Les Démocrates, un danger pour Talon en 2023 ? Le parti politique de l'opposition, Les Démocrates dirigé par l'ex-président Boni Yayi constituerait un os dans la gorge de Patrice Talon en janvier 2023. Sauf ceux qui refusent de le voir, sans doute cette formation politique de l'opposition une fois en lice aux prochaines élections aurait 99,99% de chance de remporter la majorité des 109 sièges à la neuvième législature, commentent des politiques. Les Démocrates (LD) dont le président est Éric Houndete (sur la photo en bleu) n'est pas un parti politique à négliger. Cette formation politique créée après une crise au sein de la Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) n'a pas eu la chance d'être dans la course à la présidentielle du 11 avril 2021 afin que sa popularité puisse être testée pour la première fois. D'aucuns estiment que le duo candidat des Démocrates, Reckya Madougou en prison et Patrick Djivo ont manqué le parrainage en 2021 parceque cette formation politique aurait une popularité à craindre, ce que refusent des membres proches du pouvoir. Chacun tirait le drap de son côté. 2023 serait une date historique pour les démocrates ? Aux législatives 2019, d'un taux médiatique de 04% au départ, la Cour Constitutionnelle a officiellement proclamé ces résultats avec un taux de 27%. Cela voudrait dire que 73% d'électeurs pourraient être pour l'opposition qui n'était pas en lice. Pour ces législatives à venir, le président Patrice Talon serait dans une équation difficile à résoudre. Et si la mouvance obtenait mois de 10% sur le plan national face à l'opposition dure, pour la première fois dans l'histoire politique du monde un président en exercice aurait 00 député à une Législature, dira-t-on. Et cette histoire de 10% aurait rattrapé la Rupture qui l'a instauré malgré que les élections législatives et communales soit à caractère Local. L'opposition absente il y a trois ans prepare quoi l'année prochaine ? Puisqu'en avril 2019, seuls l'Union Progressiste (UP) et le Bloc Républicain (BR) de la majorité présidentielle étaient en lice. Aucune formation politique de l'opposition n'a pas eu la chance d'y être même quelques de la mouvance. Si cela se répétait en janvier 2023, des analystes risquent d'estimer que l'opposition serait écartée alors tant en 2023 qu'en 2019. Et l'image du Bénin sur le plan Démocratique serait entachée d'huile. À cet effet, si toutes les formations politiques reconnues sont en lice aux législatives 2023, pour la première fois depuis l'arrivée au pouvoir le 06 avril 2016 de Patrice Talon, ce serait un champion ligue Chelsea - Barcelone, soit la mouvance contre l'opposition. Et la formation politique qui pourrait créer la surprise historique serait le parti Les Démocrates à y voir ce que mijotent des citoyens électeurs à la base qui seraient déchus du mode de gouvernance du gouvernement de. Patrice Talon. Si toutes les formations politiques de l'opposition sont en lice en 2023, Patrice Talon (en photo) va tester à nouveau sa popularité face à une opposition surnommée radicale et dure. Abdoulaye Bio Tchané (en photo), Secrétaire général du BR, Bruno Amoussou (en photo), président de l'UP devront multiplier la sensibilisation en vue d'une majorité à l'hémicycle de la mouvance. Sinon, Boni Yayi (en photo) et Éric Houndete (en photo) sont en passe de renverser la tendance. Et quelle surprise Paul Hounkpê pourrait-il créer aussi ? Les élections législatives d'avril 2019 avaient connu des affrontements meurtriers au Bénin, du jamais vu. 2023 et Les Démocrates, un danger pour Talon et l'UP-BR ?
Ce qui s'était passé en 2019 selon l'hebdomadaire Jeune Afrique
"Le calme était revenu jeudi soir à Cotonou pendant que la Cour constitutionnelle proclamait les résultats définitifs des élections législatives, après deux jours de violentes manifestations post-électorales. « Le taux de participation (…) est de 27,1% », a déclaré jeudi soir Joseph Djogbenou, le président de la Cour Constitutionnelle. Ce chiffre est plus élevé que les 23% précédemment évoqués par la Commission électorale dans les résultats préliminaires. « Considérant des irrégularités et des perturbations (pendant le vote), elles ne sont toutefois pas de nature à compromettre la validité et la transparence du scrutin », a-t-il ajouté. L’Union progressiste et le Bloc républicain, les deux partis proches du pouvoir qui s’affrontaient lors des législatives du 28 avril, totalisent respectivement 47 et 36 sièges, sur les 83 à pourvoir.
Ce qui va changer en 2023 selon Olden Alladatin
Le député Orden Alladatin était l’invité de l’émission 90 mn pour convaincre de la radio nationale le dimanche 17 novembre dernier. Il a évoqué plusieurs sujets inhérents au nouveau code électoral, dont la répartition des sièges de députés lors des législatives de 2023. Une répartition qui doit respecter une disposition de la constitution modifiée dans la nuit du jeudi au vendredi 1er novembre 2019. Cette disposition n’est rien d’autre que la discrimination positive en faveur des femmes. Selon les explications du président de la commission des lois, il y aura une première étape au soir du scrutin. Celle de la vérification du seuil des 10%. Le parti politique qui n’aura pas les 10% des suffrages exprimés au niveau national, ne sera pas éligible pour le partage des sièges. « … ce poste-là est exclusivement réservé à une femme ». Pour ceux qui passeront cette épreuve, la commission électorale va automatiquement retrancher 24 sièges des 109 à pourvoir. Ces 24 sièges seront exclusivement réservés aux femmes. « Au moment où vous déposez votre liste, vous dites. Par exemple, dans la 16 e circonscription électorale, c’est 5 députés qu’on va élire. Vous faites votre liste et vous dites: sur la liste de mes cinq députés, ce poste-là est exclusivement réservé à une femme » explique l’invité de la radio nationale. Une fois les 24 sièges retranchés des 109, il en restera 85. Ces 85 sièges sont attribués selon l’ancienne méthode, informe Orden Alladatin. Donc il peut avoir des femmes qui vont se battre dans cette cagnotte commune pour se faire élire, fait-il remarquer. Quant à la discrimination positive, le parti qui vient en tête par rapport aux suffrages exprimés dans une circonscription électorale emporte le siège réservé à la femme dans cette circonscription. Le Bénin ayant 24 circonscriptions électorales, le compte est bon.
Les probables partis politiques en lice en 2023
Au Bénin, les formations politiques légalement reconnues sont eu peu nombreuses jusqu'à ce jour. Le BR a eu la chance de recevoir l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN), donc désormais BR seul un cheval blanc cabré dans la carte du Bénin fond vert. L'UP matérialisé par un baobab fond jaune, cette formation politique détient le perchoir à cette huitième législature à l'Assemblée nationale (2019-2023). La FCBE est en cauris fond vert dirigé par Paul Hounkpê chef de file de l'opposition et Soumanou Djimba candidat malheureux à la présidentielle 2021 et président d'honneur de la FCBE. Les Démocrates matérialisé mar un flambeau dont le feu est en haut, jaune, vert et rouge. Le Parti du Renouveau Démocratique (PRD) arc-en-ciel de Andrien Houngbedji et Moele-Bénin bleue foncée de Jacques Ayadji. Cette liste n'est qu'une estimation.
Lun 21 fév, ph Talon, Yayi, Houndete, ABT et Amoussou
SC🌏🌍P-INF🅾️S M🅾️NDE
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