C'est à partir de 150f au moins que les citoyens à Parakou, consommateurs du haricot, devront décaisser avant de pouvoir payer l'aliment communément appelé "Abobo", a appris SIM. La quantité entre temps vendue à 100f dans la ville de Parakou, réduite aujourd'hui, est passée à 150f depuis la semaine dernière, ajoute un consommateur d'abobo à Scoop Infos Monde. La cherté de la vie s'observe désormais dans tous les niveaux au Bénin. À Parakou en particulier, à part plusieurs articles et aliments qui connu une augmentation du prix comme dans les autres communes du Bénin, le haricot préparé ou Abobo serait vendu à l'unanimité des bonnes dames à 150fcfa au moins comme prix initial avec une quantité très réduite. Ce qui veut dire que ce qui est vendue Aujourd'hui à 150fcfa est moins grand que pour 100f Davant confirme un consommateur rencontré par SIM ce samedi dans un lieu de vente d'abobo dans un quartier du premier Arrondissement. Soit une augmentation de 50%. Aussi, dans le but de découvrir plus la vérité, Scoop Infos Monde a dépêché quelques journalistes sillonnés des coins de vente d'abobo à Parakou. Lors de leur tournée, il a été constaté dans un coin de vente au nord du marché Dépôt un rang pour payer abobo. SIM a puis prendre cette image d'un consommateur quotidien en pleine action de manger le abobo. Interrogée, la vendeuse affirme que le prix initial avec le gari est à 150f contre 100f avec du gari il y a seulement 10 jours. Dans un autre coin de vente dans le troisième arrondissement, une dame accepte elle vendre la petite cuillère à 100f. Ce qui voudrait dire qu'il faut débloquer 1000fcfa pour faire le plein de son vente chez cette vendeuse. Dans le deuxième arrondissement, dans la zone universitaire, le prix initial tourne entre 150 et 200f. À Parakou, les seules dames qui acceptent vendre pour 100f actuellement sont celles qui vendent autre aliment avec lequel on peut accompagner avec quelques graines du haricot. Sinon, payer le haricot ou Abobo seul à Parakou depuis une semelle, il faut débloquer entre 150f et 200f pour le prix initial. Soit 50% voire 100% du prix il y a quelques jours seulement. Et pour être rassasié, il faut garder au plus 500fcfa sur vous. Si la facture normalisée devait une obligation pour ces bonnes dames, les citoyens verront le prix initial grimpé. Le gouvernement prend des mesures pour traquer les commerçants qui font bomber le prix des aliments. Comment fera le gouvernement face aux bonnes dames qui vendent le abobo, toubani, igname pilée, pâte, wassa-wassa, coco, massa,.... très chères ces temps ci pour rendre la vie difficile à la population ? Quelles solutions faut-il trouver qui arrangerait les vendeuses et les consommateurs ? À suivre !
Sam 26 mars, ph abobo
SC🌍🌏P-INF🅾️S M🅾️NDE
Même à Cotonou depuis plus de 5ans on ne vend plus du Abobo à 100f. Je passe par ici pour saluer ces bonnes dames de Parakou et autres.
RépondreSupprimerMême à Cotonou depuis plus de 5ans on ne vend plus du Abobo à 100f. Je passe par ici pour saluer ces bonnes dames de Parakou et autres.
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