Kenya, sans le président Donald, Mélanie Trump reçue avec tous les honneurs par le gouvernement du président Kenyatta. C'est pour la première fois que la 45ème première Dame des États-Unis se rend à Nairobi. -En Irak, malgré les violences sexuelles, Nadia Murad est nommée aussi prix Nobel de la paix ce vendredi. Elle est suivie de Denis Mukwege. Ce sont ces deux qui ont obtenu le Nobel 2018. -En France, Charles Aznavour sera inhumé ce samedi. Un hommage national a été rendu hier à Charles Aznavour, artiste chaleur d'origine arménienne. C'était en présence de Emmanuel Macron, actuel président de la République, du premier ministre d'Arménie, Nikol Pachinian des anciens présidents Nicolas Sarkozy et François Hollande et les membres de la famille du défunt Charles Aznavour. Il a rendu l'âme lundi à l'âge de 94 ans. -Aux USA, le juge Brest Kavanauch sera nommé ce samedi par 52 sénateurs républicains dont un démocrate. Le président Donald Trump se dit être très fier. -Les États-Unis accusent la Chine de vouloir tenter de destituer le président Donald Trump. Pékin minimise cette accusation. -En Turquie, manifestation à Istanbul devant l'Ambassade saoudienne suite à la disparition d'un journaliste saoudien de 53 ans. L'ambasseur de Riyad convoqué au ministère des affaires étrangères. SC🌐🌐P INF🅾S M🅾NDE Samedi 06 octobre 2018

Rejoignez le forum en écrivant  aux administrateurs (00299) 96343498/ 97878347/96506124/96275766/97524288

À suivre les Unes des  journaux au Bénin,  en Afrique  et à  l'International....

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE

Siège : Bénin, Cotonou. 232 membres dont 05 administrateurs

Bénin/ Meeting Dynamique Unitaire dans la 8ème : Près de 100.000 militants Talon attendus ce samedi à Bio Guerra, Parakou

À la place Bio Guerra de Parakou ce samedi 06 octobre, les fidèles amis et soutiens du président Patrice Talon vont rassembler plus de 100000 vrais militants du nouveau bloc Dynamique Unitaire (DU) contrairement au chiffre de la Fcbe à  sa naissance. Le maire de Parakou Abdoulaye Charles Toko,  le député Rachidi Gbadamassi et le ministre de l'Eau Samou Seidou Adambi ont décidé de donner tous les électeurs de la huitième circonscription composée des communes de Parakou,  Tchaorou,  N'dali et Pèrèrè au président de la République. Ainsi,  après la création du parti Fcbe de Boni Yayi en février dernier,  les trois généraux de Patrice Talon sortent officiellement DU. Parakou demain, le fooka-fooka pour les Talons. L'opposition bientôt affaiblie ?

Par 3ATB, le 05 octobre 2018

Demain, samedi, le chantre de la Rupture,  Patrice Talon verra qu'il est bien aimé dans la huitième circonscription électorale à travers ce meeting organisé par Abdoulaye Charles Toko, Rachidi Gbadamassi et Samou Seidou Adambi. Blague à part, on pourra compter 100.000 têtes pro-Talon sur la même place Bio Guerra où Yayi avait fait sa sortie grandiose. Pour d'autres,  la huitième en particulier Parakou déteste Talon. Mais avec cette sortie politique pour le chef de l'État, le peuple et l'opposition verront une victoire de Talon aux prochaines législatives. DU va expliquer aux populations l'importance des réformes de Talon et sa gouvernance. Le maire Toko de son côté est déjà applaudi dans les Koburu depuis le début de ses réformes communales. Il transforme et change déjà Parakou. Rachidi Gbadamassi reviendrait sur le bien fondé des lois votées à l'Assemblée par le Bloc de la Majorité Parlementaire et Présidentielle (BMP)  dont il fait partie. La caution (montant à payer pour être candidat) pour chaque Élection, la réforme du système partisan reviendront dans les échanges. L'élu de la 8ème va expliquer la nécessité d'aller aux législatives avec deux blocs. Dynamique Unitaire et le Bloc Progressiste. Le député Gbadamassi va-t-il encore insulter Boni Yayi lors de son discours demain à Parakou ? Samou Adambi, ministre de l'Eau parlera de l'état des lieux de l'eau potable dans les villes de la huitième. Adambi dira l'amour de Patrice Talon pour Parakou et ses environs. À l'instar des organisateurs, plusieurs invités de tailles et autres seront au rendez-vous. Entre autres,  les rois, les têtes couronnées,  les autorités religieuses (Imams, prêtres, pasteur...), quelques députés du BMP, les élus locaux et CQ. Massivement, les femmes ne se feront pas raconter l'événement. Cette sortie politique n'est pas loin de faire oublier aux électeurs de la huitième la sortie de l'ex-président Boni Yayi en février 2018. À Parakou, une fête historique pour soutenir Talon sera célébrée. Ce vendredi,  tout se sent déjà dans la ville. C'est le premier meeting de Patrice Talon à Parakou depuis son investiture. En cours de création,  Dynamique Unitaire est un regroupement de partis et mouvements politiques soutenant Talon. Elle est composée en majorité de partis du Nord Bénin. Tous les regards tourné vers Parakou ce samedi.

SC🌐🌐P-INF🅾S M🅾NDE